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Realitone Realivox The Ladies 2
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Realitone Realivox The Ladies 2

Chanteur, chanteuse ou choeur virtuel de la marque Realitone

Prix public US : $399 incl. VAT
8/10

Sujet Commentaires sur le test : 5 drôles de dames

  • 44 réponses
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Sujet de la discussion Commentaires sur le test : 5 drôles de dames
5 drôles de dames
Elles sont cinq. Elles chantent bien. Et elles ne demandent qu’à assurer les choeurs sur vos compos : here come the ladies !

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Ce thread a été créé automatiquement suite à la publication d'un article. N'hésitez pas à poster vos commentaires ici !

__________________________________________________________________________________
Le GIEC chiffre à 3,3 milliards le nombre de victimes du réchauffement climatique. On en parle ?

 

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31
Zépo dans mon Bendo
J'ai géré cette fe-meu, oui elle est trop nne-Bo
Cambré comme un Sirocco avec les 4 pots
Le genre de meuf qui boude quand tu l'invite au Macdo
Suffit pas d'un texto pour l'avoir au resto
Connait tout les footeux, Cristiano Ronaldo
Me dis que c'est pas une michto mais elle aime la nnaie-Mo
J'ai sorti la benzo pour l'avoir au tel-Hô
Mais j'ai déjà ma go' et ça va m'faire des blèmes-Pro

And I get high with my baby
I just left the mall, I'm gettin' fly with my baby, yeaaahhh
And I can ride with my baby
I be in the kitchen cookin' pies with my baby, yeeaahhh
And I can ride with my baby
I just left the mall, I'm gettin' fly with my baby, yeaaahhh
And I can ride with my baby
I be in the kitchen cookin' pies with my baby, yeeaahhh

Peut-on dire que le champs lexical de ce poème du 21eme siècle ait eu une influence profonde dans la compréhension des pensées métaphysiques de Spinoza.
Vous avez 4 heures !

"Heuuuu..... Non rien !"

Dalaï Lama

32
Tout ça pour dire qu'effectivement The ladies 2 a l'air pas mal pour faire des choeurs ou des voix +/- "noyées" dans un mix ou pour avoir une idée de ce que pourrait faire une voix par-ci par-là... après, en avant sur un mix, je sais pas... ou alors ça dépend du type de musique.

"Heuuuu..... Non rien !"

Dalaï Lama

33
En même temps, c'est pas un plug qui s'affirme comme "chanteuse virtuelle", mais comme "choeurs". Les choeurs, on les met rarement devant.
34
Citation :
après, en avant sur un mix, je sais pas... ou alors ça dépend du type de musique.


https://blackoctopus-sound.com/product/siren-by-veela/
Ca c'est une banque ( largement plébiscitée ) de voix naturelle d'une chanteuse qui a bien voulu se laisser sampler. C'est tout simplement superbe. On y trouve des petits phrasés dans plusieurs tonalités et d'autres choses parfaitement inutiles ( réservées à l'électro )Inutile d'attendre une autre banque car Veela a maintenant un label ( tu m'étonnes ! ) et est en train d'enregistrer un album.
L'exploitation peut se faire de deux manières
1 - soit on accepte les bouts de phrase tels qu' ils sont et on reconstruit un arrangement autour de la voix ( c'est pas d'un intérêt suffocant ) Et c'est ce qu'on trouve en démo ( vraiment pas représentative du talent de cette fille ) sur le site.
2 - On essaie d'adapter la voix superbe de Veela à la mélodie de sa compo et là c'est à s'arracher les cheveux. Parce que les croches manquent cruellement, parce que c'est pas la bonne tonalité, parce qu'il faut extraire les samples à coup de ciseaux sur les points zéro, que parfois c'est juste une syllabe, que c'est jamais la bonne longueur et encore moins la bonne hauteur. Je fais tout ça sans sortir de Cubase 06 ( le varitone + les traitements audios )
Six joints ( je fume beaucoup ) un petit montage audio ( Siréne By Veela - 4 dossiers )que vous trouverez ici après les deux points : http://www.mupiz.com/jean-pierre-portefaix

1 - Le phrasé brut sans la moindre modification et l'arrangement que j'ai reconstitué autour de la voix ( guitares Efimov ) La voix a juste un soupçon de flanger pour élargir, une réverbe cathédrale et une room de proximité pour accentuer la présence. Pas de compression...
2 et 3 - Samples sérieusement bricolés dans tous les sens et compo spontanée autour. Mais je trouve que ça sonne très réaliste.
4- Tentative de faire chanter Veela sur ma compo et sur une ligne mélodique assez caillée. On obtient évidemment du yogourt puisque le chant se construit syllabe par syllabe. Il y a d'énormes trous dans la ligne mélodique parce que je n'y suis pas arrivé ( note trop basse ou le sample trop pitché vire au canard ) La mélodie d'origine et à laquelle j'étais sensé coller est jouée au piano ds le deuxième passage.
C'est rroland qui a fait le mastering du dernier titre ! ;)
Autre utilisation et non des moindres : quand je mets un morceau en place, dés le départ je place des samples de Veela ( ds la tonalité du morceau tant qu'à faire ) et ils me servent d'étalonnage. Kézaco ?
En d'autres mots, ça veut dire que la voix étant l'instrument majeur, aucun autre instru ne peut la supplanter ou entrer en conflit avec elle. Ce n'est ni plus ni moins que le procédé de la voix pilote. En plus, si on a un plug de mastering sur le bus de sortie, on voit tout de suite quel niveau RMS va avoir le master avant saturation.
Tout ça pour dire que ce qui est chanté ou raconté, on s'en tamponne un peu. La première démo sur le site des ladies se passe de paroles et la voix est bien en SOLO et c'est très zoli et plutôt réaliste( j'aime bien cette compo =:) =

[ Dernière édition du message le 18/06/2015 à 08:14:00 ]

35
Sympa les compos mais j'imagine effectivement que niveau editing, c'est velu si tu es parti de boucles!

Citation :
C'est bien et à la fois un peu réducteur cet attachement qui existe en France à ce que le texte ait forcement un sens (poétique ou pas...) alors que la majorité des "consommateurs" de musique écoute des titres Anglais sans en comprendre une virgule, même s'il est vrai que :

Picture yourself in a boat on a river,
With tangerine trees and marmalade skies.
Somebody calls you, you answer quite slowly;
A girl with kaleidoscope eyes.

Cellophane flowers of yellow and green
Towering over your head;
Look for the girl with the sun in her eyes,
And she’s gone.

Ça sonne moins bien en français.
Je pense aussi à la belle phrase du grand philosophe Willis, (Bruce de son prénom) qui, dans je ne sais plus quel film, à un méchant avec une tête de méchant qui lui dit "je vais te faire souffrir !!!"
répond : "mets moi un rap connard !!" avant de le dézinguer en bonne et due forme.
Ce qui veut dire quand même qu'on peut-être un patriote Américain et ne pas aimer les chansons en Anglais.
Personnellement je ne crache pas sur un bon Nougaro, Aznavour, Lavilliers, Souchon, Delerm, mais j'apprécie aussi un bon Sheryl Crow, Clapton, Neil Young, sans forcement comprendre la portée de leur prose... (pardon Sheryl !).
Voir même un bon rap... Ah non, là le rap, comme disait Jean Yanne "ça me donne envie d'envoyer des mandales dans la tronche à tout ce qui remue".
Voilà. Bisous. Peace !!!


En fait, pour tout te dire, si je peux écouter du AC/DC, c'est parce que je ne suis pas suffisamment anglophone pour que leurs paroles me gênent. Sinon, je ne pourrais pas. :ptdr: Idem pour les beatles : Lennon a toujours été un parolier de merde qui abritait sa fainéantise derrière le non-sens : le fait que ce soit un compositeur et interprète génial ne l'amende pas pour autant et c'est pour ça que perso, j'ai toujours été plus proche de Macca qui n'a rien écrit qui casse trois briques sur un canard en termes de texte, mais qui au moins se fatiguait un peu plus.

Pour moi, dans la chanson, le sens fait partie de la musique, il n'est pas une dimension autre qui vient se superposer aux sons, il irrigue chaque note : sans sens d'ailleurs, la notion d'interprétation ne revêt aucun intérêt, tout comme le chanteur ou la chanteuse. Chanter des mots quand on n'a rien à dire, c'est pour moi faire la potiche comme un mannequin dans un défilé de mode : on est là juste parce que c'est joli qu'on soit là, comme un accessoire, soit une forme de réification dégradante. Du coup, rendre des paroles qui ne sont pas travaillées ou qui ne le sont que d'un point de vue musical, pour faire joli, c'est faire le travail à moitié et ça ruine la chanson, comme si on enregistrait une piste de gratte en étant complètement désaccordé. Chaque fois que j'entends les paroles du générique de Plus belle la vie, j'ai envie de m'arracher un bras pour le balancer à la gueule du gars qui a osé commettre ça : il y a quelque chose de complètement irrespectueux là-dedans, comme si tu prenais ton public pour des imbéciles. Et pourtant, ce n'est pas dur d'avoir des textes qui tiennent debout. Il suffit de le vouloir. C'est à dire prendre le temps d'y travailler ou, si l'on n'a pas ce temps ou qu'on ne se sent aucun talent pour le faire, de faire appel à un parolier. Sans quoi, le mieux c'est encore de faire de la musique instrumentale ou de chanter des ouh et des ah, même si pour moi, on retombe dans le domaine de la potiche : ce qui distingue l'homme de l'animal, plus que les pouces opposables, c'est le langage, au point d'ailleurs qu'on le retrouve dans quasiment tous les récits de créations dans toutes les cultures : au commencement était le verbe.

Pour en revenir au 'Word painting' de Vangelis ou à l'usage du yahourt latin, il serait intéressant que ceux qui y recourent réponde à la simple question du pourquoi : qu'est-ce que cela apporte concrètement, si ce n'est de se conformer à un cliché et trahir une identité contre laquelle Mozart déjà s'élevait, lui qui a imposé l'allemand quand tout le monde voulait l'obliger à produire des livrets en italien ou en latin. Le latin, c'est la langue de la Rome Antique, ce qui, en terme de politique comme de culture ou d'histoire, a une lourde charge. Et on ne convoque pas cette charge à moins qu'elle ait une raison précise d'être convoquée.

Et à supposer qu'on veuille la convoquer (après tout, Riddley Scott voulait peut-être montrer le Vatican à l'assault du Nouveau Monde), il n'est pas bien dur de la convoquer correctement. Sur les millions d'euros que Vangelis a gagné avec sa BO, je pense que quelques centaines d'euros, au pire quelque milliers, lui auraient permis de produire un texte qui sonne bien et dont le sens servait la musique comme le film. Mais il a préféré s'en passer, croyant avec raison que ça ne gênerait pas le public qui, de tout façon, ne parle pas une langue morte. Un peu comme si on ne balayait pas sous le tapis sous prétexte que personne ne verra la poussière qu'il cache. Bref, c'est du travail bâclé qui révèle une bien méprisable conception de l'art.

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Le GIEC chiffre à 3,3 milliards le nombre de victimes du réchauffement climatique. On en parle ?

 

36
x
Hors sujet :
Excuse-moi mon cher rroland d'avoir massacré l'orthographe de ton pseudo, j'ai pu revenir sur le post et réparer ma bévue. Toutes mes excuses les plus plates ( comme l'eau du même nom ;) )
37
Citation de Will :
En même temps, c'est pas un plug qui s'affirme comme "chanteuse virtuelle", mais comme "choeurs". Les choeurs, on les met rarement devant.


ça dépend, j'aime bien les chœurs qui jouent un rôle dans la chanson, un peu comme ceux de Gotainer.
Ou le coté "Hit the road Jack..." là c'est quand même en avant.

"Heuuuu..... Non rien !"

Dalaï Lama

38
Effectivement, pour 1492 le choix de Vangelis est choquant car il doit exister plein de textes en latin de 1492-1500 qui auraient pu convenir au projet. Le latin étant à l'époque non seulement la langue de l'Eglise mais aussi celle des clercs, des actes officiels et des universités. En France, c'est seulement en 1539 que François 1er fait du français la langue officielle de l'administration et du droit, à la place du latin.
39
Citation de Los :
Sympa les compos mais j'imagine effectivement que niveau editing, c'est velu si tu es parti de boucles!

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En fait, pour tout te dire, si je peux écouter du AC/DC, c'est parce que je ne suis pas suffisamment anglophone pour que leurs paroles me gênent. Sinon, je ne pourrais pas. :ptdr: Idem pour les beatles : Lennon a toujours été un parolier de merde qui abritait sa fainéantise derrière le non-sens : le fait que ce soit un compositeur et interprète génial ne l'amende pas pour autant et c'est pour ça que perso, j'ai toujours été plus proche de Macca qui n'a rien écrit qui casse trois briques sur un canard en termes de texte, mais qui au moins se fatiguait un peu plus.

Pour moi, dans la chanson, le sens fait partie de la musique, il n'est pas une dimension autre qui vient se superposer aux sons, il irrigue chaque note : sans sens d'ailleurs, la notion d'interprétation ne revêt aucun intérêt, tout comme le chanteur ou la chanteuse. Chanter des mots quand on n'a rien à dire, c'est pour moi faire la potiche comme un mannequin dans un défilé de mode : on est là juste parce que c'est joli qu'on soit là, comme un accessoire, soit une forme de réification dégradante. Du coup, rendre des paroles qui ne sont pas travaillées ou qui ne le sont que d'un point de vue musical, pour faire joli, c'est faire le travail à moitié et ça ruine la chanson, comme si on enregistrait une piste de gratte en étant complètement désaccordé. Chaque fois que j'entends les paroles du générique de Plus belle la vie, j'ai envie de m'arracher un bras pour le balancer à la gueule du gars qui a osé commettre ça : il y a quelque chose de complètement irrespectueux là-dedans, comme si tu prenais ton public pour des imbéciles. Et pourtant, ce n'est pas dur d'avoir des textes qui tiennent debout. Il suffit de le vouloir. C'est à dire prendre le temps d'y travailler ou, si l'on n'a pas ce temps ou qu'on ne se sent aucun talent pour le faire, de faire appel à un parolier. Sans quoi, le mieux c'est encore de faire de la musique instrumentale ou de chanter des ouh et des ah, même si pour moi, on retombe dans le domaine de la potiche : ce qui distingue l'homme de l'animal, plus que les pouces opposables, c'est le langage, au point d'ailleurs qu'on le retrouve dans quasiment tous les récits de créations dans toutes les cultures : au commencement était le verbe.

Pour en revenir au 'Word painting' de Vangelis ou à l'usage du yahourt latin, il serait intéressant que ceux qui y recourent réponde à la simple question du pourquoi : qu'est-ce que cela apporte concrètement, si ce n'est de se conformer à un cliché et trahir une identité contre laquelle Mozart déjà s'élevait, lui qui a imposé l'allemand quand tout le monde voulait l'obliger à produire des livrets en italien ou en latin. Le latin, c'est la langue de la Rome Antique, ce qui, en terme de politique comme de culture ou d'histoire, a une lourde charge. Et on ne convoque pas cette charge à moins qu'elle ait une raison précise d'être convoquée.

Et à supposer qu'on veuille la convoquer (après tout, Riddley Scott voulait peut-être montrer le Vatican à l'assault du Nouveau Monde), il n'est pas bien dur de la convoquer correctement. Sur les millions d'euros que Vangelis a gagné avec sa BO, je pense que quelques centaines d'euros, au pire quelque milliers, lui auraient permis de produire un texte qui sonne bien et dont le sens servait la musique comme le film. Mais il a préféré s'en passer, croyant avec raison que ça ne gênerait pas le public qui, de tout façon, ne parle pas une langue morte. Un peu comme si on ne balayait pas sous le tapis sous prétexte que personne ne verra la poussière qu'il cache. Bref, c'est du travail bâclé qui révèle une bien méprisable conception de l'art.


On est bien d'accord. je t'avoue que je ne cherche même pas à comprendre (enfin pas trop..) les sens des textes Anglais (entre autres...) en revanche, en Français ou dans une autre langue j'aime bien que ça sonne, que le mot claque.
Pour avoir eu la chance de partager une semaine dans la vie de Nougaro, j'ai vu qu'il écrivait comme on peint, la couleur, le trait, l'épaisseur du mot, étaient importants pour lui, il fallait que le mot apporte instantanément une image, une couleur, une sensation.
Et je suis bien d'accord avec toi que souvent, pas tout le temps mais extrêmement souvent quand même, les chansons en français me consternent.
Mais je n'aime pas intellectualiser un art (si la chanson est un art... mais c'est un autre débat...) je préfère que ça me foute les poils tout de suite.
Si je regarde la Joconde par exemple je suis incapable d'expliquer pourquoi je ressens un truc en regardant ce tableau, mais voilà, y'a un truc...
Pourquoi si j'écoute du Springsteen ça le fait alors que je ne comprends pas un mot de ce qu'il raconte et qui pourtant doit être très chouette ?
Pourquoi j'ai jamais accroché à Dylan alors que j'aime beaucoup Neil Young ?
En chanteurs(euses) francophones c'est vrai que j'ai toujours écouté ceux dont le texte allait un peu plus loin que le sempiternel "je t'aime à mourir sur la plage mon amour" (attention hein, 'je l'aime à mourir' de Cabrel, c'est joli, je parle pas de ça...:-D) et 'Minha Selva" de Lavilliers c'est quand même autre chose que XXXXXX (là vous mettez ce que vous voulez icon_facepalm.gif.
Après je ne veux pas passer pour un vieux con qui pense que tout ce qui sort aujourd'hui en musique c'est de la merde, non, loin de là.
En revanche je connais des auteurs et compositeurs extraordinaires qui ont écrit des chansons qu'on peut qualifier de variété Française (terme devenu extrêmement péjoratif) et qui bossent chez Carrouf parce que la grande industrie du disque de variété (qui se résume à un nom si je ne m'abuse) ne veut pas d'eux sous prétexte qu'ils ne sont pas assez malléables...

"Heuuuu..... Non rien !"

Dalaï Lama

40
Mais au fait, on parle, on parle... mais nous n'avons pas écouté cette musique ::-D

"Heuuuu..... Non rien !"

Dalaï Lama

[ Dernière édition du message le 18/06/2015 à 16:42:14 ]