Néophyte perdu dans la jungle de la synthèse sonore recherche aide
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4dler
4
Nouvel·le AFfilié·e
Membre depuis 10 ans
Bonjour tout le monde !
Après des millénaires de recherche dans le domaine de la synthèse sonore, et malgré une progression incontestable (je commence à un peu capter le vocabulaire toussa toussa), je me suis résolu à m'en remettre à votre expérience pour enfin espérer pouvoir m'aiguiller vers la solution de synthèse sonore me correspondant le mieux...
Avant de commencer, je vais tenter de vous exposer mon "profil" musical assez rapidement, ainsi ce que je souhaiterais faire :
Violoniste de formation, je viens d'un milieu ou le numérique et la synthèse sonore d'une manière plus générale est inexistante... Pourtant je suis grand amateur de musique électronique, de la trance à l'EBM en passant par la synthpop, c'est pourquoi, motivé par mes rudiments de piano/clavier (je possède actuellement un Yamaha PSR E303, un clavier arrangeur que je n'ai pas réussi à relier à mon ordi avec un cable MIDI-USB ), j'ai décidé d'investir dans un synthétiseur, afin de commencer à toucher à tous ces styles très électroniques qui me plaisent, et, peut-être à terme, les utiliser pour des styles plus classiques comme le rock (je joue dans un groupe)... Je dois donc trouver une solution me permettant aussi potentiellement de faire les basses et les percussions.
Seulement, j'ai vite déchanté face à la complexité du marché !
Voilà donc les grandes questions qui ont émergées de mes recherches plus ou moins infructueuses :
1. Dois-je opter pour un synthétiseur, une workstation ou un clavier maitre relié à un synthé virtuel, sachant que je ne souhaite pas faire de scènes, que j'aurais potentiellement besoin de sons assez variés vu les différents styles que je veux aborder et que je n'ai pas un gros budget (mais pas un gros ordi/niveau non plus) ?
2. Si j'opte pour un synthé non-virtuel, dois-je choisir un synthé analogique ou numérique, et m'orienter vers quelle marque (pour taper dans du pas trop cher mais abordable) ?
3. Si j'opte pour un clavier maitre, aurais-je besoin d'une carte son externe pour le relier à mon PC ? Que devrais-je alors choisir coté software pour faire mon son et le monter/mixer ?
4. Que m'apporterait vraiment le choix d'une workstation à coté d'un synthé "classique" (les basses ?/les drums ?) ?
Voilà tout ce que j'arrive pour l'instant à sortir de mon esprit plus qu'embrouillé, n'hésitez donc pas à me poser plus de questions si ça n'est pas très clair !
Merci beaucoup pour votre aide
,
Adler, musicien perdu
Après des millénaires de recherche dans le domaine de la synthèse sonore, et malgré une progression incontestable (je commence à un peu capter le vocabulaire toussa toussa), je me suis résolu à m'en remettre à votre expérience pour enfin espérer pouvoir m'aiguiller vers la solution de synthèse sonore me correspondant le mieux...
Avant de commencer, je vais tenter de vous exposer mon "profil" musical assez rapidement, ainsi ce que je souhaiterais faire :
Violoniste de formation, je viens d'un milieu ou le numérique et la synthèse sonore d'une manière plus générale est inexistante... Pourtant je suis grand amateur de musique électronique, de la trance à l'EBM en passant par la synthpop, c'est pourquoi, motivé par mes rudiments de piano/clavier (je possède actuellement un Yamaha PSR E303, un clavier arrangeur que je n'ai pas réussi à relier à mon ordi avec un cable MIDI-USB ), j'ai décidé d'investir dans un synthétiseur, afin de commencer à toucher à tous ces styles très électroniques qui me plaisent, et, peut-être à terme, les utiliser pour des styles plus classiques comme le rock (je joue dans un groupe)... Je dois donc trouver une solution me permettant aussi potentiellement de faire les basses et les percussions.
Seulement, j'ai vite déchanté face à la complexité du marché !
Voilà donc les grandes questions qui ont émergées de mes recherches plus ou moins infructueuses :1. Dois-je opter pour un synthétiseur, une workstation ou un clavier maitre relié à un synthé virtuel, sachant que je ne souhaite pas faire de scènes, que j'aurais potentiellement besoin de sons assez variés vu les différents styles que je veux aborder et que je n'ai pas un gros budget (mais pas un gros ordi/niveau non plus) ?
2. Si j'opte pour un synthé non-virtuel, dois-je choisir un synthé analogique ou numérique, et m'orienter vers quelle marque (pour taper dans du pas trop cher mais abordable) ?
3. Si j'opte pour un clavier maitre, aurais-je besoin d'une carte son externe pour le relier à mon PC ? Que devrais-je alors choisir coté software pour faire mon son et le monter/mixer ?
4. Que m'apporterait vraiment le choix d'une workstation à coté d'un synthé "classique" (les basses ?/les drums ?) ?
Voilà tout ce que j'arrive pour l'instant à sortir de mon esprit plus qu'embrouillé, n'hésitez donc pas à me poser plus de questions si ça n'est pas très clair !
Merci beaucoup pour votre aide
,Adler, musicien perdu
rica2synthé
4360
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Membre depuis 12 ans
erewhon
18350
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 20 ans
4dler
4
Nouvel·le AFfilié·e
Membre depuis 10 ans
Salut rica et erewhon, merci pour vos réponses ! 
Rica en fait non je compte m'engager dans la voie des synthés justement pour créer mon son, puisque c'est en fait la limite de mon clavier arrangeur qui n'a que des sons préenregistrés... Après j'ai cru comprendre que bon nombre de synthés modernes ne créaient pas leur son de toutes pièces mais modifiaient des sons préenregistrés... Personnellement, je n'arrive pas bien à savoir si ça fait une grosse différence, mais si cela me permet quand même une marge de créativité, ça me va !
Erewhon, je n'ai pas un énorme budget (difficilement plus que 500€ je pense) mais après je ne cherche pas non plus des solutions poussées mais chères... Ok pour le synthé virtuel, mais ne vais-je pas avoir des difficultés à le contrôler sans clavier ni rien ?
Merci !
Rica en fait non je compte m'engager dans la voie des synthés justement pour créer mon son, puisque c'est en fait la limite de mon clavier arrangeur qui n'a que des sons préenregistrés... Après j'ai cru comprendre que bon nombre de synthés modernes ne créaient pas leur son de toutes pièces mais modifiaient des sons préenregistrés... Personnellement, je n'arrive pas bien à savoir si ça fait une grosse différence, mais si cela me permet quand même une marge de créativité, ça me va !
Erewhon, je n'ai pas un énorme budget (difficilement plus que 500€ je pense) mais après je ne cherche pas non plus des solutions poussées mais chères... Ok pour le synthé virtuel, mais ne vais-je pas avoir des difficultés à le contrôler sans clavier ni rien ?
Merci !
erewhon
18350
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 20 ans
4dler
4
Nouvel·le AFfilié·e
Membre depuis 10 ans
Ok et bien puisque tu me le conseille j'irai faire un tour, un conseil de soft en particulier ? 
erewhon
18350
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 20 ans
Un classique et "free", architecture conventionnelle, bon pour "l’apprentissage"
https://www.kvraudio.com/product/synth1-by-ichiro-toda
https://www.kvraudio.com/product/synth1-by-ichiro-toda
Le plus majestueux des chênes n'était autrefois rien d'autre qu'un pauvre gland...
rica2synthé
4360
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crazymilk57
787
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position.on.off
4618
Squatteur·euse d’AF
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Les synthétiseurs sont en principe orientés création sonore (ses propres patchs) quand les workstation sont d'avantage tournés vers les banques de sons généralistes.
Un synthétiseur a donc un moteur sonore, celui-ci peut être de différente nature selon les époques: soustractive ("analo"), FM, VA (virtual analog), numérique etc.
Les modèles les plus anciens (et certains modernes comme le Minibrute) ne disposent pas de mémoire de stockage et on façonne le son directement en façade en notant dans un calepin les réglages si on veut retrouver le patch créé . Ils sont généralement à synthèse dite "soustractive": on génère un signal riche avec des oscillateurs (VCO au départ puis DCO)que l'on sculpte ensuite à l'aide de filtre, enveloppe etc. Au départ monophonique (une seule note jouée à la fois) ils se sont progressivement "raffinés" pour devenir polyphoniques (possibilité de jouer des accords). À partir de la fin des 70s et surtout des 80s on a vu apparaître des mémoires, les interfaces se sont aussi dépouillées.
Les monophoniques sont ainsi très appréciés pour les sons de basses ou les leads un peu criards, les polyphoniques pour les nappes ou les cuivres (qui ne sonnent pas comme des cuivres mais ont un son très apprécié). Pour citer des machines historiques: Roland Jupiter 8, miniMoog , Prophet 5, Korg MS20...
Au milieu des années 80 Yamaha frappe un grand coup avec la synthèse FM: il n'est plus exactement question de sculpter un bloc "en retirant" des choses mais en le modulant avec d'autres ondes. La technique permet d'obtenir des résultats impossibles avec la synthèse soustractive mais est aussi beaucoup plus difficile à "travailler" pour un néophyte et moins satisfaisante (car il est plus difficile d'avoir de "beaux" résultats avec), cependant les possibilités sonores sont presque illimitées... Ces machines définissent le son des années 80, ainsi on trouve des pianos électriques "FM" dans énormément de productions. Les machines sont aussi connues pour les presets types "cloches" (bell) par exemple, pour citer un modèle très connu: le DX7.
Au début des années 90 (fin des 80s) se développe une synthèse mixte entre numérique (comme le FM par exemple) avec des formes d'ondes échantillonnées: les capacités de stockages ayant progressé, il est possible de stocker beaucoup plus d'informations dans les mémoires. Je pense notamment au Roland D50 ou au Korg M1 précurseur des workstations. Le son est plus réaliste mais les machines sont aussi du coup largement moins orientées vers la création sonore, on se rapproche donc de l'esprit des workstations. C'est le son des 90s par excellence ! Notamment des presets comme "fantasia" sur le D50 ou .
À partir du milieu/fin des années 90 se développe les VA, concept aujourd'hui encore très important. Parmi les premiers modèles: Nord Lead, Access Virus ou Korg MS2000. Cette synthèse numérique émule la synthèse analogique via des DSP. L'idée est de retrouver le "feeling" de la création sonore sur analogique tout en ayant le confort du matériel modernes (patches, possibilités sonores plus étendues, machines moins capricieuses et sujettes aux variations etc.). Cette synthèse reste particulièrement populaire aujourd'hui et beaucoup de synthétiseurs commercialisés l'utilise (Novation mininova, Korg Microkorg, Akai MiniAK etc.). Bien entendu les synthés virtuels entre assez souvent dans cette catégorie.
Voilà pour les grandes lignes avec quelques approximations et oublis (les "numérybrides" avec des éléments numériques et analogiques comme les synthés à tables d'onde ou les Ensoniq ESQ1).
Pour la création de patches je partirais donc sur de la synthèse analogique soustractives ou VA (ordi ou physique peu importe). La seconde est souvent meilleur marché. Les deux permettent en tout cas de sculpter et "tweeker" (le modifier en direct) le son avec une relative accessibilité
N'hésite pas à écouter des démos sur youtube, tu retrouveras peut être assez vite le genre de sons que tu aimerais faire !
voici une page très instructive sur le sujet: http://www.synthmania.com/Famous%20Sounds.htm (d'ailleurs sa page youtube est assez géniale aussi).
Il y a des monophonique analogique modernes pas trop cher et assez fun à utiliser à moins de 500€ (voir 300-400€ neuf), il y a un choix pléthoriques en VA à tous les prix (ça peut commencer à 200€ d'occasion pour un MiniAK/Alesis Micron ou un MicroKorg).
J'espère t'avoir aidé à y voir plus clair et ne pas être trop hors sujet
Un synthétiseur a donc un moteur sonore, celui-ci peut être de différente nature selon les époques: soustractive ("analo"), FM, VA (virtual analog), numérique etc.
Les modèles les plus anciens (et certains modernes comme le Minibrute) ne disposent pas de mémoire de stockage et on façonne le son directement en façade en notant dans un calepin les réglages si on veut retrouver le patch créé
. Ils sont généralement à synthèse dite "soustractive": on génère un signal riche avec des oscillateurs (VCO au départ puis DCO)que l'on sculpte ensuite à l'aide de filtre, enveloppe etc. Au départ monophonique (une seule note jouée à la fois) ils se sont progressivement "raffinés" pour devenir polyphoniques (possibilité de jouer des accords). À partir de la fin des 70s et surtout des 80s on a vu apparaître des mémoires, les interfaces se sont aussi dépouillées.Les monophoniques sont ainsi très appréciés pour les sons de basses ou les leads un peu criards, les polyphoniques pour les nappes ou les cuivres (qui ne sonnent pas comme des cuivres mais ont un son très apprécié). Pour citer des machines historiques: Roland Jupiter 8, miniMoog , Prophet 5, Korg MS20...
Au milieu des années 80 Yamaha frappe un grand coup avec la synthèse FM: il n'est plus exactement question de sculpter un bloc "en retirant" des choses mais en le modulant avec d'autres ondes. La technique permet d'obtenir des résultats impossibles avec la synthèse soustractive mais est aussi beaucoup plus difficile à "travailler" pour un néophyte et moins satisfaisante (car il est plus difficile d'avoir de "beaux" résultats avec), cependant les possibilités sonores sont presque illimitées... Ces machines définissent le son des années 80, ainsi on trouve des pianos électriques "FM" dans énormément de productions. Les machines sont aussi connues pour les presets types "cloches" (bell) par exemple, pour citer un modèle très connu: le DX7.
Au début des années 90 (fin des 80s) se développe une synthèse mixte entre numérique (comme le FM par exemple) avec des formes d'ondes échantillonnées: les capacités de stockages ayant progressé, il est possible de stocker beaucoup plus d'informations dans les mémoires. Je pense notamment au Roland D50 ou au Korg M1 précurseur des workstations. Le son est plus réaliste mais les machines sont aussi du coup largement moins orientées vers la création sonore, on se rapproche donc de l'esprit des workstations. C'est le son des 90s par excellence ! Notamment des presets comme "fantasia" sur le D50 ou .
À partir du milieu/fin des années 90 se développe les VA, concept aujourd'hui encore très important. Parmi les premiers modèles: Nord Lead, Access Virus ou Korg MS2000. Cette synthèse numérique émule la synthèse analogique via des DSP. L'idée est de retrouver le "feeling" de la création sonore sur analogique tout en ayant le confort du matériel modernes (patches, possibilités sonores plus étendues, machines moins capricieuses et sujettes aux variations etc.). Cette synthèse reste particulièrement populaire aujourd'hui et beaucoup de synthétiseurs commercialisés l'utilise (Novation mininova, Korg Microkorg, Akai MiniAK etc.). Bien entendu les synthés virtuels entre assez souvent dans cette catégorie.
Voilà pour les grandes lignes avec quelques approximations et oublis (les "numérybrides" avec des éléments numériques et analogiques comme les synthés à tables d'onde ou les Ensoniq ESQ1).
Pour la création de patches je partirais donc sur de la synthèse analogique soustractives ou VA (ordi ou physique peu importe). La seconde est souvent meilleur marché. Les deux permettent en tout cas de sculpter et "tweeker" (le modifier en direct) le son avec une relative accessibilité
N'hésite pas à écouter des démos sur youtube, tu retrouveras peut être assez vite le genre de sons que tu aimerais faire !
voici une page très instructive sur le sujet: http://www.synthmania.com/Famous%20Sounds.htm (d'ailleurs sa page youtube est assez géniale aussi).
Il y a des monophonique analogique modernes pas trop cher et assez fun à utiliser à moins de 500€ (voir 300-400€ neuf), il y a un choix pléthoriques en VA à tous les prix
(ça peut commencer à 200€ d'occasion pour un MiniAK/Alesis Micron ou un MicroKorg).J'espère t'avoir aidé à y voir plus clair et ne pas être trop hors sujet
4dler
4
Nouvel·le AFfilié·e
Membre depuis 10 ans
Bonjour !
Un grand merci pour vos réponses qui m'ont toutes permises de cerner différents aspects de la synthèse sonore.
@erewhon, j'ai testé le VSTi que tu m'as conseillé sur LMMS, j'ai plutôt bien réussi à le prendre en main, on comprend bien comment éditer le son mais forcément, sans clavier ça pêche un peu...
@crazymilk, pour l'histoire des synthés multitimbraux, en fait il s'agit de différents "couches" de son qui viennent s'ajouter les unes sur les autres, non ? Après tu me parles de synthés analogiques, mais de base je ne suis opposé à l'idée d'un synthé numérique Sinon, as-tu des conseils de carte son en particulier ?
@position.on.off, tu évoque le fait que des synthés virtuels sont souvent meilleur marché, sachant que j'ai déjà un clavier avec interface MIDI, n'ai-je pas intérêt à sérieusement considérer cette option ?
Merci !
Un grand merci pour vos réponses qui m'ont toutes permises de cerner différents aspects de la synthèse sonore.
@erewhon, j'ai testé le VSTi que tu m'as conseillé sur LMMS, j'ai plutôt bien réussi à le prendre en main, on comprend bien comment éditer le son mais forcément, sans clavier ça pêche un peu...
@crazymilk, pour l'histoire des synthés multitimbraux, en fait il s'agit de différents "couches" de son qui viennent s'ajouter les unes sur les autres, non ? Après tu me parles de synthés analogiques, mais de base je ne suis opposé à l'idée d'un synthé numérique
Sinon, as-tu des conseils de carte son en particulier ?@position.on.off, tu évoque le fait que des synthés virtuels sont souvent meilleur marché, sachant que j'ai déjà un clavier avec interface MIDI, n'ai-je pas intérêt à sérieusement considérer cette option ?
Merci !
erewhon
18350
Drogué·e à l’AFéine
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crazymilk57
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Posteur·euse AFfolé·e
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rica2synthé
4360
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 12 ans
Un autre facteur important avant d'acheter quoi que ce soit en synthé c'est de les écoutés en vrais ! analog four ou virus et autres nordlead sont "typé" et ne plaisent pas à tous
Je suis naze en ortho et grammaire, je fais au mieux !
ont ne se quitte jamais vraiment, nous sommes ailleurs momentanément, pas aux mêmes endroits , puis un jour nous nous retrouvons
position.on.off
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Squatteur·euse d’AF
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crazymilk57
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