Le Pub d'AutoProd & Business (Ex - marché du disque c'est la cata!)
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Anonyme
l'heure est grave pour les maisons de disques ! beaucoup d'artistes se font viré , les signature de nouveaux talent sont casi rare et le personnel est licencié peu a peu
LA CAUSE PRINCIPAL SELON 80% DES PRODS = le peer to peer et téléchargements
plus personne ne bouffe , ni les producteurs , ni les distributeurs , ni les maison de disques , et encore moins les artistes auteur compositeur
laurent22
Mikka Grytviken
Il y a ceux qui se font leur argent principalement
en vendant des titres (genre Madonna, Jackson...)
et il y a ceux qui vendent des spéctacles vivants,
des concerts...ect.
Je pense que le véritable développement artistique
c'est avec les artistes de scène qu'il a lieu.
Et ça aucun DVD, aucun CD ne peut rendre à 100%
cette ambiance là.
De plus la musique connaît deux autres aspects.
Il y a le côté classic ou variéte de base qui
se contente de réstituer une partition figée
et l'aspect musique plus ou moins improvisée
qui respect un thème et ensuite le développe
(sur scène c'est totalement différent)
Et dans ce cas le CD représente soit la patition original
ou alors dans le second cas la captation d'un moment et d'une émotion
qui connaîtra des dévellopements très différents à chaques fois qu'il sera rejoué en réenregistrement ou en live directe.
Tous ça pour dire que bien que le système change il y a des choses immuables
qui ne pourront être détournées et les artistes à l'état pure de la création
trouverons toujours leur compte et leur place.
C'est à nous artistes de savoir proposer à notre publique ce qu'il est en droit d'attendre
c.a.d. de vrai préstations lives sincères uniques à chaques représentations
afin qu'il se sente privilègié à chaques fois qu'il se déplace et qu'il paye
pour nous voir sur scène.
Le téléchargement ne me fait pas peur.
Légal ou ilégal, vue de ce point de vue, ne veut plus rien dire !
Si les majors veulent défendre leur petit buisness
ça les regarde et ça peu un tantiné ce comprendre...
...c'est leur cuisine qu'ils la fassent.
Nous dans notre coin, c'est la crétion artistique qui importe
et à contrarion de Madonna je ne suis pas artiste (musicien de surcroit)
pour l'argent et la gloire que ça me rapporte
mais par ce que je suis un vrai passionné.
Biensûr, je veille à gagner ma vie et honnêtement
jusqu'à ce jour c'est les concert qui me font gagner ma vie.
Les artistes signés chez des Majors sont très minoritaires
quantitativement parlant et ceux qui font vraiment vivre l'art
au sens sticte du therme ce sont les "petits intermitants" non starisés.
J'ai déjà "réalisé" quelques albums et nous travaillons actuellement
sur un autre et à chaques fois on auto-produit et de nos jour c'est faisable.
On est même sur le point d'avoir un distributeur (je croise les doigts).
Les majors vont se manger toutes seules...
...alors tout ceci, ça ne m'inquiète pas.
J'observe et constate avec un certain humour
que chaques secondes qui passent et chaques nouvelles idées
les enlisent et les discréditent.
Le temps des mécènes pourrait bien être de retour !
Que la crétion soit avec vous
Jeg spiller gitar til å ergre min mor.
https://mikkagrytviken.bandcamp.com/music
Anonyme
D'abord comme le dit bien Shenzen, la gratuité:
Ca va forcément diminuer la valeur intrinsèque d'un morceau de musique("La zic c'est de la bagatelle"...ça va réconforter les Culs-pinçés qu'aiment pas la zic; si si j'en connais
En second, le rôle de la Major en tant que promoteur d'un disque(je ne parle même pas de promoteur d'Artiste):
Les plus connus comme Madonna vont raffler la mise, les moins connus comme les nouveaux signés passeront forcément inapérçus lors de la comptabilisation des Mop3 téléchargés, car la Major n'aura rien à gagner à leur faire de la promo puisque le volume global de l'argent récupéré grâce à la pub sera identique avec ou sans promo d'un artiste particulier.
Conclusion: les nouveaux signés seront vraiment b..sés!
Pire encore, moins les Mop3s seront également répartis entre artistes, moins y'aura de boulot pour la répartition des sommes, donc moins de boulot pour les Majors.
La donne sera différentes si les autres Majors vont rejoindre ce système.
Dans ce cas les Majors seront obligées de faire de la promo pour forcer les gens à télécharger d'abord leurs propres poulains (mais même avec ça je ne sais pas si elles vont faire de la promo pour les nouveaux talents, c'est plutôt les gros dynosaures qui vont être prioritaires comme produits d'appel).
Du coup vous me direz à quoi servira donc la Major, ou carrément la maison de disque?
A rien pour les artistes.
On reviendra forcément à ce qu'était la musique avant l'ère des producteurs: Transmission orale(le Live quoi!).
C'est vraiment une sacrée histoire pour les artistes si celà se confirmera.
Ian
Anonyme
Pako33
Et vu que ca sera la guerre des majors, les artistes iront voir celle qui fait de la bonne promo...Et donc ils seront obligés de faire leur promo comme aujourd'hui et voir plus car la promo sur le net leur coutera kedal...
Parce que vu comme c'est partie, ils feront tout par le net, vente, promo etc... Par contre c'est la mort pour les magasins Fnac, Virgin etc...
laurent22
Peut on descendre plus bas, cette politique du toujours plus, dictée par la course au fric va nous ruiner...
je suis d'accord, cela n'est pas un obstacle à la création mais un système structuré et régi par la pub ne laisse pas de place aux petits, quelque soit leur talent, par ailleurs une oeuvre doit à un moment ou un autre être connue et apprècié du publique et cela passe par la diffusion (en concert, certe mais cela reste tout de même limité), ce système ne laisse guère de maille entre lesquelles tous les musiciens aussi doués soient ils, pourront se hisser.
moi, cela m'inquiète, non seulement pour la musique mais pour tout en général...
Pako33
Ou plutôt, on des emissions au millieu de la PUB et qui permettent de tenir le spectateur devant sa télé pour "l'obliger" à matter des PUBS...
Meme combat pour la musique...
tropik
http://www.silicon.fr/articles/16522/FairUse4WM-le-logiciel-qui-casse-le-DRM-de-Windows-Media.html
Mikka Grytviken
Citation : une oeuvre doit à un moment ou un autre être connue et apprècié du publique et cela passe par la diffusion (en concert, certe mais cela reste tout de même limité
As-tu idée du nombre de personnes qu'on peut réunir dans une seule salle
et combien de concerts peut on faire par an.
Grand nombre d'artistes (non-conventionnels) se sont fait connaître
rien qu'en tournant.
Jeg spiller gitar til å ergre min mor.
https://mikkagrytviken.bandcamp.com/music
laurent22
fritesgrec
ratafiole
L'offre de téléchargement gratuit, financée par la pub, sera contraignante.
Libération, Jeudi 31 août 2006, par Bruno ICHER
Légal et gratuit, mais pas très convaincant. En décembre, l'accord conclu entre le groupe Universal et la plateforme SpiralFrog autorisera bien l'écoute et le téléchargement de musique issue du gigantesque catalogue de la plus importante major du monde. Ce service gratuit, réservé aux internautes américains et canadiens, sera financé par la publicité selon un modèle inspiré par les fabuleux bénéfices de moteurs de recherche comme Google. En cela, l'initiative se rapproche des intentions de YouTube, site de partage et de stockage des vidéos, dont les dirigeants annonçaient en juillet, vouloir «d'ici douze ou dix-huit mois offrir sur le site toutes les vidéos musicales jamais créées».
Malentendu. Avec SpiralFrog, on est bien loin du basculement symbolique vers le tout-gratuit que laissait entendre, mardi, l'annonce de la jeune entreprise de New York. A Paris, les ténors de la communication de Vivendi, maison mère d'Universal, rectifiaient, hier, le tir après vingt-quatre heures de silence radio : «C'est SpiralFrog qui lance un nouveau service. De notre côté, nous leur vendons notre musique, selon notre politique commerciale qui n'a pas changé.» Le léger malentendu n'a pas bouleversé l'industrie musicale. «L'essentiel est que l'artiste et les différents ayants droit soient rémunérés, commente Morvan Boury, directeur général adjoint d'EMI, un concurrent d'Universal. Peu importe si l'utilisateur final n'est pas directement à l'origine de cette rémunération. C'est déjà le cas avec les différentes plateformes qui tirent principalement leurs revenus de la publicité, comme QTrax aux Etats-Unis avec qui EMI Music a passé un accord de distribution il y a quelques mois.»
Dans le détail, l'offre Universal-SpiralFrog sent un peu le pétard mouillé. En premier lieu, il faudra pour chaque téléchargement s'enfiler la bagatelle de 90 secondes de spots pub... Autant dire une punition pour des internautes peu connus pour leur patience. D'autre part, cet accès libre n'est pas éternel. Parce que l'accord entre les deux partenaires concerne, dans un premier temps, une période d'essai d'un an. Mais surtout parce qu'il sera indispensable de fréquenter régulièrement la plateforme histoire d'y subir une dose réglementaire de publicité sans quoi les morceaux finiront par s'autodétruire. Mieux, le format employé (Windows Media Audio de Microsoft) et les mesures de protection associées (DRM) devraient interdire de graver cette musique sur un CD et de l'embarquer sur un iPod, le baladeur numérique d'Apple leader incontestable du marché.
Désespéré. Une fois encore, il s'agit de proposer des solutions légales à un public jeune dont une bonne partie n'a jamais acheté un CD de sa vie. D'où, depuis plusieurs mois, une exploration méthodique et vaguement désespérée de nouveaux modèles qui permettraient à l'industrie de sortir de l'impasse. AOL a annoncé le lancement dans les prochaines semaines d'AOL Music Now, une nouvelle plateforme de téléchargement. Pour 9,95 dollars par mois, l'internaute pourra télécharger un nombre illimité de titres choisis parmi les 2,5 millions de chansons que comptera le portail. Depuis cet été, eMusic Europe offre des formules de téléchargements (sans DRM) sur la base de forfaits de 12,99 euros par mois pour 40 MP3 à 20,99 euros pour 90 téléchargements, acceptés par n'importe quel baladeur. Déjà, fin 2005, MTV lançait le site Urge en partenariat avec Microsoft et proposait à la vente plus de 2 millions de morceaux issus du catalogue des majors comme de certains labels indépendants. Sous l'argument ultime de lutter contre le piratage, tout ce beau monde se livre une bataille féroce pour se ménager quelques sources de revenus dans un marché qui plonge. Avec pour objectif, à court terme, de tailler des croupières au leader, l'iTunes d'Apple et ses 75 % de parts de marché. Avant la fin de l'année, il faudra aussi qu'ils affrontent un autre redoutable concurrent : Microsoft, qui, avec son projet Zune, s'apprête à lancer sa propre plateforme.
Pov Gabou
Pako33
Se tapper 90 secondes de pub avant chaque telechargement, etre obligé d'y revenir tout les mois et en plus sans pouvoir le graver...
Le p'tit jeune qui n'a jamais acheter un CD de sa vie ne risque pas venir faire un tour sur SpiralFrog...
Anonyme
A force de vendre la musique comme de la lessive, on finira bien par avoir l'entièreté de la population qui la considèrera comme de la poudre à lessiver.
Face à cette dérive, la licence globale ressemble de plus en plus à une bonne idée...
Mikka Grytviken
Lorsque tu déclares des titres à la SACEM et la SPEDIDAM
tu ne touches pas de droits en fonction du nombre d'exploitations réelles
de tes titres mais un prorata en fonction du nombre de titres que tu décalres
et en fonction des recettes reçu par les organismes
payée en therme de forfaits par les radios et les organisateurs de spéctacles...
qui ne prennent plus le temps de remplir des fiches détaillants les titres
et le nombres d'exploitatations de ceux-ci mais qui préfèrent (puisque les organismes collecteurs le permettent) payer un forfait qui facilites
la papraserie administrative.
Vous pensez bien que de grandes radios tel que NRJ, Europe2 ect...
qui diffusent des milliers de titres par semaines, n'ont pas le temps
de détailler leur programation...
Alors une license globale sur le net reviendrait au même
et ne ferait qu'améliorer les revenues des majors et surtout des artistes.
Ce n'est peut-être pas une si mauvaise solution !
Jeg spiller gitar til å ergre min mor.
https://mikkagrytviken.bandcamp.com/music
Anonyme
Citation : Vous pensez bien que de grandes radios tel que NRJ, Europe2 ect...
qui diffusent des milliers de titres par semaines, n'ont pas le temps
de détailler leur programation...
Bah, ce serait pas si difficile de les obliger à fournir la playliste. De nos jours, les stations de radio stoquent la musique sur des gros serveurs, il suffirait d'avoir un système de logs reprenant quelle chanson a été lancée à quelle heure...
ratafiole
Et la sacem contrôle en faisant des sondages réguliers, avec des logiciels qui identifient automatiquement les codes isrc, il me semble.
Mikka Grytviken
avec les radios étrangères ?
Je crois que ça ne se passe pas comme vous le dîtes car je tiens
mes infos d'un employé de la SACEM (là ou je déclare mes titres)
qui m'a expliqué cela car je lui faisais part de ma grande surprise de toucher tant d'argent (enfin ça reste relatif hein).
Car j'ai pas mal de titres protégés par la SACEM
(c'est normal car dès que tu es admis tu signes un papier par lequel
tu t'engages à déclarer toutes tes compositions chez eux)
mais très peux passent en radios (Malheureusement) et pourtant je reçois chaques années un peu plus !
D'autre part je produit et anime une émission sur une radio qui diffuse sur le net.
Jamais nous ne déclarons le détail des titres que nous diffusons.
La Radio paye un forfait qui nous autorise une utilisation commerciale
des titres déclarés à la SACEM.
Jeg spiller gitar til å ergre min mor.
https://mikkagrytviken.bandcamp.com/music
Anonyme
Pour les radios étrangères, la Sacem ne fait pas d'Audit, elle délègue le boulot aux équivalents Sacem de chaque pays avec lesquels elle a signé un accord de réciprocité.
benco
Citation : Lundi sort la compilation Hopelessly Devoted To You, deux CD et un DVD d'artistes Hopeless Records édité par Active Entertainment (avec au programme des groupes comme Against All Authority, Thrice, Avenged Sevenfold, ...). Par contre vous ne la trouverez pas à la Fnac; la fameuse enseigne, agitatrice depuis 1954, refuse en effet le disque car celui ci n'est pas assez cher (!!?) (le prix souhaité, TTC donc pour le public, par Active Entertainment est de 6.66€). Et vous, vous trouvez que vous payez vos disques pas assez chers?
Nouveau noomiz http://www.noomiz.com/coyotesdessert - Nouveaux morceaux http://www.myspace.com/funkaltrans
shenzen
Maintenant qu'ils ont la main mise,( Merci d'ailleurs à nos chers politiciens d'avoir donné le feu vert... )il vont pouvoir essayer de récupérer le bizz de la zik numérique ( alors qu'il y a, à peine 2/3 ans ils n'y croyaient toujours pas, tout comme le format MP3 d'ailleurs )en fondant leur espoirs sur un troc, pub = générant des revenus pour les artistes / salariés.
Rien que sur le principe, c'est discutable, mais bon c'est vrai qu'aux états unis, l'empire du déclins, ils les ont habitués à bouffer de la pub comme ils bouffent des big-mac, bon, et c'est vrai qu'également que quasi toute les grosses "innovantes" bouses nous parviennent avec quelques latences de retard, bien.
On peut penser que ce principe donne accès à ceux qui ne peuvent ce permettre d'acheter de la musique, bon, sur la forme effectivement il faut penser à tout le monde, sur le fond, si une maison de l'industrie du disque pense pouvoir générer du cash avec de la pub, à confirmer quand même, seul le public aura la réponse ( avec une certaine inquiétude quand même )
Et puis comme dans tout mouvement répréssif ou de loi contraignante, certains artistes auto-produit pourront ce démarquer de la masse, donnant naissance aux derniers dinosaures artistiques.
shenzen
Hors sujet : Citation :
Pour info
MySpace vendra la musique de 3 millions de groupes indépendants
[2006-09-02 19:20]
par Yinka Adegoke
NEW YORK (Reuters) - Le site communautaire MySpace, très populaire parmi les adolescents, a annoncé son intention de faire son entrée sur le marché de la musique numérique en vendant les chansons de plus de trois millions de groupes indépendants n'appartenant pas aux catalogues des grandes maisons de disques.
MySpace, dernière compagnie en date à s'attaquer à un marché largement dominé par le magasin en ligne iTunes d'Apple, pourra compter dans sa tentative sur deux éléments de poids dont ne bénéficient pas ses rivaux: il peut à la fois se prévaloir de compter 106 millions d'utilisateurs et de bénéficier de l'appui de sa maison-mère, News Corp.
"L'objectif est d'être l'un des plus gros magasin de musique en ligne existant actuellement sur le marché", a déclaré à Reuters Chris DeWolfe, l'un des co-fondateurs de MySpace.
Selon Hitwise, MySpace.com est devenu l'année dernière le site internet le plus visité par les internautes américains, principalement par des adolescents et de jeunes adultes, qui l'utilisent pour des rencontres virtuelles et des échanges de musique et de photographies.
D'ici à la fin de l'année 2006, affirme DeWolfe, MySpace offrira la possibilité à plus de trois millions de groupes de musique indépendants n'ayant pas signé de contrats avec une maison de disques de vendre leur musique en ligne.
Les chansons pourront être vendues sur les pages que les groupes possèdent sur MySpace ou sur celles des fans, au format MP3, qui présente l'avantage de ne pas être protégé par un copyright et d'être compatible avec une grande majorité des baladeurs numériques, dont l'iPod d'Apple, qui domine nettement le marché.
Les groupes décideront eux-mêmes du prix de leurs chansons et devront payer une commission à MySpace pour chaque titre vendu, a indiqué Rusty Rueff, directeur général de Snocap, société qui sera chargée de la gestion de la plate-forme de commerce électronique utilisée par MySpace.
Snocap, fondée par le créateur de Napster, Shawn Fanning, fournit des services de gestion des droits d'auteurs et des licences numériques.
Rueff a précisé que le montant de cette commission n'avait pas encore été fixé.
MySpace a précisé travailler avec PayPal, une filiale d'eBay, pour son système de paiement en ligne.
MARCHÉ EN EXPLOSION
Selon DeWolfe, MySpace "perfectionnera et personnalisera" son magasin de musique en ligne à mesure que le service sera amené à évoluer, avec pour objectif à terme d'y proposer des chansons des grandes maisons de disque protégées par copyright.
"Je ne pense pas que les grandes maisons de disque soient intéressées par une distribution de leurs chansons sans protection des droits de copie avant très longtemps", tempère David Card, analyste chez Jupiter Research.
En dépit du silence de DeWolfe au sujet d'éventuelles discussions avec des maisons de disques, une source au fait du dossier a indiqué que EMI était entré en pourparlers avec MySpace. EMI n'a pas souhaité commenter cette information.
EMI, Universal Music, de Vivendi, Warner Music et Sony BMG détiennent environ 75% du marché de la musique grand public. La plupart de cette offre musicale est déjà disponible, comme outil de promotion et à l'écoute uniquement, sur MySpace.
Le secteur de la musique numérique est celui qui connaît actuellement la plus forte croissance au sein de l'industrie du disque. Selon le cabinet d'études NPD Research, 70% de ce marché est contrôlé par le magasin iTunes d'Apple, dont la compatibilité n'est totale qu'avec le baladeur numérique iPod, d'Apple également.
Ce marché est entré en ébullition au cours des dernières semaines avec les rumeurs d'arrivée de nouvelles compagnies.
La société SpiralFrog envisage de lancer un service gratuit de téléchargement de musique financé par la publicité avant la fin de l'année. Elle a déjà conclu un accord avec Universal Music.
Microsoft prévoit quant à lui de commercialiser d'ici la fin de l'année également un baladeur numérique baptisé Zune, destiné à concurrencer l'iPod d'Apple. Ce baladeur fonctionnera de pair avec un magasin de musique en ligne similaire à iTunes.
Alienik Groove Factory
Citation : D'ici à la fin de l'année 2006, affirme DeWolfe, MySpace offrira la possibilité à plus de trois millions de groupes de musique indépendants n'ayant pas signé de contrats avec une maison de disques de vendre leur musique en ligne.
Les chansons pourront être vendues sur les pages que les groupes possèdent sur MySpace ou sur celles des fans, au format MP3, qui présente l'avantage de ne pas être protégé par un copyright et d'être compatible avec une grande majorité des baladeurs numériques, dont l'iPod d'Apple, qui domine nettement le marché.
Les groupes décideront eux-mêmes du prix de leurs chansons et devront payer une commission à MySpace pour chaque titre vendu, a indiqué Rusty Rueff, directeur général de Snocap, société qui sera chargée de la gestion de la plate-forme de commerce électronique utilisée par MySpace.
Snocap, fondée par le créateur de Napster, Shawn Fanning, fournit des services de gestion des droits d'auteurs et des licences numériques.
Je l'avais prevu
Que la lutte commence...
ALIENIK GROOVE FACTORY
Pako33
Pis pour aller chercher son inspiration ca va etre cool... Un mec qui mettra son travail non protégé et tous le monde pourra venir piaucher ses idées et les protegers... Et dans le pire des cas attaquer derriere le mec qui en fait est a l'origine de tel ou tel melodie mais qui ne l'aura pas protegé...
Ca me parait vraiment bien!
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