Sujet Est vraiment une guitare de 'Fille' ?

Citation : Dlex, tu mets des jupes si ça te plait si je comprends bien?

Citation : Et dire que les gouts et les couleurs, c'est pas une question de sexe, c'est n'importe quoi. C'est pas que une question de sexe, d'accord, mais c'est aussi une question de sexe. Y a rien à faire, c'est les hormones, c'est comme ça. Tu peux ne pas être d'accord, mais ça change rien...

Citation : au moins elle ont le choix maintenant...et les hommes aussi...

Citation : Ils auraient fait leurs grattes juste comme une autre série sans rien dire, filles ou garçon, on fait le choix de ce que l'on veut.

Citation : Donc pour toi, les gouts et les comportements des femmes et des hommes ne sont pas du tout influencés par le fait qu'elle soit simplement des femmes ou des hommes??? et tout est question de pression sociale?? les hormones et la génétique n'aurait rien a faire dans le comportement?

Hors sujet : Il y a certes des différences hormonales et physiques, mais alors, démontres moi qu'il existe un gène ou une hormone de la couleur rose !

Je sais très bien aussi que la répartition "matière blanche/matière grise" du cerveau est différente chez les femmes et ches les hommes, causant certaines différences comme le sens de l'orientation ou la faculté d'abstraction, mais rien qui ne modifie le goût pour les couleurs !

Je ne contredis pas ce que tu dis à propos des hormones et de la génétique, mais tu semble l'étendre à des champs sur lesquels ils ne s'appliquent pas.

Les goûts visuels, tactiles, gustatifs, de l'odorat, de l'ouïe, ne sont pas définis par genre masculins ou féminins en fonction des hormones ou de la génétique.
Si on suit ton raisonnement, il y aurait des musiques de filles, et des musiques d'hommes, des aliments de filles et des aliments d'homme, des matières de filles et des matières d'hommes ?
Genre la génétique et les hormones feraient que les filles n'aiment pas l'acajou et le goût des olives ?

Mieux que les portails web scientifiques, j'ai eu à loisir (enfin ce n'était pas toujours un loisir) de consulter les ouvrages liés au sciences de la vie en bibliothèque universitaire.

Les "goûts" qui seraient modifiés par le système hormonal ne sont pas des "goûts" à proprement parler, puisqu'il s'agit d'éléments bien plus complexes, comme par exemple, le choix d'un partenaire sexuel pour l'accouplement (Evaluation de la fiabilité génétique du partenaire).
Et en plus, tu ajoutes à ça la dimension sociale et là ça devient bien plus complexe, mais c'est un autre sujet.

Mais les "goûts purs" au niveau sensitif ne sont en rien régis par les hormones, même si l'odorat est un peu particulier car il sert aussi de récepteur des substances hormonales. Mais même là, ça ne concerne pas réellement l'odorat car c'est une association que le cerveau fait entre une odeur qu'il reconnait et l'hormone qui est liée à cette odeur.

En revanche, les organes sensitifs sont plus développés chez les femmes
* jusqu’à 10 fois plus de récepteurs cutanés
* olfaction plus fine : jusqu’à 100 fois, à certaines périodes du cycle.
* L'ouïe est plus sensible en terme de puissance sonore.

La vue est par contre plus développée chez l'homme. (Facteur influant sur l'érotisation que l'on fait de certains objets)

Voilà ce sur quoi, et de quelle manière, les hormones agissent:

La testostérone (hormone du désir, de la sexualité et de l’agressivité, autrement dit hormone de la « conquête » — militaire ou sexuelle) développe

• La force musculaire (40 % de muscles chez l’homme, contre 23 % chez la femme)
• La vitesse de réaction et même l’impatience (92 % des conducteurs qui klaxonnent à un feu rouge sont des hommes !) ;
• L’agressivité, la compétition, l’instinct de domination (le mâle dominant engendre et maintient la qua-lité de l’espèce)
• L’endurance et la ténacité ;
• La cicatrisation des blessures ; la barbe et la calvitie ;
• Le côté droit du corps (membres, doigts, stries digitales — au 4e mois du fœtus)
• La vision de loin (« téléobjectif », pour repérer les animaux) ;
• Le lancer de précision ;
• L’orientation dans l’espace (pour ramener le produit de la chasse jusqu’à la grotte)
• Le goût pour l’aventure, les expériences nouvelles et le risque (les génies, tout comme les fous, sont le plus souvent des mâles) ;
• L’attrait pour une femelle jeune à protéger (et surtout, susceptible d’engendrer).

Les œstrogènes développent :
• Les mouvements de précision : la femme peut plier facilement chaque doigt séparément (Kimura, 1999) ; elle est très supérieure à divers tests de dextérité ;
• Le côté gauche du corps… et les stries digitales du pouce gauche (Kimura, 1999)
• La graisse (protection et réserve pour le bébé) : 25 % de graisse chez la femme, contre 15 % chez l’homme ;
• La mémoire verbale (les noms) et la mémoire de localisation des objets ainsi que la vision de près (« grand angle » pour repérer sa progéniture et toute intrusion étrangère)
• L’ouïe : l’éventail des sons perçus est beaucoup plus large et les femmes chantent juste, six fois plus souvent que les hommes (Durdeen, 1983) ; leur reconnaissance des sons est bien meilleure (entendre et reconnaître son bébé) ;
• Elle reconnaît et nomme les couleurs avec plus de précision (c’est le chromosome X qui est porteur des cônes, nécessaires à la vision des couleurs) ;
• Son odorat est développé jusqu’à 100 fois plus, à certaines périodes du cycle ;
• L’attrait pour un mâle dominant, fort et expérimenté, socialement reconnu (donc moins jeune, mais susceptible de la protéger).

Citation : Point de vue biologique, c'est du grand n'importe quoi ton post...

Citation : Je ne sais pas quelle est ta formation, mais elle n'est surment pas médicale...

Citation : On dis la même chose depuis le début (si tu relis bien, je ne parle que "d'influence", tu durcis mes propos), mais comme on ne le dit pas de la même manière, tu ne me comprend pas...

Citation : J'arrête là...

Citation : Le fait qu'il puisse exister des guitares pour filles et pour garçon me parait toujours être un point de vue totalement subjectif (et commercial), mais je suis à l'écoute pour une démonstration objective.