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Sujet Talent Michel Leeb

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Sujet de la discussion Talent Michel Leeb
Je poste ceci, car c'est très instructif sur les talent vocal d'un comique qu'on peut apprécier ou pas.

Il emploi plusieurs registres dans son spectacle: voix de sifflet ou à la armstrong. Educatif !

http://www.piankhy.com/modules/newbb/viewtopic.php?topic_id=79&forum=3

:clin:
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On voit que ça fait longtemps que tu n'as pas vu le sketch de l'Africain :mdr:

Même si on fond de lui et jure de ne pas être raciste, avoir écrit un sketch aussi peu drôle est mille fois plus condamnable :P:
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J'ai,au contraire revu ce sketch il y a peu car je ne me permets d'intervenir sur un sujet que si je le connais;ce que j'ai fait juste avant de participer au forum et je dois dire que même si cela peut choquer certains (ce que je conçois parfaitement)il n'y a pas de quoi être aussi vindicatif car on sent dans tes paroles un esprit de vengeance et je ne crois sincérement pas que michel leeb ai voulu blesser qui que se soit avec cet humour.
telles les histoires belges,la majorité des blagues touchant des ethnies,origines sociales,culturelles et autres ont été le plus souvent inventées par les personnes concernées par celle-ci et sincérement,je ne pense pas qu'elles aient voulu dénigrer leurs origines!
de plus,je ne soutiens absolument pas ce genre de blagues car je ne suis pas fan mais,comme je le dis dans mon message précédent "danger pour la liberté d'expression et la démocratie"!
souviens-toi de ce qui sait produit aprés l'édition des caricatures de mahomet et bien que je ne sois absolument pas croyant,je n'ai pas trouvé cela de bon gout (bien au contraire) mais,si on commence à interdire l'humour,ou s'arrêtera-on?!
je n'ai aucun grief contre qui que se soit,encore moins envers des personnes comme toi qui accepte le dialogue mais,je crois qu'il faut faire trés attention à ce que l'on dit car ou s'arrête la critique et ou commence le jugement de valeur et je trouve que ce dernier s'apparente au racisme,ce qui sommes toute est un point de vue personnel.
pour exemple,je n'aime pas du tout ce que fait jean-marie bigard mais,je me garderais bien de le juger;j'essaie tout au plus d'éviter tout ce qui le concerne et je ne mettrais pas un cent pour assister à un de spectacles et je ne m'en porte pas plus mal(bien au contraire.)
je pense que l'on ne dit pas du mal des autres par plaisir et que l'on se fait pûtôt mal à soit même.
je crois encore mais peut-être à tort en l'être humain comme pouvant être bon et je serais désolé et même triste que cela ne soit pas ainsi!!!
salut à toi et bonne continuation!
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Essaie de sauter une ligne de temps à autre, on aurait plus envie de te lire !

AMHA une critique est un jugement de valeur ; simplement, si la critique est correcte, ce jugement est étayé par des critères explicites = affirmation d'une échelle de valeurs propre à l'auteur.
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Nous avons tendance à juger les autres, à les condamner, comme nous sommes aussi très prompts à nous juger nous-même et à nous condamner. C’est un mouvement quasi irrépressible qui se traduit par des formules du type : « ce n’est pas bien », « c’est mal», « tu devrais avoir honte ». Ce qui s’appelle moraliser quelqu’un.
Mais qu’est-ce qui autorise le jugement moral ? Pour juger moralement, il faut nécessairement comparer ce qui est avec une représentation de ce qui devrait être. Celui qui juge moralement et prononce une condamnation, dénonce ce qui est à partir de ce qui devrait être. A l’inverse, quand nous sommes satisfait de l’adéquation, nous passons de la condamnation à l’identification. On dit parfois « oui, c’est vraiment très bien » pour flatter quelqu’un dans son personnage, comme on se fait pour soi-même de l’auto-flatterie. Nous pouvons aussi passer de l’identification à la condamnation de manière impulsive. Je trouve une chose « très bien », je porte aux nues une personne, et le lendemain je suis tout à fait capable de détester et de condamner ce que j’ai aimé et qui m’a déçu. Enfin, très curieusement, en jugeant moralement, nous croyons assumer une position d’autorité incontestable. Celui qui condamne est souvent sûr de lui, il sait ce qui est bien ou ce qui est mal. Il est donc toujours surpris quand il est jugé à son tour. D’une façon générale, nous passons notre temps à juger les autres, mais nous avons horreur d’être jugé.
Un jugement moral, cela tombe comme un couperet et rien n’est plus tranchant dans la chair de l’âme que les reproches constants. Dans le contexte d’une déontologie, il reçoit son entière justification, comme faute professionnelle. Par contre, en référence à un devoir-être d’ordre très général, sa justification est beaucoup plus vague. Un jugement de valeur n’est pas un jugement de fait, il s’auto-confirme dans l’intention même de celui qui le prononce. Il ne repose pas sur une connaissance. Le bien et le mal n’existent pas de manière absolue. Ce qui est demeure dans la neutralité.
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:shootme: :shootme:
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