Auto-entreprise, auto-entrepreneur
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kikakif31

Je me demande si comme moi des musiciens y réfléchissent dans le domaine de l’autoproduction ? Je me dis que ça pourrait être pas mal pour promouvoir ma p’tite musique et vendre mes p’tits CDs etc… (je fais ma musique principalement seul).
Je me demande aussi les avantages / inconvénients par rapport aux structures juridiques simples telles que assoc, et aussi l’articulation par rapport à l’intermittence ? What do you think, fellows ?

phoenix (was acapela)

La seule exonération totale qui a été actée est celle de la "taxe professionnelle"... qui a été abrogée l'année de la création de l'Auto-Entreprise, en 2008 si je ne m'abuse (et merci qui ?)
Que vous soyez "auto" ou pas, vous êtes entrepreneurs, et il y a des règles qui s'appliquent. Ces règles sont écrites, il faut juste les lire. Ca va être quoi, la prochaine étape ? "Ah ben merde ! j'ai payé des charges sur le C.A. de mon activité d'auto-entrepreneur et je n'ai aucune sécurité sociale, aucun chômage, aucune retraite, bref, rien que je récupère (de ces charges) ???!"
Wake-up, les gens...

Alchemy

Et les regles on changé au fil des années sans laisser d'autre choix que la clé sous la porte a tous ceux qui voyaient ça comme une alternative au black et un complement de revenus.
Je ne parle pas de ceux qui en vivent, evidemment ce n'est une surprise pour personne mais pour eux 300 euros c'est négligeable, sans etre vraiment transparent ca ne represente pas non plus 50% de leur chiffre d'affaire.
L'exoneration de CFE etait comme pour toutes les decisions a propos des AE un truc voté à l'arrache dans l'urgence en attendant de clarifier les conditions fiscales, et ça change tous les 3 mois alors c'est un peu débile de dire simplement "vous tombez des nues les gens".
And none of the tears that we cry in sorrow or rage, Can make any difference or turn back the page...

#Houba


Ex-producteur retraité de la musique en 2016

the bubble

c'est quoi le cfe?

phoenix (was acapela)

T'es AE toi ? Tu les as lus les documents legaux du status, tu as appelé l'Urssaf pour te renseigner avant de le faire ? Moi oui.
Et les regles on changé au fil des années sans laisser d'autre choix que la clé sous la porte a tous ceux qui voyaient ça comme une alternative au black et un complement de revenus.
Je ne parle pas de ceux qui en vivent, evidemment ce n'est une surprise pour personne mais pour eux 300 euros c'est négligeable, sans etre vraiment transparent ca ne represente pas non plus 50% de leur chiffre d'affaire.
L'exoneration de CFE etait comme pour toutes les decisions a propos des AE un truc voté à l'arrache dans l'urgence en attendant de clarifier les conditions fiscales, et ça change tous les 3 mois alors c'est un peu débile de dire simplement "vous tombez des nues les gens".
Non, je ne suis pas en AE, mais j'ai étudié dès le début, la fiscalité du truc et le rendement, et, dès 2008, il était question d'exonération de CFE durant 3 ans (donc... plus d'exo après 3 ans), et ça, ça n'a jamais changé.
Par ailleurs, l'AE, dès le début aussi, a été créée comme complément de revenus et non pour mettre en place une activité principale. Ceci étant pour éviter la concurrence déloyale avec les entrepreneurs "classiques" (ceux qui sont chargés à mort, au forfait et au pourcentage).
Ce que je dis est peut-être débile mais néanmoins, vrai. Des gens qui sont venus me consulter, je les ai bien prévenus sur (notamment) cet aspect-là de l'AE (c'est précisément pour cela que j'ai... non pas étudié les textes mais seulement LUS) ; après, les gens font ce qu'ils veulent, mais ils ne peuvent pas dire qu'ils n'ont pas été informés.
[ Dernière édition du message le 16/11/2014 à 21:30:50 ]

phoenix (was acapela)

(dans ce même topic)
Le statut d'auto-entrepreneur n'est PAS une structure juridique mais un statut fiscal.
Vous serez exonéré de taxe professionnelle les 2 premières années
Pour la TVA, il y a un seuil à ne pas depasser...sinon cela devient obligatoire.
Je ne dis pas que ce statut n'est pas bien, il est bien mais il ne faut pas prendre pour argent comptant tous les blasblas sur internet.
De plus, beaucoup des avantages de ce statut sont limités par des seuils, il faut donc se renseigner correctement.
[ Dernière édition du message le 16/11/2014 à 21:36:09 ]

phoenix (was acapela)

(dans ce même topic)
Citation : Vous serez exonéré de taxe professionnelle les 2 premières années
Pas exactement, Il y a une exonération la première année tout comme pour toute entreprise, ensuite il est possible d'en être exonéré les 2 années suivantes si l’auto-entrepreneur opte pour le versement libératoire de l’impôt sur le revenu.
Citation : il est bien mais il ne faut pas prendre pour argent comptant tous les blasblas sur internet.
Clair, c'est quand même une bonne nouvelle, même si on peut comprendre la motivation d'un tel dispositif par les législateurs, c'est il me semble un meilleur compromis pour démarrer dans un projet et ou des services de production.
Citation : Vous êtes travailleur indépendant, artiste, free-lance...
Le statut d'auto-entrepreneur vous permet de créer une structure juridique à part entière
Je ne met pas en doute la source de l'article, cependant il n'y a aucune structure juridique sous l'AE, de plus concernant les artistes je préfère avoir une confirmation, noir sur blanc des services des impôts et ou CFE etc...
[ Dernière édition du message le 16/11/2014 à 21:37:11 ]

#Houba

l'AE, dès le début aussi, a été créée comme complément de revenus et non pour mettre en place une activité principale. Ceci étant pour éviter la concurrence déloyale avec les entrepreneurs "classiques" (ceux qui sont chargés à mort, au forfait et au pourcentage)
Il faudrait peut-être d'abord se poser la question de savoir s'il est normal que le candidat entrepreneur ou même auto-entrepreneur soit soumis à autant d'obligations, frais, taxes et autres contraintes légales avant même d'avoir gagné quoi que ce soit. Il existe des pays où démarrer une entreprise est infiniment plus simple et où les charges forfaitaires n'existent pas, y compris en Europe (structure Ltd en GB par exemple) Après on s'étonne du manque d'esprit d'entreprise.
Ex-producteur retraité de la musique en 2016

position.on.off

Bonjour l'horreur, la France est un pays de normes, et il y a des documents pour à peu près tout, et tu es à peu près sûr d'enfreindre systématiquement une règle.
Concernant le statut d'auto-entrepreneur, ma petite expérience sur le sujet:
j'avais monté un label de la sorte et honnêtement si c'était à refaire je ne le referai pas, je passerai soit pas une association soit directement en SAS des formes qui sont peut être plus contraignantes sur le papier mais se révèlent aussi beaucoup plus ouvertes en terme de possibilités.
L'autoentrepreneuriat permet d'avoir un SIRET, ce qui peut être utile pour être chez certains disquaires (mais pas tous, certains gèrent en "dépôt ventes" avec les particuliers et de fait n'ont pas besoin de ce statut, je dirai même que c'est le cas majoritaire chez les indépendants), on peut donc émettre des factures (mais on peut aussi le faire avec une association dans des conditions assez similaires: exonération de TVA etc.). En revanche mettre la main dans le RSI est une galère sans nom, ce service (et regardez sur internet des témoignages)est très mal géré, réclame des sommes indues, ne prend pas en compte les radiations etc. Honnêtement j'ai eu des galères incroyables avec eux depuis deux ans.
Bref si je devais refaire un label pour le fun et sans chercher à le développer je le ferai sans statut: je ne risque pas grand chose (vu que c'est une activité souvent déficitaire ou au mieux à l'équilibre) et avoir un statut d'auto-entrepreneur n'amène aucune plus valu à cette activité. En revanche pour faire quelque chose de plus ambitieux j'irai vers une association (qui peut devenir une entreprise) ou carrément une structure type SAS.
L'exonération de TVA dans le cas de ventes de marchandise n'est pas super intéressante, en particulier sur un support comme le disque.
Être en SAS permet de récupérer la TVA voir ne pas en payer (on est exempté de TVA quand on achète des biens en Europe avec le statut TVA). De plus si on vend en Europe de la même manière on vend hors TVA si le bénéficiaire a un numéro de TVA.
Bon évidemment ce cas s'applique plus à la création d'un label qu'à celui d'émettre des factures dans le cadre de prestations, mais bon peut être qu'il intéressera des gens ici.
De mon coté on est maintenant en SAS et même si ça exige de nous plus de rigueur, je suis vraiment content de ne plus être en auto-entrepreneur.
Ce statut est une très belle idée au départ mais elle a largement été dévoyée "à la française".

the bubble

comment on fait alors pour commencer une nouvelle activité sans prendre le risque de se casser la figure?
pour l'instant j'ai un boulot mais je compte bien me diversifier grâce à l'ae, et ce pour une raison simple:
statut d'intermittent: comment trouver 507 h la première année?
guzo: compliqué et 50/50 au niveau financier
conclusion; ae pour commencer. et si ça marche passer à autre chose. c'est aussi simple que ça.
et au fait j'ai posé une question et j'aimerais bien une réponse: c'est quoi le cfe?
marre de toujours être obligé de râler pour avoir des réponses.

Anonyme

Pas besoin de râler...

CFE = Contribution Foncière des Entreprises
http://vosdroits.service-public.fr/professionnels-entreprises/F23547.xhtml
Ce qui a remplacé la taxe professionnelle.

the bubble

pour un label ou une ae de production, je comprends la contrainte...........que je ne connaissais pas. Je m'étais posé la question du créer deux ae: une d'enseignement/prestation et une pour un label......merci du retour d'expérience position.on.off, pour( le label c'est mort.......c'était une façon de faire de l'autoprod quoi! donc mauvaise idée.....
[ Dernière édition du message le 17/11/2014 à 18:07:41 ]

position.on.off

comment on fait alors pour commencer une nouvelle activité sans prendre le risque de se casser la figure?
Pourquoi pas une association ?
le RSI évite-le si tu peux, c'est géré de façon catastrophique
une recherche google avec "RSI témoignages" est assez parlante et je ne peux qu'aller dans ce sens ayant été confronté à l'incurie de cette administration (honnêtement c'est vraiment un bordel sans nom à tous les niveaux, alors que généralement l'état est plus efficace quand il s'agit de récupérer de l'argent)
(d'ailleurs j'ai ce fameux CFE à payer il semblerait malgré ma radiation...)

the bubble

beaucoup de questions qui me paraissent (au premier abord) plus complexes qu'avec l'ae, qui je le répète ne sera que temporaire, juste histoire déjà de voir si j'arrive à trouver des dates, me faire une micro notoriété et tourner plus. si cela ne marche pas, je peux fermer l'ae quand je veux. je ne suis pas sûr que ce soit le cas avec une assoc. Ah ce serait si simple de trouver une toute petite maison de disque.......
Enfin voilà j'ai déjà pas mal étudié les solutions, mais il va falloir en trouver une rapidement car je vais commencer à démarcher ce mois ci.
dernière chose, en tant que musicien enseignant, j'ai travaillé pour des associations dont le bureau était catastrophique (c'est le risque mais j'en ai vu des biens aussi) et croyez moi en 12 ans j'en ai eu des employeurs, il y en a des écoles de musiques associatives un paquet en france. je ne veux pas risquer le même genre de dérives que j'ai vécues (certaines fois) pour tenter mon aventure. peut être ai je tort mais voilà c'est là mon argument.

j-master

Voilà qu'on me demande aussi de payer la cfe, alors que ça fait 2 ans que j'ai été radié du système des ae faute d'avoir généré le moindre centime

Et ça va être à moi de réclamer pour ne pas payer. Ya des gens qui font leur taf dans ces administrations, des fois ?
"L'Homme est la nature prenant conscience d'elle même." - Elisée Reclus

Gros Corps Maladroit

Être en SAS permet de récupérer la TVA voir ne pas en payer (on est exempté de TVA quand on achète des biens en Europe avec le statut TVA). De plus si on vend en Europe de la même manière on vend hors TVA si le bénéficiaire a un numéro de TVA.

perso pour les sas et sa, je ne connais que
- la franchise en base de TVA (pas de reversement de tva mais egalement pas de remboursement!)
- le regime simplifié de tva (collecte et remboursement calculé forfaitairement)
- le regime réel de tva (collecte et remboursement au réel)
....il existe un autre régime de tva ?? (celui dont tu parles ? ni collecte, ni paiement

comment se nomme -t-il ????
aurait tu un petit lien s'il te plait ??

position.on.off

Fondamentalement la seule différence avec le fait d'acheter en France c'est que je n'ai pas à avancer la TVA, mais je trouve ça assez avantageux car comme pour le moment je perds de l'argent, c'est 20% de moins à avancer au moment de la commande (évidemment ces 20% peuvent être récupérés si je "perds" de l'argent mais on parle d'un délai de quelques mois, là je vois directement l'effet sur le compte en banque).
De fait concrètement ce régime par rapport à celui d’autoentrepreneur m'avantage de 20% avec mon distributeur situé dans un pays européen.
Comme je payais les disques TTC en étant autoentrepreneur, j'étais obligé de compter ces 20% dans mon prix de session. Là je peux calculer un prix HT que le distributeur va effectivement payer puisque j'ai un numéro de TVA intracommunautaire (et lui aussi). Je peux répercuté la possibilité de récupération de TVA et si en plus j'ai acheté en Europe je n'ai pas eu à avancer la somme correspondante.
Bref dans ma situation c'est assez avantageux vu qu'on essaie de récupérer de l'argent pour le réinjecter dans d'autres sorties avec l'idée que les anciennes sorties financent les suivantes, en revanche pour une entreprise "normale" qui gagnerait de l'argent ça ne change rien puisque de toute façon en principe elle paie de la TVA si elle vend ce qu'elle produit/achète avec une marge.
https://www.entreprises.cci-paris-idf.fr/web/reglementation/developpement-entreprise/droit-fiscal/regime-tva-echanges-intracommunautaires-biens
Une acquisition intracommunautaire est un achat de marchandise effectué par une entreprise assujettie établie en France auprès d'une entreprise assujettie établie dans un autre Etat membre de l'Union européenne.
La TVA française est exigible dès que le lieu de livraison du bien est réputé se situer en France et doit être acquittée par l'acquéreur du bien. La taxe est exigible le 15 du mois suivant la date de cette livraison.
La base d'imposition à la TVA est constituée par tous les éléments qui entrent en ligne de compte dans la détermination du montant de la transaction : prix, services rendus ou à recevoir en contrepartie de la livraison, subventions directement liées au prix, etc.
Concrètement, lorsqu'un acquéreur français reçoit la facture d'un vendeur établi dans un autre État membre de l'Union européenne, cette dernière ne contient pas de TVA. C'est donc l'acquéreur français qui doit payer la TVA française sur le prix de la transaction. Cependant, cette taxe acquittée par le redevable lors de l'acquisition intracommunautaire est déductible, sous réserve que les règles de facturation aient été respectées (notamment la mention du prix hors taxe et des numéros d'identification à la TVA du fournisseur et de l'acquéreur). Il doit, à ce titre, procéder à l'autoliquidation de la taxe en mentionnant la TVA collectée et la TVA déductible sur sa déclaration CA3.
Pour bénéficier de l'exonération de TVA au moment de la livraison, les quatre conditions suivantes doivent être réunies :
la livraison doit être effectuée à titre onéreux ;
le vendeur est un assujetti agissant en tant que tel ;
l'acquéreur est un assujetti à la TVA ou une personne morale non assujettie qui ne bénéficie pas du régime dérogatoire permettant de ne pas soumettre les acquisitions intracommunautaires à la TVA (se reporter au I de la fiche). En pratique, l'acquéreur est réputé assujetti à la TVA dès lors qu'il fournit son numéro d'identification à la TVA et qu'il s'agit d'une entreprise privée ;
le vendeur doit être en possession du numéro d'identification à la TVA de l'acquéreur dans un autre Etat membre ;
le vendeur doit disposer des justificatifs du transport de biens hors de France (la preuve peut être apportée par tout moyen : facture du transporteur, bon de livraison etc.). S' il ne peut pas justifier l'expédition, il doit soumettre la vente à la TVA.
Des règles de facturation sont aussi à respecter. La facture doit faire apparaître :

#Houba

Il y a un outil ici : http://ec.europa.eu/taxation_customs/vies/?locale=fr
Ex-producteur retraité de la musique en 2016

Gros Corps Maladroit

ne pas avancer la TVA quand on achète un bien dans un pays étranger (européen
merci bien position on-off !


the bubble

Si ça intéresse quelqu'un ou un groupe qui cherche des dates et qui n'a pas le choix comme moi, la meilleure solution, c'est une association qui va aider l'artiste en faisant la comptabilité et les facturations à sa place légalement, apparemment il y en a partout en france. ça ne marche pas sur les plates bandes de l'intermittence,c'est légal, on peut cumuler avec le guso (c'est un peu idiot si on est géré par l'assoc) et en plus le revenu net est meilleur par prestation. si ça peut aider.........

Prodige

J'ai survolé le sujet ainsi que pas mal de lien sur Google mais je n'ai pas trouvé ce que je cherche.
Est ce que je peux faire signer des contrats d'artistes en étant Auto Entrepreneur?
Je produit mon album et j'ai pas mal de featuring, j'aimerai faire signer des droits d'utilisation phonographique à mes featurings pour pouvoir utiliser leur voix légalement sur mes titres mais comme mon but est d'obtenir une licence ou distribution, j'aimerai aussi leurs faire un contrat d'artiste afin de les bloquer dans le but de les produire sur leurs propres albums que je vais produire. C'est juste pour tout valider en attendant de changer de structure et basculer les contrats auto entrepreneur en SARL ou autre...
Donc Contrat d'utilisation phonographique pour l'utilisation de voix d'autres artistes sur mes titres et contrat d'artiste pour produire le CD d'autres artistes en auto entrepreneur, c'est possible?
Merci de vos lumières et n'hesitez pas à me donner les termes exactes des contrats, je dis ça de mémoire...

noizydon

Franchement, je ne sais pas.
En général le mieux c'est tout de même une société dont l'objet social est la production phonographique.
Tu peux aussi faire ça avec une association.
Ca, je sais que ça marche.
@+

the bubble

c'est possible si et seulement si tu n'es pas déjà intermittent du spectacle. Il faut juste que tu spécifie dans ton contrat que ce sera l'établissement qui se chargera du versement des droits sacem.
Dans ce cas là ça se fait sans problèmes et en plus ça coûte moins cher à l'établissement concerné.

Anonyme


Je relance ce sujet pour avoir vos avis... Pour créer son entreprise en tant que studio d'enregistrement, donc prestation de services est-il idéal de créer une micro-entreprise ou alors un autre statut ?
J'ai appris que pour la micro entreprise, il faut désormais effectuer un stage sur 5 jours environ pour pouvoir ensuite la faire (obligatoire à ce qu'une conseillère ma dit)
Pensez-vous qu'un autre statut est mieux ou ?
Cordialement

Spacionot (ex Cola Verde)

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