Avis sur les compos Divers

Technique :

Partie technique pour ma part sans défauts.
Les instruments lead synthé et lead guitares ressortent sans problème. Jeu très propre comme le mixage. J'aime beaucoup la présence de l'orgue Hammond en début et fin du morceau.

Artistique :

Je suis un peu mitigé sur cette composition qui est plus un Jam avec de bons solo, j'aurai aimé plus de mélodie ou un thème accrocheur.
Par contre la dynamique du morceau colle parfaitement à l'image, y'a beaucoup de tension et d'intensité.
Si non j'ai écouté les deux versions et j'ai une petite préférence pour la V1, celui avec l'orgue à la fin.

Technique :

Pour pinailler je dirai que les bruits de course sont un peu perdus dans le lointain, mais c'est p-e un choix voulu pour retranscrire cette dernière place sur le ring ?

Du bon boulot, bravo !

Artistique :

Je ressens plusieurs influences, un mix entre la musique électronique et la musique asiatique. Le côté répétitif amène bien la notion de courses, de tours interminables. Mais je ne ressens pas de tension, plutôt une lassitude. P-e est-ce voulu mais du coup j'ai du mal oublier ma projection perso dans l'image.

Du coup les instants un peu plus dramatique, amenés avec ces touches d'Asie, me paraissent en décalage avec cette "routine".

Une chouette composition donc, originale, mais que j'ai du mal à raccrocher à l'image de la saison.

Technique :

RAS, et presque RAD. Que ce soit les instruments, le placement (ce "tremolo" : miam !!!), la progression, tout est assuré et assumé. De la belle ouvrage !

Artistique :

Une seule critique : j'aurai aimé des instruments plus variés, mais c'est plus que subjectif (s'il est possible de l'être !).

Tout le long de la composition sont bien présents la tension la claustrophobie, le stress, l'inquiétude, un mince espoir de (gagner ? survivre ?).

On est pris dès la première note, collé et calé au fond du siège banquet, et projeté vers cette fin dont on ne sait ce qu'il advient. Une course effrénée, une vie trop rapide, trop courte...

Technique :

Comme d’hab pas trop d’avis à part que ça semble très bien géré techniquement (au niveau du jeu instrumental aussi bien qu'au niveau du mixage).

Artistique :

Ça commence comme les grands moments d’Ummagumma (mais bon vu le pseudo de l’auteur et le titre, pas trop de surprise). Très bel accord d’une pulsation grasse et des guitares étincelantes par dessus. 2’37’’ : La course démarre et the delicate sound of thunder s’impose. A 3’28’’, la guitare qui repart (à la Gilmour) est vraiment superbe. Idem pour la relance à 4’40’’ (de plus en plus gilmourien ?). A 6’15’’ retour à Ummagumma. Bref un grand moment de plaisir ! Seul petit bémol peut-être : la fin, après tout ça, est peut-être un peu décevante (notamment avec la pulsation , qui ouvre un horizon permettant d’attendre quelque-chose… qui ne vient pas).

Technique :

Comme d’hab pas trop d’avis à part que ça semble très bien géré techniquement (au niveau du jeu instrumental aussi bien qu'au niveau du mixage).

Artistique :

Les paroles sont toujours aussi bien ciselées et surtout posées avec cette diction si personnellement et maladroitement juste. Jusqu’aux sons de moto qui vrombissent comme des mouches autour de la lampe du salon. Hilarant, avec une très grande précision du ton de dérision. Du grand clown !

Technique :

Comme d’hab pas trop d’avis à part que ça semble très bien géré techniquement (au niveau du jeu instrumental aussi bien qu'au niveau du mixage).

Artistique :

Très belle montée avec un crescendo lent mais sûr. C’est une course au long cours. Génial à 3’00 la saccade qui rappelle les sons des courses de Starwars (épisode I). Je n’ai pas beaucoup de repères dans ce genre de musique, mais beaucoup de plaisir à y retrouver des sonorités rappelant le planant ou le psyché des grandes années.

Technique :

Comme d’hab pas trop d’avis à part que ça semble très bien géré techniquement (au niveau du jeu instrumental aussi bien qu'au niveau du mixage).

Artistique :

Ça ronfle à donf comme on aime. Les paroles sont toujours aussi chouettes et bien posées (j’veux des drapeaux qui s’agitent / je suis un gars qui va loin et je n’obéis qu’à ma… liberté / je veux ce qu’il y a de plus cher sans les difficultés). Un peu d’effet dans la voix du meilleur effet et surtout ce choix de mêler la voix au reste, de ne pas la mettre en avant. Un beau morceau de plaisir pris en vitesse.

Technique :

Tout se mélange un peu et donne une impression de maelstrom qui rappelle les prises de son un peu hasardeuses des concerts des années 60 (mais c’est peut-être un choix).

Artistique :

Belle démonstration du plus bel effet d’un univers « speed rock » entre Deep Purple et Santana. Ça donne l’impression d’un intermède instrumental dense (danse?) entre deux morceaux de guitare ou de chant (du coup on est peut-être un peu déçu qu’ils n’arrivent pas).

Technique :

Comme d’hab pas trop d’avis à part que ça semble très bien géré techniquement (au niveau du jeu instrumental aussi bien qu'au niveau du mixage).

Artistique :

Très belle démonstration virtuose. Le côté fugue avec les phrases qui se superposent et s’enchainent, chacune prenant l’avantage à son tour, évoque la lutte pour la première place d’une course de bolides. J’y entends aussi du Philip Glass. Pour moi la fin pourrait se placer sur les 3 notes aiguës à 3’49’’ (qui m’emballent plus que le dérapage final actuel).

Technique :

J'aime bien le chant.. rien à redire ça marche bien.

les instrus aussi, vraiment dans le style rien à redire.

Niveau mixage c'est plutôt cohérent.

Artistique :

Les coeurs sont super originaux, du moins je trouve.. pour moi c'est le petit truc magique qui rajoute de l'angoisse à ce morceau, qui sans eux aurait vraiment été différent à mes oreilles. Le tout fonctionne bien, au final..