ma gratte a quelques soucis de vernis, bulles et écaillage léger. J'ai failli la porter chez le luthier, mais les devis de l'ordre de 400 à 1100 eur pour un décapage, recolor et revernissage . Quand j'ai vu que Fender proposait ce genre de finition de cochon, bin, j'ai fini par accepter que ma gratte vieilisse et porte les marques naturelles de sa jeune vieillesse. ça console quoi. La blanche sur burst et affreuse. Quel gâchis
En fait, je me demande comment on peut arriver à des résultats genre celle de Rory Gallagher. Ma gratte (de 83, comme nous le disions), je n'en ai pas pris un soin maniaque et elle a fait pas mal de concert, et donc elle est à peine éraflée.. Je pense que les vernis des années 60 devaient être beaucoup plus fragiles. C'est la seule explication.
Les vernis des années 60 étaient plus fragiles et surtout avec une application beaucoup plus fine.
Par ailleurs, entre la sueur, la bière, le whisky, le vomi, forcément, ça use...
Le sujet n'est ni le talent ni la force. Le sujet est "jusqu'à où est-on prêt à aller?"
stratvinc
9842
Je poste, donc je suis
Membre depuis 16 ans
45947Posté le 18/09/2014 à 20:14:45
+ 3
apprenons à compter avec AF
Sonic
depuis le temps tu nous fais tirer une langue comme ça s'agissant de ta gratte
je sais également que tu nous a fait part de ta difficulté pour la photographier
mai là y'a pas demande à un pote mais je VEUX la voir (en deux mots !)
Les vernis des années 60 étaient plus fragiles et surtout avec une application beaucoup plus fine.
Par ailleurs, entre la sueur, la bière, le whisky, le vomi, forcément, ça use...
bah ouais, transpirer la guiness c'est très corrosif pour une pauvre gratte. Je crois que ta première explication est la plus réelle en fait.