Sujet de la discussionPosté le 07/02/2013 à 09:13:33Le marché de l'occasion...
... ,visiblement suite aux sorties massives de nouveaux synthés analo ces deux dernières années, est en train de s'effondrer! https://fr.audiofanzine.com/synthe-analogique/petites-annonces/
Depuis plusieurs semaines, ce sont toujours les mêmes annonces qui reviennent, et reviennent, et reviennent encore, et les machines ne se vendent pas (aux prix déments fixés par les anciennes "Kotes Offizielles").
C'est dommage pour les gens sincères qui s'étaient (un peu bêtement) saignés aux quatre veines pour acquérir des vieilleries, mais voilà qui assainit la situation, et chasse à coups de pied sous la queue certains animaux de basse-cour qui se sont trop facilement enrichis sur le marché de la brocante électronique!
Je trouve qu'on respire mieux tout à coup.
Il va y avoir de très bonnes affaires dans les mois à venir pour les courageux du fer à souder.
Les spéculateurs de tout bord commencent à serieusement faire flamber les polyphoniques modestes : un juno 60 (que j avais vu sur le coin a 550 euros avec son JSQ) est en vente à 900 euros quelque jours à peine après sa disparition du dit coin, un matrix 1000 600 euros etc... est ce là un etentative déséspérée de ses malotrus pour faire du pognon tant que c'est possible? Je crains que non. Les néos analos servent d'appats, attirent un nouveau public. Une foi fan, ils s'interessent aux ancetres, ce qui fait qu'inmanquablement il y aura plus de demande et moins d'instruments en bon état. Si la spéculation m'exsaspere (tiens la tr 707 du même vendeur du coincoin, 150 euros, s'est retrouvée en vente ici par le même vendeur que le juno...) le fait d'entretenir et de faire réviser ces machines à un cout. Il est normal de le répercuter. Il faut que les acheteurs se disciplinent. Il ne faut pas céder aux sirènes vintage.( Et faire des stocks de M1 (ou plutot T3), de DX7 (ou plutot de SY77) et autres wavestation à une centaine d'euros...pas pour les vendre le triple dans 5 ans, mais pour le sutiliser si on en a envie)
