"Le Saviez-Vous ?"
- 11 193 réponses
- 360 participants
- 496 427 vues
- 273 followers

Fuyuhiko


Je me disais bien qu'il manquait un sujet dans le pub : un pendant culturel à tout ce qui est automatique, un contre-pouvoir pacifique au pub des losers, un petit frère des blagues pourrites ....
Le petit truc en plus en dernière page, la star du papier d'emballage :
le


A vous les studios

I'm Back

Anonyme

la colle adhère
Jean-Pierm aussi.


Jofree


"To boldly go where no man has gone before."

Ho'Dog

Citation :
Jean-Pierm aussi.
PK crew( à l'abandon) / Mixcloud / 3'ks
En vrai t'es Eddie Barclay avoue :oops2:

Anonyme



Ho'Dog

PK crew( à l'abandon) / Mixcloud / 3'ks
En vrai t'es Eddie Barclay avoue :oops2:

Anonyme

Le saviez vous ?
L'Allemagne est le pays où l'âge moyen de la population est le plus élevé d'Europe. Un seul pays au monde a un age moyen supérieur, le Japon, avec 42.85 ans. C'est essentiellement dû à 2 facteurs très simples :
- taux de natalité ultra faible
- espérance de vie très élevée.
L'age moyen allemand est donc de très exactement de 42.16 ans, contre par ex 38.85 ans en France.
En revanche, y a des pays où ça fait un peu peur, comme l'Ethiopie ou l'Irak, où l'age moyen est inférieur à 20 ans.

Javier Guante Hermoso

Le saviez-vous?
Le pays où l'on boit le plus de bière est la République tchèque, avec à peu près 150 litres per capita par an.

Anonyme

donc wikipedia ici:
Le syndrome d'épuisement professionnel par l'ennui ou bore out est un trouble psychologique engendré par le manque de travail, l'ennui et, par conséquent, l'absence de satisfaction dans le cadre professionnel. Il affecterait couramment les individus travaillant en entreprise et notamment les travailleurs du secteur tertiaire. Cette théorie a été présentée dans Diagnosis Boreout, un livre écrit par deux consultants d'affaires suisses, Peter Werder et Philippe Rothlin.
Selon Werder et Rothlin, c'est l'absence de tâches signifiantes, plutôt que le stress, qui constitue le principal problème d'un grand nombre de travailleurs. Le syndrome d'épuisement professionnel par l'ennui se caractérise par trois éléments : l'ennui, l'absence de défis et le désintérêt. Les auteurs s'opposent à l'opinion commune selon laquelle l'employé démotivé serait paresseux ; ils affirment au contraire que l'employé a perdu tout intérêt pour ses tâches : les personnes souffrant de bore out sont « insatisfaites de leur situation professionnelle ». Leur frustration peut trouver sa source dans leur incapacité à contribuer au développement de leur entreprise, à utiliser leurs compétences et connaissances ou à voir leurs efforts reconnus.
Le bore out peut survenir pour différentes raisons. Les auteurs notent que le bore out n'apparaît pas, en général, dans beaucoup des métiers dont le principe est de mener à bien une tâche spécifique (par exemple : le métier de chirurgien) ou d'aider des personnes dans le besoin (par exemple : les métiers de travailleur social ou d'assistante maternelle). En termes de dynamique de groupe, le bore out peut apparaître lorsque le personnel d'encadrement ou les employés les plus énergiques ou les plus ambitieux accaparent les travaux les plus intéressants et ne laissent qu'un peu des tâches les plus ennuyeuses aux autres.
Dans une autre hypothèse, l'organisation de l'entreprise elle-même peut favoriser cette situation. Peu d'employés, à l'évidence, souhaitent être licenciés et donc attirer l'attention sur le caractère superflu de leur poste. Ainsi, même si un employé a très peu de travail à accomplir, il s'arrangera pour avoir constamment une feuille de calcul ouverte sur son ordinateur, pour couvrir son bureau de dossiers ou pour emporter ostensiblement avec lui un attaché-case lorsqu'il quitte le lieu de travail, donnant l'impression d'un surcroît d'activité.
Werder et Rothlin citent une étude sur le gaspillage du temps au travail, menée par AOL et salary.com en 20051. L'enquête, qui porte sur 10000 employés, montre que le travailleur moyen, sur une journée de travail de huit heures et sans prendre en compte les pauses réglementaires, gaspille 2,09 heures à accomplir des tâches sans rapport avec son emploi. La principale raison évoquée pour 33 % des personnes interrogées est l'absence de tâches attribuées.
Les auteurs de l'étude montrent que beaucoup d'entreprises répondent à ce problème en accroissant la surveillance en premier lieu. L'utilisation de l'Internet peut être contrôlée et l'accès à un certain nombre de sites (jeux vidéo, réseaux sociaux...) peut être bloqué. Cependant, les auteurs soutiennent que ces méthodes ne sont pas efficaces et qu'elles ne créent pas un bon environnement de travail. Les employés les plus au fait de la technique peuvent contourner ces restrictions. Si l'employeur interdit l'accès à Facebook ou Hotmail, ceux des employés qui disposent de smartphones peuvent les utiliser pour envoyer leurs courriels personnels. De même, si l'employeur surveille les appels téléphoniques (selon les numéros appelés ou la durée des communications), les employés peuvent toujours utiliser leurs propres téléphones portables, à leur poste de travail comme dans les couloirs.
étude intéressante quand même.

samy dread

Non je ne mettrai pas de pull

Anonyme

Les symptômes du bore out peuvent amener les employés à adopter des stratégies, telle qu'une apparence de stress et d'activité, afin de masquer adroitement leur évitement de tout travail ennuyeux supplémentaire. « L'objectif de l'employé atteint de bore out est de paraître occupé, de ne pas se voir confier par son supérieur quelque nouveau travail que ce soit, et, bien sûr, de ne pas perdre son emploi. »
la stratégie de l'étirement des tâches, qui consiste à les faire durer beaucoup plus de temps que nécessaire. Par exemple, si la seule tâche pour une semaine donnée est la rédaction d'un rapport prenant normalement trois jours, l'employé étirera ces trois journées de travail sur la semaine entière. Les stratégies d'étirement sont variables de personne à personne. Certains employés rédigeront leur rapport dans les trois premiers jours, puis passeront les jours restants à naviguer sur l'Internet, à préparer leurs vacances, à acheter en ligne, à envoyer des courriels personnels, etc., tout en s'assurant que leur poste informatique de travail donne toutes les apparences d'une activité intense (fichiers professionnels prêts à être affichés à l'écran). D'autres employés agiront différemment en fragmentant leur travail sur la semaine entière, se ménageant de multiples pauses pour envoyer des courriels personnels, fumer une cigarette, boire un café, bavarder avec des collègues, voire se rendre aux toilettes pour un somme de dix minutes.
la stratégie du pseudo-investissement, qui consiste à simuler l'engagement professionnel en étant présent et assis à son bureau, parfois après les horaires de travail. Ainsi, des employés démotivés peuvent prendre leur repas de midi au bureau pour donner l'impression qu'ils travaillent en continu dans la journée, alors qu'ils s'occupent de leurs courriels personnels ou lisent des magazines. Un employé qui consacre l'après-midi à passer des appels téléphoniques personnels peut aisément parvenir à le masquer par des dialogues au ton professionnel et sérieux.

karloguan

Citation :
Le syndrome d'épuisement professionnel par l'ennui ou bore out est un trouble psychologique engendré par le manque de travail, l'ennui et, par conséquent, l'absence de satisfaction dans le cadre professionnel.
bordel mais c'est moi, ça !
par contre j'en suis pas encore à développer des stratégies pour faire genre je suis occupé toussa
Et s'il le faut j'emploierai de moyens légos !

cyar



Anonyme



Pictocube

Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier

aris


Je me reconnais dans les stratégies même si je fais pas ça volontairement


Anonyme

Le saviez vous ?
L'acteur Franck Pitiot, qui incarne Perceval dans la série Kaamelott, est le patron du studio de mixage/post production Miroslav Pilon, à Lyon.

Traumax

C'est lui qui fait tout le taf sonore de Kaamelott (post-synchro, bruitages, mixage de la BO...)

noSkillz

Oper-8 Downtempo, ambient | beMYsound Musique à l'image | Fake Luxury Shoegaze, dreampop, synthwave | SeizePads Chillhop, trap, drill

ThomasMC


Bosser avec Perceval ça peut être intéressant


Anonyme

Le saviez vous ?
Laurence Fishburne a joué un des rôles principaux de l'excellentissime Apocalyspe Now (qui n'était pas son premier film) à l'âge de 17 ans.
http://filmdope.com/Gallery/ActorsF/5732-812.gif
[ Dernière édition du message le 16/10/2013 à 21:27:51 ]

KoalaMan

On ne voit bien qu'avec les yeux. Le cœur est invisible pour l'essentiel.

Krapod



Anonyme

Le saviez vous ?
La métamphétamine a été utilisée en masse pendant la 2ème guerre mondiale par l'armée allemande, au début dans tous les corps et les grades qui la constituaient, ensuite uniquement pour certaines troupes, comme celles de l'Est ou les équipages de sous marins.
La plus grande utilisation a eu lieu en mai-juin 1940, pile poil pendant la fessée mise à l'ensemble de l'Europe de l'ouest et du nord. Pour rappel, l'Allemagne a envahi le Luxembourg le 10 mai et même pas 2 mois plus tard ici c'était Pétain qui venait libérer le peuple de France des hordes judéo-socialos-maçonniques suite à l'armistice.
Cette drogue, dont aucun effet secondaire n'avait été testé sérieusement (et qui était pure, pas coupée), portait le nom officiel de Pervitine, et était appelée par ces braves Teutons la pilule Hermann Goering (bien que ce gras double ait pas eu grand chose à voir avec elle, si ce n'est en y associant son image publique).
Les effets d'une telle drogue pure étaient assez, heu, stupéfiants : on peut rester sans dormir pendant plusieurs jours, soulever un boeuf, abattre un soldat français d'une baffe, courir à s'en faire péter les veines du cou, bref on devine bien les avantages d'un tel truc en pleine guerre éclair.
Environ 30 millions de pilules ont été utilisées pendant ces 2 seuls mois (!), on peut imaginer que les soldats devaient effectivement réellement les voir, ces éclairs.
Bien entendu , après la montée, la descente en revanche. Les 1ers signes pas bien jojos se sont vite faits remarquer : des soldats completement dépressifs, abattus, amorphes, pas mal de crises cardiaques et des cas fréquents de déchirure musculaire (les soldats marchaient plusieurs jours à rythme soutenu, ne sentant pas la fatigue, et se faisaient péter les muscles des cuisses), bref les autorités décident d'en limiter l'usage à certaines situations.
Les équipages de sous marin par contre en recevaient des quantités suffisantes pour tuer un cheval, et ça donnait lieu à des scènes dignes de las vegas parano, les marins pétant souvent les plombs, ça allait au fait de faire sauter le sous marin (plusieurs cas semblent recensés), jusqu'au type qui se jette à la flotte.
La consommation de la métamphétamine chez les civils a été ultra répandue jusqu'en 1941 (elle devient alors délivrée uniquement sur ordonnance, mais avant cette date on pouvait donc acheter tranquillou de la met pure chez l'épicier pour se défoncer la tronche à s'en transformer en bête à la santé des tontons adolphe et hermann).
Mais même après la guerre, ça continue, les bonnes habitudes ayant la vie dure : il a par ex été prouvé récemment que l'équipe de RFA qui a remporté la Coupe du Monde 1954 avait pris une dose suffisante de met pour flanquer à maines nues une rouste à une meute de lions additionnée de quelques ours et éléphants, ainsi que plusieurs essaims de frelons.
La pirvitine a ensuite disparu quasiment du jour au lendemain dans les débuts des 60's, avec les premières études cliniques sérieuses des effets secondaires.

Ho'Dog

je le savions( qui a dit: normal)
PK crew( à l'abandon) / Mixcloud / 3'ks
En vrai t'es Eddie Barclay avoue :oops2:

Anonyme

je connaissais pas avant et en recherchant j ai trouvé quelques précisions.
La méthamphétamine a été synthétisée pour la première fois en 1919 au Japon par le chimiste Akira Ogata.
La forme HCl a été synthétisée, brevetée en 1937 et commercialisée dès 1938 par la société pharmaceutique allemande Temmler (de) sous la marque Pervitin®.
Comme les amphétamines, elle a largement été utilisée sur les soldats lors de la Seconde Guerre mondiale.
Comme d'autres drogues, elle fut testée sur des araignées dès les années 1950. Celles qui y furent exposées, même à de faibles doses, produisirent des toiles tout à fait anormales. Plus la toxicité du produit est élevée, plus l'araignée laisse de trous dans sa toile.
Elle fut un temps commercialisée comme un médicament aux États-Unis, pour divers problèmes médicaux allant de l'obésité à la dépression. Mais depuis 1970, elle est classée comme stupéfiant.
La forme cristalline, donc fumable, proviendrait d'Hawaii vers 1988.
Sa consommation s'est développée en provenance de Corée et des Philippines sur la côte ouest des États-Unis vers 1985, puis la côte est, au cours des années 1990.
Au début des années 2000, elle a fait son apparition sur le marché des drogues britanniques. Aujourd'hui, elle est fabriquée à partir de divers médicaments. On la trouve fréquemment dans les anciens pays communistes d'Europe.
Durant la Seconde Guerre mondiale, l'armée allemande a distribué de la pervitine (dérivé de méthédrine produit par la firme Temmler Werke GmbH (en)) à très grande échelle et à tous les niveaux des unités combattantes jusque dans les ministères. Cette drogue de guerre aurait participé grandement à l'efficacité de la blitzkrieg. La méthédrine permit aux troupes allemandes de ne prendre aucun repos pendant les onze jours de la campagne des Balkans, en mai 1941. On considère que la Benzédrine (à l'époque, forme non-commerciale de l'amphétamine proprement dite), joua un rôle important dans la bataille d'Angleterre, en permettant aux aviateurs anglais de compenser leur infériorité numérique. Enfin, les usines d'armement japonaises en distribuaient à leurs ouvriers. Les stocks constitués furent écoulés après la guerre, ouvrant un marché aux capacités de production des usines pharmaceutiques et provoquant l'accoutumance de 5 % des jeunes Japonais dans les années 1950. Ce genre de substance est toujours employée de nos jours, notamment par l'armée des États-Unis d'Amérique [réf. nécessaire].
L’Europe et les États-Unis autorisèrent également la diffusion des dérivés de ce produit (amphétamine proprement dite, méthédrine et le fameux Maxiton utilisé par les cyclistes). Les États-Unis en produisaient 1 000 tonnes par an pour le marché intérieur, et en 1972 environ 12 % des ordonnances comportaient une des cent spécialités contenant un dérivé d'amphétamines.
- < Liste des sujets
- Charte