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Qu'est-ce que la musique "classique" sinon de la variété pour monarques ?

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Sujet de la discussion Qu'est-ce que la musique "classique" sinon de la variété pour monarques ?
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Citation : alors que les éditions de Bach sont exceptionnelles (principalement la Cantate n°71, 4 parties du Clavier-Übung, Schemelli Hymnbook, Musical offering, Canonic Variations BWV 769, Chübler chorales, Art of fugue, Canon BWV 1076 selon New Grove Dictionary of music and Musicians, Macmillan Publishers Limited, London, 1989 p. 804).


J'aime bien l'alternance des titres en allemand et en anglais.
"C'est blazman legacy ici" (Apocryphe) / Live music / Soundcloud
402
La plupart des musiciens que tu vois à la télé sont des bouffons qui ne savent pas lire une note de musique ( en ce sens là je suis d'accord c'est de la musique de monarque )

Maintenant tu prends Ravel, Debussy, ils ont en moyenne une intelligence musicale qui vaut 1000 fois celle d'un "artiste télévisuel"

Et pourtant moi je te dis ça, alors que je fais du hip hop de la house , mais aussi de la musique classique de film. :bravo:
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Et alors tu es le fake de qui du coup ?
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Citation : Pareil, si on regarde les signatures rythmiques jusque Debussy, y'a pas un seul 5 temps ou mesure composée, rien, de la merde, aucune recherche, que de l'évident qui tombe sous les doigts.




mais qui a ecrit cette anerie ?? de l'evident qui tombe sous les doigts...ben voyons...il faut me montrer comment tu joues de "l'evident" !!

en suivant ton raisonnement on peut dire que le rock est "une evidence" harmonique.3 riff tout le long d'un morceau, 4 pour les plus téméraires. faut il en conclure que le rock est une musique evidente? je ne parle même pas des song jouée avec 1 doigt, 1 sample tout le long....
405

Citation : mais alors là, je n'avais jamais lu un tel tissu d'âneries, j'avais vraiment du mal à croire ce que je lisais !



Personnellement, je n'ai pas encore pris mon parti dans cette théorie.
Et j'aimerais tant être prêt à vous croire sur votre simple parole.

Mais d'un côté il y a un inconnu qui livre une théorie bien argumentée et fortement illustrée de référence.
D'un autre, ça fait rire un inconnu sur ce forum.

Moi, je n'y connais mais j'ai besoin de fait et d'un raisonnement pour me faire un avis. Je ne suis pas assez influençable pour me ranger avec le clan de ceux qui se moquent.

Citation : C'est vrai, pour les arguments il suffit d'aller sur le site :mdr:



Ben oui, j'ai tout lu, mais je n'ai pas la connaissance pour démonter ce qu'il dit.
À défaut, on ne m'a pas proposé mieux à lire ou à croire. :noidea:
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Citation : À défaut, on ne m'a pas proposé mieux à lire ou à croire.


Il y a des milliers de CD et des centaines de livres sur ces sujets :o:
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Kloug, je croyais t'avoir répondu: l'influence de Vivaldi sur la musique instrumentale est reconnue, étudiée, digérée.

C'est du niveau licence de Musicologie, c'est-à-dire pas grand chose d'extraordinaire, comme niveau universitaire. Et c'est du vécu, je t'assure.

donc, oui, je me gausse.

 

Veuillez agréer l'expression de mes sentiments distingués.

Hi Cowboy 

409
Je ne trouve pas que l'article cherche à promouvoir Vivaldi.
Il cherche plutôt à modérer l'image du compositeur omniscient qu'on nous a faite de Bach.
410
C'est quand même un de ses arguments massue.

et puis franchement, son argumentaire sur la non reconnaissance de Bach de son vivant, qui serait en quelque sorte la preuve de son manque de génie, là, c'est franchement

 

Veuillez agréer l'expression de mes sentiments distingués.

Hi Cowboy 

411
Ce n'est pas exactement ce que j'ai compris.
Il montre par le phénomène de notoriété différée que la cannonisation d'un compositieur est plus une affaire de besoin idéologiques du moment qu'elle n'est le reflet d'une réalité.
Ainsi les retournements de notoriété selon les époques et les changements d'idoles tendent à prouver à quel point ces "cannonisations" sont fragiles et partiales.

Ça rejoint juste un point connu en histoire : l'histoire est faire par ceux qui l'écrivent. (bien plus que par ses acteurs)
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+1

Hors sujet : Bien rentrés ? :clin:

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Son raisonnement ne me semble pas toujours très honnête mais je n'ai pas pu m'empêcher d'acquiescer mentalement à la lecture de son chapitre "profondeur ou superficialité" (bon...dans la foulée, le souvenir d'un de ses chorals pour orgue est venu tempérer ce sentiment, mais tout de même ça reste pertinent...)
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Hors sujet : On est rentrés niquel !
avant de prendre l'avion, on a profité d'une crique paradisiaque près de Santa Manza et on a regardé un couché de nuages sur les bouches de Bonifacio. Superbe. Et encore merci. :bravo:

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Citation : Ce n'est pas exactement ce que j'ai compris.
Il montre par le phénomène de notoriété différée que la cannonisation d'un compositieur est plus une affaire de besoin idéologiques du moment qu'elle n'est le reflet d'une réalité.
Ainsi les retournements de notoriété selon les époques et les changements d'idoles tendent à prouver à quel point ces "cannonisations" sont fragiles et partiales.



certes, mais là, on parle de Bach, qui est mort en 1750. Tout le monde a bien eu le temps de réfléchir, je crois.

 

Veuillez agréer l'expression de mes sentiments distingués.

Hi Cowboy