Nouvelle scène jazz : e-jazz
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benj3000
153
Posteur·euse AFfiné·e
Membre depuis 21 ans
Sujet de la discussion Posté le 17/08/2003 à 15:47:07Nouvelle scène jazz : e-jazz
Slt ya til des pers. qi s1térésse au nouveau jazz et a des artiste come molvaer, lourau , wesseltoft....???
douglove
1023
AFicionado·a
Membre depuis 21 ans
131 Posté le 06/10/2003 à 18:09:35
Bien sûr que l'écriture jazz peut être très poussée !
Et oui, même depuis les tous premiers.
Chaque époque, chaque mouvement, a ces grands compositeurs.
Et loin de moi l'idée de nier l'importance de l'écriture dans le jazz.
Mais la plupart du temps (je me couvre) il y une place pour l'improvisation.
Pas forcément une place centrale, mais une place tout de même.
C'est le plus petit dénominateur commun du jazz.
Ceci dit, c'est une erreur que d'opposer constament écriture et improvisation, car l'une et l'autre se juge ou s'apprécie sur les mêmes critères. L'une se fait avec du papier et l'autre avec du souffle, sur le moment.
Pour ce qui est du rythme, non on ne peut absolument pas dire qu'en quoi que ce soit il soit constant dans la musique de jazz. Il n'est pas utile de s'arrêter au free (60's) pour le découvrir... Miles, Ellington, Evans on écrit, joué, improvisé sur des valses. D'autres ce sont tournés vers l'Afrique, d'autres plus tard vers le rock ou le funk.
Voilà, sinon et bien on peut réfléchir d'une manière non pas strictement musicale, mais plutot en terme famille ou descendence logique...
Peut-on dire que le rythme, la tonalité du rock soient les mêmes pour Gene Vincent et Radiohead ? Pourtant, ils font partie d'une même famille musicale qui passe par Dylan, les Beatles, Bowie etc...
Dans la famille jazz donnez moi le père (Ellington ?) le grand père (Jelly Roll Morton ?) le fils (Pharoah Sanders ?)...
Et dans la famille funk le godfather ou le petit prince ?
C'est plus simple d'approcher la musique comme ça je crois...
Après, rien n'interdit les cross-over familiaux, au contraire ça fait des enfants plus costauds.
Et oui, même depuis les tous premiers.
Chaque époque, chaque mouvement, a ces grands compositeurs.
Et loin de moi l'idée de nier l'importance de l'écriture dans le jazz.
Mais la plupart du temps (je me couvre) il y une place pour l'improvisation.
Pas forcément une place centrale, mais une place tout de même.
C'est le plus petit dénominateur commun du jazz.
Ceci dit, c'est une erreur que d'opposer constament écriture et improvisation, car l'une et l'autre se juge ou s'apprécie sur les mêmes critères. L'une se fait avec du papier et l'autre avec du souffle, sur le moment.
Pour ce qui est du rythme, non on ne peut absolument pas dire qu'en quoi que ce soit il soit constant dans la musique de jazz. Il n'est pas utile de s'arrêter au free (60's) pour le découvrir... Miles, Ellington, Evans on écrit, joué, improvisé sur des valses. D'autres ce sont tournés vers l'Afrique, d'autres plus tard vers le rock ou le funk.
Voilà, sinon et bien on peut réfléchir d'une manière non pas strictement musicale, mais plutot en terme famille ou descendence logique...
Peut-on dire que le rythme, la tonalité du rock soient les mêmes pour Gene Vincent et Radiohead ? Pourtant, ils font partie d'une même famille musicale qui passe par Dylan, les Beatles, Bowie etc...
Dans la famille jazz donnez moi le père (Ellington ?) le grand père (Jelly Roll Morton ?) le fils (Pharoah Sanders ?)...
Et dans la famille funk le godfather ou le petit prince ?
C'est plus simple d'approcher la musique comme ça je crois...
Après, rien n'interdit les cross-over familiaux, au contraire ça fait des enfants plus costauds.
Government Stealth Warning : Don't drink from the Mainstream
29
8
Nouvel·le AFfilié·e
Membre depuis 21 ans
132 Posté le 06/10/2003 à 18:25:28
Citation : C'est de la musique non écrite en général
J'suis d'accord. Et ça veut effectivement pas dire que tout réside dans l'impro.
De plus les théories sur cette musique sont venues après que des musiciens aient développé l'harmonie... Comme Charlie Parker qui développe la onzième, treizième ou quinzième (Monk et Diz ne sont pas loin de lui...). Mais ça a été théorisé après. Une façon de rendre rationnelle une musique non écrite.
Et c'est bien ces théories qui me posent problème. A mon umble avis c'est une façon de tuer le jazz. Le rendre académique est le meilleur moyen de ralentir sa progression. Même le free est théorisé. C'est un comble
Anonyme
521410
133 Posté le 06/10/2003 à 18:50:38
Citation : Je suis absolument pas d'accord sur le rôle de l'improvisation, plus que surestimé en jazz. C'est de la musique non écrite en général, ça veut pas dire que c'est de l'improvisation, c'est une erreur basique à mon avis.
Idem.
Il faut arrêter de délirer avec ça. L'impro n'est pas du tout ce qui caractérise le jazz. Mais comme le dit Gabou : le rythme
(Et puis si Ellington est le père, Jerry Roll Morton n'est pas le grand père du jazz, mais Louis Amstrong)
Pov Gabou
19553
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 22 ans
134 Posté le 06/10/2003 à 19:00:31
Citation :
Et c'est bien ces théories qui me posent problème. A mon umble avis c'est une façon de tuer le jazz. Le rendre académique est le meilleur moyen de ralentir sa progression. Même le free est théorisé. C'est un comble
Parce que théoriser est forcément synonyme d'académisme ? Même si ça suffit pas, et c'est pas l'essentiel, beaucoup de jazzmen pro faisaient beaucoup de théorie (il faisait quoi quand il jouait pas, Coltrane ?).
Le but, c'est quand même aussi de bosser beaucoup (par forcément par l'académisme, ni par l'écrit : la tradition orale sert aussi à ça, surtout aux débuts du jazz), puis de s'en délier.
Les "combats de sax", dans les années 30 à Kansas City, ça devait quand même être quelque chose. C'est aussi ça, le jazz.
Anonyme
5238
135 Posté le 10/10/2003 à 20:46:53
Bpn j'ai pas tous lu ,mais moi je trouve que de wilde et decevant en electro jazz...j'aime bcp molvaer;et surtout morgane saint louis...
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