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Modes et gammes majeure, du pareil au même?

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Sujet de la discussion Modes et gammes majeure, du pareil au même?
Bonjour à tous,

je me présente brièvement, guitariste depuis 15ans, un bon background de solfège (9 ans), un peu de violon, ...
Bref, pas trop noob mais un peu quand même ^^

Ca fait bien longtemps que je ne touche plus trop à la théorie, et dernièrement j'ai eu envie de comprendre les modes et gammes. En lisant un cours sur le net (http://www.le-guitariste.com/connaissancedesgammes/connaissancedesgammes.html) j'ai pris mon manche (de guitare) et j'ai commencé à jouer ces gammes de mode Lydien, Dorien et compagnie.

Et la, interpélation profonde de mon self propre... Ces gammes sont identiques mis à part leur point de départ??
Tous ces modes sont en fait la meme gamme en terme d'intervales.

Alors peut être que je n'ai rien compris, mais j'aimerais bien que quelqu'un m'éclaire : j'ai l'impression que les gammes des modes (Lydien, Dorien, Myxolidien, Phrygien, etc) et les gammes majeures (Do maj, Ré maj, etc) sont en fait la même gamme qui est décalée de X demi tons sur le manche.

???
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26
Citation :
Sinon je n'oppose pas les modes et les majeurs/mineurs puisque visiblement ça n'a aucun rapport. Je dis bien que c'est pas pareil, pas la même notion, quoi.

Ben si, moi ce que je dis c'est que majeur et mineur sont deux modes particuliers !
Ils ont fait oublier les autres pour certains musiciens, mais en jazz et en musique ancienne ils ont encore un sens (et certains musicens bien "classiques" au début du XXè siècle ont écrit de la musique modale).
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Bon. J'ai encore du taff alors pour intégrer tout ça. wink

Désolé Putois d'avoir pourri ton fil.

Il y a deux moyens d’oublier les tracas de la vie : la musique et les chats.
Albert Schweitzer

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Je n'ai jamais compris en quoi il est si difficile de voir clair dans la formation des modes noidea
C'est la toute première chose que j'ai étudiée, seul avec ma guitare et un livre ("Le son du jazz" Vol.1) sur une table. En deux minutes c'était plié.
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Eh bien, pour ma part je n'ai jamais compris qu'on trouve ça simple, et j'ai bien peur que tu aies zappé une partie du problème. Une fois n'est pas coutûme, je vais donner un lien vers Wikipedia, qui sur ce coup là a le mérite d'exposer, justement, la complexité sous-jacente à l'emploi du terme "mode" :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Mode_(musique)#Le_problème_des_noms_grecs_des_modes

Zut mon lien ne marche pas comme je veux :-(
Mais en googlant sur "problème nom grec des modes" on tombe sur la page : deuxième lien, puis paragraphe 3.1
Bonne lecture !

[ Dernière édition du message le 25/12/2009 à 15:16:31 ]

30
Je ne parlais pas des noms mais du principe des modes, structure de départ et mode découlant du déplacement du ton de départ dans la structure donnée.
Pour le nom des modes je me suis toujours entendu avec les musiciens avec qui je devais jouer ou lorsque je devais faire une analyse.
Dans tous les cas si j'ai zappé quelque chose cela ne m'a pas empêché d'aller à l'essentiel.

[ Dernière édition du message le 25/12/2009 à 18:10:03 ]

31
Ça reste compliqué pour qqn de "formation" tonale de se mettre à une réflexion modale. Il m'a fallu des mois pour arrêter de m'emmêler entre justement ce que boub's appelle "jouer modal" et "utiliser du vocabulaire modal pour jouer du tonal". Faire la différence entre  jouer un II V I en tonal ou en modal.
Et si je comprends aujourd'hui cent fois mieux, j'ai du mal à sortir certains de mes élèves de ce problème.
Hors sujet :
Question HS que je me pose, c'est si il est fréquent en jazz de jouer un/des mode/s majeur/s sur une grille mineure, ou inversement. Le conflit de tierce ne fait pas se casser la gueule l'harmonie (genre c'est moche quoi)? Des exemples de morceaux (enfin des versions où des musiciens osent ça) ?

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Citation de Head Minerve :
Ça reste compliqué pour qqn de "formation" tonale de se mettre à une réflexion modale.

C'est bien possible car pour ce qui me concerne je me suis retrouvé d'entrée confronté aux modes.
Le diagramme de la page 17 de "Le son du jazz: vol1" est d'une clarté et d'une concision exemplaire.
Je l'ai toujours utilisé pour mes cours, avec grand succès.
Les harmonies modales c'est arrivé un peu plus tard mais sans douleur.

[ Dernière édition du message le 05/01/2010 à 19:54:35 ]

33
Ce n'est pas exactement ce diagramme qu'il y avait dans le livre mais cela s'en approche

http://guitar-lessons.topchoicereviews.com/i/guitar-modes.jpg

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Je ne vois pas trop l'utilité du diagramme.
On sait qu'on part à chaque fois sur d'une note, le problème c'est d'arriver à retenir les noms des modes, et le diagramme n'y contribue en rien.
35
Ben pour ce qui me concerne avec ce genre de diagramme j'ai compris le principe des modes ainsi que le nom associé.
Quelle difficulté y a-t-il à associer une structure et son nom?
Je ne saisi pas noidea
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Aucune, mais :
- avec deux structures et deux noms, déjà un peu plus ; et là il y a 7 tels couples ;
- ensuite, plus grave, les noms sont anecdotiques, ils n'ont aucun logique rapport avec la note de départ ; ce qui me sert, musicalement, c'est de connaître la note de départ et la place des demi-tons, ça oui ; mais le nom, il m'avance à quoi ?

Par exemple, mMode de Mi cela me parle vachement, beaucoup plus que phrygien, parce qu'au-dessus du Mi je sais qu'il y a le Fa, et donc ce demi-ton au départ est tellement caractéristique ! Mais phrygien, à part le bonnet du même nom, ça n'évoque pas grand-chose pour moi ;-)


(il s'agit là d'une alllergie toute personnelle, je n'ai que du respect pour ceux qui sont à l'aise avec ces noms, comme d'autres avec les espèces de papillons !)

[ Dernière édition du message le 05/01/2010 à 21:34:14 ]

37
salut.
pour répondre à HeadMinerve, qui n'est pas si HS que ça...
sur une grille mineure (tonale), il y a des tonnes d'accords majeurs qui passent, donc la question ne se pose pas en ces termes.
Par contre, jouer un mode majeur sur un accord mineur, je crois pas que ce soit si fréquent, sauf dans des cas de substitution:
Dans un IIm7 V7 IM7, on peut jouer le II mixo, par exemple, pour le transformer en dominante secondaire du V, ça pose pas trop de problèmes si c'est bien entendu et bien fait.
Par contre jouer le I majeur, alors que la grille (et donc tes potes) le joue en mineur, là, ça craint...

jouer mineur, sur un accord majeur, ça, ça peut donner un coté blues qui peut être intéressant, mais c'est dangereux, un peu...
après, il y a des modes qui contiennent à la fois la 3ce Majeure et la 3ce mineure, et là, ça peut devenir carrément cool !
Citation de Alain :
le problème c'est d'arriver à retenir les noms des modes
ouaip, ça fait 20 ans que je les pratique, et j'ai toujours un léger doute quand je parle de phrygien et de locrien....
bb's
même la hauteur des notes n'est pas absolue
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Pour la question mineur sur maj etc etc
Il m'arrive souvent de jouer le mode qui part de la 3ce ou de la quinte de l'accord.
Par exemple Eb lydien ou G aéolien sur un Cm7 plutôt que C dorien.
Bon ce n'est pas vraiment du majeur sur du mineur ou inversement, mais ça permet de déplacer les centres mélodiques habituels.
39

Bonjour à tous ! Ce sujet est passionant !

Pour tous ceux qui ont de la difficulté à saisir la nuance entre seulement transposer une gamme versus changer de mode, je partage ce qui ma permit de faire la différence... (bon, les puristes trouveront peut-être que c'est trop simpliste et réducteur, ou que j'utilise la « matière modale » à outrance, mais l'exemple aide à la compréhension et c'est ce qui importe!).

Pour bien saisir la différence de couleur musicale entre deux modes, tentez de jouer le début de l’air de « Au clair de la lune » sur votre guitare. Jouez l’originale en C majeur en jouant :

C-C-C-D-E-DC-E-D-D-C.

Vous êtes en C, premier degré (C Ionien) et ça sonne comme on est tous habitués de l'entendre.


Maintenant, transposez la même « séquence » (le même mode) d'un ton plus haut en jouant :

D-D-D-E-F#-E... D-F#-E-E-D

Vous êtes en D, premier degré (D Ionien) et ça sonne encore une fois comme on est tous habitués de l'entendre, mais un ton plus haut.

Tout le monde pige jusqu'ici que l'on a fait que transposé. Au lieu de jouer en Do majeur, on a joué la même chose en Re majeur.

Peu importe où on débute sur le manche , la « couleur » de la mélodie est la même et est plutôt « joyeuse ».

Maintenant, changeons de mode....

La séquence d'intervalle du deuxième mode (le mode Dorien) est D E F G A B C. C'est ici que plusieurs personnes confondent tout. Pour jouer la même mélodie dans ce nouveau mode, il ne faut pas adapter la mélodie en espérant retrouver les mêmes intervalles mélodiques, tout en débutant seulement sur le D, car l'adaptation résultante ne sera qu'une simple transposition du même mode comme on la déjà fait plus haut. Nous devons plutôt « contraindre » la mélodie à l'intérieur de cette nouvelle séquence d'intervalle qui est : D E F G A B C (ou 1 t, ½ t, 1 t, 1 t, 1 t, ½ t). Ce n'est pas le mode qu'il faut adapter à la mélodie, mais la mélodie qu'il faut « caler » sur le mode (il y a modification de la mélodie).

Si on la débute sur le D on jouera donc : D-D-D-E-F-E...D-F-E-E-D

Nous sommes donc en D, deuxième degré (D Dorien) et ça ne sonne plus du tout pareil !

Si on la débute sur le C on jouera : C-C-C-D-D#-DC-D#-D-D-C (ce qui respecte les intervalles de la séquence D E F G A B C)

Nous sommes donc en C, deuxième degré (C Dorien) et ça ne sonne plus du tout pareil encore une fois !

Bon, nous saisissons tous que le C Dorien n'est qu'une transposition du D dorien, mais dans les deux cas, la mélodie que nous avons « contrainte » dans le mode Dorien ne sonne plus aussi joyeuse que dans le premier mode (Ionien). Tout ceci parce que l'ordre des intervalles tons/demi-tons n'est pas le même dans chaque mode.

Ionien = 1 t, 1 t, ½ t, 1 t, 1 t, 1 t                                                                         
Dorien = 1 t, ½ t, 1 t, 1 t, 1 t, ½ t
Etc.

Comme certains l'on déjà mentionné, les modes n'ont de sens que si on tien compte d'un début et d'une fin à l'intérieur d'une séquence mélodique. Si on veut, on peut concevoir les modes comme étant les 7 différentes mélodies de base qu'il est possible d'effectuer avec une gamme (nonobstant le rythme, la tonalité, et les millions de façons de « rouler » les séquences mélodiques).

Tentez de « caler » certaines de vos mélodies habituelles ou préférées à l'intérieur des différents modes et vous obtiendrez de « nouvelles » mélodies. Le problème avec certaines personnes (dont moi-même), c'est que plusieurs font déjà tout ceci intuitivement depuis des années. En fait, les modes servent à créer des mélodies différentes. J'en entends déjà conclure que « Alors jouer  "Au clair de la lune"  dans un autre mode, ce n'est plus jouer "Au clair de la lune", car la mélodie est différente! ». Eh oui, c'est exactement ça, les modes changent les structures mélodiques !! (mais ce qui est super, c'est que nous somme toujours à l'intérieur de la même gamme « principale ».)

Mais au moins, on comprend maintenant qu'il y a bien une différence entre les différents modes et que ce n'est pas que de la simple transposition de tonalité !

@+

 

 

"Si t'enregistres à Poudlard, avec l'ingé son Dumbledore, les lois physiques tu peux t'en foutre. Mais dans l'monde réel, les lois physiques, les mesures, le dBFS, tout ça existe bel et bien." youtou

[ Dernière édition du message le 10/07/2010 à 17:15:56 ]

40

Sauf que le D# serait plutôt un Eb! Et en mineur ça devient "A l'obscurité de la lune" mrgreen ...

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Je crois que l'interrogation vient du raisonnement suivant (qui a longtemps été le mien) :
- une gamme se caractérise par les notes qu'elle contient. Si je joue telle gamme de la mesure 4 à la mesure 8, je peux jouer n'importe laquelle des notes de cette gamme. En faisant des essais je verrais les notes et motifs qui me plaisent bien.

Cette définition fonctionne assez bien avec des gammes comme : do majeur, do mineur, penta majeure de do... car elles ne contiennent pas les mêmes notes. Mais quand on en arrive aux modes, on ne voit pas l'intérêt de les définir vu qu'ils contiennent les mêmes notes (impression d'ailleurs fausse, donnée par la méthode de construction : "gamme majeure de do où on change la note de départ" ).

En fait "anonyme" (!!) donne un piste au début :
Citation :
Ce qu'il faut comprendre, c'est que dans un mode il y a deux ou trois degrés (=échelons = notes) qui jouent un rôle privilégié : la premier (par ex Do) et le cinquième (par ex Sol), et aussi le quatrième (Fa).
DE nombreuses formules typiques tournent autour de ces degrés (notamment le 5è) ou y aboutissent finalement (le 1er). Comme les intervalles qui entourent ces degrés ne sont pas les mêmes vu la structure non équidistante, il en résulte que ces formules sonnent différemment.

Je crois que tu pourrais rechercher des petites pièces annoncées comme étant en majeur ou en mineur, et tu te rendrais compte que cela ne sonne pas pareil.


Ensuite le "Au clair de la lune" de darkmoon permet de se faire une idée ; et doit correspondre à l'attente de JLuc concernant un exemple concret.

En fait darkmoon a vraiment bien expliqué le truc je pense (pour les pas très doués en harmonie, dont je fais partie).
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Une méthode qui moi m'a beaucoup aidé à comprendre, et surtout utiliser, les modes, c'est d'arreter de jouer C Ionien, D Dorien, E Phrygien, etc ... Mais de jouer un E grave (pour les guitaristes, c'est plus simple), et SUR ce E, jouer E Ionien, puis E Dorien, puis E Phrygien, puis E Lydien, etc etc etc.

 

C'est con, mais d'un coup d'un seul, la "couleur" du mode devient évidente et on comprend que sur tel accord majeur ou mineur, on peux facilement apporter telle ou telle couleur.

Jouer  C D E F G A B tout seul, ça n'a pas grand intérêt ... Jouer C D E F# G A B seul non plus ... Mais jouer C D E F G A B ou C D E F# G A B sur CM, on comprend nettement plus d'un coup ;)

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En fait jouer phrygien sur le troisième degré d'une tonalité, par exemple jouer le phrygien de C sur l'accord Em, ça revient à jouer en C, ça n'a pas grand chose de modal. Donc effectivement ta manière de penser a été juste, et c'est vrai que c'est pas évident d'assimiler les modes si on ne raisonne pas de manière aussi simple comme tu l'as fait, pour quelqu'un qui ne connait encore rien à cette vision de la musique.

Honnêtement quand j'ai essayé de comprendre les posts afiens y'a de ça deux/trois ans il me semble, c'était tout sauf pédagogique, même si c'était intéressant.

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Citation :

 En fait jouer phrygien sur le troisième degré d'une tonalité, par exemple jouer le phrygien de C sur l'accord Em, ça revient à jouer en C, ça n'a pas grand chose de modal. Donc effectivement ta manière de penser a été juste, et c'est vrai que c'est pas évident d'assimiler les modes si on ne raisonne pas de manière aussi simple comme tu l'as fait, pour quelqu'un qui ne connait encore rien à cette vision de la musique.

 et du coup par exemple, sur le III en do par ex, si on joue je sais pas moi locrien dessus, ça veut dire qu'on va utiliser un mode de si sur mi tout en étant dans une tonalitée de do?

#ALAPLAJ L'été n'est pas fini partout!

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C'est ça, mais pour le coup tu n'es plus sûr d'être dans la tonalité de C, à moins que la suite d'accords ne l'impose.

46

Hors sujet :

Citation :

Sauf que le D# serait plutôt un Eb! Et en mineur ça devient "A l'obscurité de la lune"

Et quand la Lune dessine un D c'est le premier quartier vers la Pleine Lune. facepalm

 

 

 

Il y a deux moyens d’oublier les tracas de la vie : la musique et les chats.
Albert Schweitzer

[ Dernière édition du message le 18/08/2010 à 17:01:23 ]

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ok, le mode de si c'était juste pour l'exemple, mais de toute façon le but de l'utilisation de modes dans un contexte tonal c'est justement de ne plus être sur de la tonalité dans laquelle on est non?

#ALAPLAJ L'été n'est pas fini partout!

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Les deux sont possibles, jouer tonal (rester dans la tonalité) mais donner une couleur à ta gamme (mélodie) sur un accord ou l'ensemble de la suite, ou bien jouer modal (ne pas respecter la tonalité qu'impose la grille d'accords pour faire simple), ce qui à l'oreille déstabilise l'auditeur, la notion d'accord tonique et de résolution tend à disparaitre, ou à être modifié en comparaison d'un jeu tonal classique.

C'est assez simple en pratique, tu as pour commencer tes 7 modes (gammes naturelles d'abord), dont 3 sont majeurs et 4 mineurs. Quand tu es en C ou en Am (tonalités qui utilisent exactement les mêmes gammes), par exemple sur l'accord de C tu peux jouer ionien, lydien, mixolydien, qui sont les 3 modes majeurs ici. Vu que tu es sur un accord majeur, la tension sera "plutôt" légère car tu respecteras les notes qui composent l'accord de C, càd la tonique, la tierce et la quinte. Sont altérées la 6te et /ou la 7e seulement.

Improvise sur un C en jouant ces 3 modes, tu verras la nuance. Selon le contexte (suite d'accords, tel morceau), ça va sonner... ou pas. Après à toi de voir si tu as la sensation que l'on change de tonalité ou pas, je ne sais pas si c'est le but. Perso je trouve que chaque mode exprime une/des émotions/s différente/s, je ne vois aps ça comme le fait de vouloir "perdre" l'auditeur. icon_mrgreen.gif

49

Citation de :

  sur l'accord de C tu peux jouer ionien, lydien, mixolydien, qui sont les 3 modes majeurs ici.

 ok, donc en fait c'est pas si terrible que ça a capter, ça se résume à par exemple mettre un fa# ou un La bémol sur un accord de C maj, pour aller sur le V ensuite par exemple?

j'y vois plus clair en tt cas, merci! niveau théorie j'ai pas trop de problème, ça fait un moment que c'est assimilé ( a part le nom des modes, pr moi ionien c'est mode de do et point barremrgreen )

c'est plus pour mettre en pratique que je galère! faut réfléchir vite en jouant quoi...

#ALAPLAJ L'été n'est pas fini partout!

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Ben y'en a des plus férus en théorie ici, mais j'essaie de répondre simplement, et c'est pas évident !