Ce n'est pas exactement ce que j'ai compris.
Il montre par le phénomène de notoriété différée que la cannonisation d'un compositieur est plus une affaire de besoin idéologiques du moment qu'elle n'est le reflet d'une réalité.
Ainsi les retournements de notoriété selon les époques et les changements d'idoles tendent à prouver à quel point ces "cannonisations" sont fragiles et partiales.
Ça rejoint juste un point connu en histoire : l'histoire est faire par ceux qui l'écrivent. (bien plus que par ses acteurs)
Son raisonnement ne me semble pas toujours très honnête mais je n'ai pas pu m'empêcher d'acquiescer mentalement à la lecture de son chapitre "profondeur ou superficialité" (bon...dans la foulée, le souvenir d'un de ses chorals pour orgue est venu tempérer ce sentiment, mais tout de même ça reste pertinent...)
Hors sujet : On est rentrés niquel !
avant de prendre l'avion, on a profité d'une crique paradisiaque près de Santa Manza et on a regardé un couché de nuages sur les bouches de Bonifacio. Superbe. Et encore merci.
Citation : Ce n'est pas exactement ce que j'ai compris.
Il montre par le phénomène de notoriété différée que la cannonisation d'un compositieur est plus une affaire de besoin idéologiques du moment qu'elle n'est le reflet d'une réalité.
Ainsi les retournements de notoriété selon les époques et les changements d'idoles tendent à prouver à quel point ces "cannonisations" sont fragiles et partiales.
certes, mais là, on parle de Bach, qui est mort en 1750. Tout le monde a bien eu le temps de réfléchir, je crois.