Sujet de la discussionPosté le 11/06/2014 à 14:10:37Commentaires sur le test : Regain d’étincelle
Voici que débarque la version 2 de la partie logicielle de l’ensemble dédié au rythme chez Arturia. Mise à jour d’importance ou changements cosmétiques ? Réponse dans ce test.
La spark fonctionne parfaitement en usb3. Par contre certains périphériques gourmands en alim usb et dont le moindre problème s'entend (ce qui n'est pas le cas d'un "simple" contrôleur midi) semblent effectivement plus sensibles sur de l'usb3 en comparaison à de l'usb2 (virus ti polar pour ma part).
3 notes sur un piano valent mieux que 3 clics sur un ordi
KromeMusic
1015
AFicionado·a
Membre depuis 11 ans
15Posté le 14/06/2014 à 08:59:42
très très bien organisés d'ailleurs
Les explications sont claires, utiles, c'est vraiment super ça permet de ne pas avoir à galérer quand on l'a pour trouver les raccourcis.
Si vous comptez acheter un controleur spark n'hésitez pas, regardez les (Bon le sparkLE et le spark sont un peu différents mais je pense que les raccourcis sont sensiblements les mêmes )
3 notes sur un piano valent mieux que 3 clics sur un ordi
Le capitaine Dobey
568
Posteur·euse AFfolé·e
Membre depuis 14 ans
16Posté le 14/06/2014 à 23:00:56
Pour moi, le gros point fort de ce logiciel est la qualité du son. C' est vraiment ce que j' attendais. En dehors des sonorités choisis, j' apprécie le traitement, l' égalisation, et un côté loundness lui conférant une certaine présence, comme en témoigne, parmi d' autres, le kit "Studio 80's". J' adore. A mi-chemin entre ce que propose le Stylus rmx de Spectrasonics, et la fameuse Maschine, que je possède aussi.
Il est relevé un défaut dans le test, à savoir, que par moments, une exagération de la compression se fait sentir. C' est le cas pour bon nombre de plugins proposés aujourd' hui, soit une course à la concurrence entre les marques, à qui sonnera le plus masterisé. Ce n' est qu' un avis (discutable), mais je trouve cela plutôt positif et bienvenu, car la fabrication de la musique s' étant démocratisée, on s' improvise ingénieur du son avec diverses étiquettes habituellement réservées à des professionnels, pour un résultat, au final, "pas toujours" de qualité. Je considère néanmoins qu' il est bon d' avoir le choix entre des produits qui favorisent le workflow, et ceux délivrant un son brut, dont on peut soi-même s' occuper. Finalement, les banques de sons dont il s' agit peuvent rappeler l' utilisation des samplers depuis le milieu des années 1980 avec lesquels les musiciens échantillonnaient des bouts de morceaux sortis dans le commerce, donc déjà traités par des gens du métier.