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Les conneries. publiques !

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Sujet de la discussion Les conneries. publiques !
S'lut !

Fan assidu des rubriques "les conneries on stage" et autres "en home-studio", j'ai pu remarquer cependant qu'il n'éxiste pas de topic dédié aux anecdotes familiales ou amicales que le destin nous avait pourtant réservées.
Il en est pourtant de croustillantes, et qui divertiront + d'un musicien souhaitant faire... un break.

A cet effet, je propose donc que nous racontions ici toutes nos histoires sans rapport direct avec la musique (genre conneries lors du baptème du petit dernier etc).

A vos marques... Feu !
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1071

Citation :
L'astuce, c'est qu'en corse, "sentire" est un verbe qui se traduit indifféremment par "sentir" ou "entendre". Quelle idiote, cette infirmière

Mouais fin je suis sur que la majorité des gens ici ne le savaient pas, moi perso je ne le savais pas non plus.



Mouais, mais quoi, la majorité des gens ici comprennent ce que c'est que le second degré :clin: (Je n'ai rien contre les infirmières continentales : l'infirmière en question ici se trouve être ma continentale d'épouse :8) )
1072

Citation : Quelle idiote, cette infirmière



Elle sera ravie de te lire alors :mrg:
Laissez un message après le bip sonore. Merci ! Biiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiip
1073
Elle me connait :8)
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Hors sujet : Euh...
Ah que on 'dérange pas trop si des fois qu'on met des anecdotes à la place des citations, là ? :bravo:

Bah vii, mes bon gars : j'me mets à la place -que j'occupe, du reste- de celui qui, abonné au sujet, se dit qu'il va se taper sa p'tite minute d'interlude mais tombe sur des échanges individuels qui n'ont plus grand chose à voir avec le schmilblick...

Je sais, c'est vachement tentant. L'un commence, l'autre arrive, le troisième s'en mêle... moi-même ai été pris en flagrant défaut dans l'exercice, c'est vous dire !...
Alors j'me fâche évidemment pas avec mes copains d'ordi que je côtoie par ailleurs ni avec quiconque, mais soyez tous assez sympas dans la mesure du possible d'utiliser au moins, tout comme sur les pages d'avant, le hors-sujet si des commentaires s'avèrent absolument incontournables.

Rappelé moi-même à juste titre au sens commun par la modération, j'étendrai le propos en tentant de rappeler que rédiger "en HS" ne change strictement rien pour vous, mais facilite grandement la tâche du lecteur. Et celle du modo; Wouaf !

Tout débat, toute contestation sera(it) bienvenu(e) sur le "thread anti-pollution des conneries publiques".



Ah que allez ! : faites claquer vos 'tites 'necdotes les gars, quoi ! : on aime ça, nous :bravo:
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Pour continuer dans le domaine médical :
mon histoire perso 1ere partie :

il y a environ 5 ans je ressent une douleur abdominale...
je vais donc consulter le toubib qui me dit qu'il s'agit d'un problème musculaire et me prescrit des espèces de pansements auto-collant à appliquer
au niveau des cotes...
il me précise que ce type de douleur sont très longues à guérir...
deux mois plus tard la douleur s'est amplifiée et je commence à cracher du sang
je n'arrive pratiquement plus à bouger et à respirer,
direction la clinique près de chez moi.
le médecin me dit : ché pas... on va vous mettre sous antibiotique...
pas d'examens rien...
je commence un peu a flipper et part aux urgences d'un autre hosto
ou un pneumologue me reçoit.
il me pose deux questions,m'examine cinq secondes,et me dit:
on va vous mettre en réanimation vous faites une embolie pulmonaire
très grave...
scanner en urgence,resultat : double embolie,10 jour en réanimation
sans visite ni téléphone et injection de morphine toute les trois heures
plus trois semaines d'observation,
en sortant de l'hosto,le toubib m'a dit : le premier jour je pensais
pas que vous passeriez la nuit...
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He ben :8O:
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Allez, une 'tite catastrophique :

C'est un ami, accordéoniste réputé, dans les 60 berges aujourd'hui qui, la première fois qu'il a enfin conduit après avoir échoué je ne sais combien de fois au permisde conduire a, pour sa première sortie, tout bonnement refusé la priorité (à droite, en + !) à un car de CRS tous gyrophares et sirènes en action...

Sacré Daniel -un extra terrestre, l'un des + estimés de toute la profession mais qui, sorti de son "monde", ne voit plus vraiment la réalité. Et pourtant, y'a pas plus sobre ni moins fumeur ou quoique ce soit d'autre que lui...
Il revient d'une tournée au Japon, on va le chercher à la gare des fois qu'il descende sans ses valises ou n'oublie son instrument dans le train : il était rentré de Tokyo en pantoufles et son premier mot a été : "tu crois qu'elle va gueuler, J. (son épouse), si je lui dis que j'ai oublié mes chaussures en croco à l'hôtel ? Il n'avait pensé qu'à ça de tout son voyage !

Une autre fois se donnait une sorte de tournoi à accordéonistes. Pas une des grandes affiches d'il y a encore 15 ans ne manquait dans la salle. Je me retrouve à une grande table avec eux, le protocole avait laissé vacants deux ou trois couverts supplémentaires en cas d'invité de dernière minute, journaleux ou encore surprise.
Tout le monde avait mangé, Daniel n'avait pas encore trouvé la salle (woauf !); en invité officieux, je me mets doctement à picorer un vague bout de charcuterie... mais il manque un couteau à mon couvert.
Qu'à cela ne tienne, au lieu d'emmerder le personnel ou de tendre le bras sur le couvert libre d'en face, je m'empare donc de celui de mon voisin de droite (absent) et je vois Daniel arriver. Le temps des embrassades à tout le monde terminé, il s'installe à ma droite et j'oublie évidemment complètement l'histoire du couteau que je viens de "lui" faucher...
Alors que l'un des convives se produit à présent dans la salle à côté, on écoute tous plus ou moins d'une oreille ditraite, Daniel mange avec apêtit.

Mais voici ce que je constate à un moment : pour couper sa viande, il s'est armé de deux couverts : il a deux fourchettes dans les mains !


Et ce talent -comme au piano, du reste-; c'est vraiment à n'y pas croire...
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Mon histoire perso 2eme partie ( en espérant que ce soit la dernière)

suite à ce problème de santé,j'ai droit à toutes sortes d'analyses
et on découvre chez moi une anomalie génétique que je ne saurai expliquer...
je suis mis sous anti-coagulant mais quelques années plus tard,on me dit que c'est mieux d'arreter pour je ne sais quelle raison...
voici un an,je me blesse pas trop méchamment avec mon scooter (qui pèse très lourd)à la jambe gauche...
la douleur persiste et je vais chez mon (nouveau)toubib qui me dit :
vu vos antécédent,pas de risque,allez chez le phlébologue passer une
éco...
j'y vais(en urgence),je passe l'eco et là il me dit en rigolant :
ha la la,c'est nul vous n'avez meme pas une p'tite phlébite,j'aurai préféré
un p'tit caillot mais ya rien!!rentrez chez vous farceur!
deux semaine plus tard : back to the urgence et il me trouve
une phlébite qui part du genou jusqu'au haut de la cuisse
resultat : 2 semaine d'hosto et un mois avec bequille (sur scene c'est pas pratique)...
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:8O:

Déjà qu'on avait eu Gene Vincent, Johhny je crois, Drucker, Lama, Annoux, Petrucciani...


Bon.

Allez; une 'tite rigolote.

J'étais chez une nouvelle copine depuis peu.
J'connaissais pas encore la famille, et elle, pas encore mes habitudes, à savoir : pas de téléphone dans les piaules, because mon aversion à être réveillé à 11 heures du matin par des vendeurs de cuisines me demandnat si je suis ravi d'apprendre que j'ai gagné par tirage au sort une carafe de vin.

Ca loupe pas : deuxième nuit chez elle, du "matin" ça sonne.

J'ai toujours eu ce réflèxe, où que je sois, de décrocher presque instinctivement, ça peut rendre service et en particulier en studio, où le standard ou le boss cherche à contacter par exemple l'ingénieur.

Revenons à nos moutons de rêves et d'édredons : ma belle est déjà partie bosser, je décroche donc à tâtons, maudissant par avance l'heure que je découvrirai lorsque j'aurai trouvé la lumière, et j'entends un :
"Euh... je suis bien dans la chambre de Madame T. ?"
Je me réveille déjà au quart, je suis bien obligé, intrigué, de balbutier un "oui"...
La voix (inquiète à son tour) : "Euh... il lui est arrivé quelquechose ?"
Moi, un peu sur le ton de la blague : "ben non, pas que je sache; qui êtes vous ?
La voix : "et vous?"
...(Je ne vais tout de même pas me mettre à poil, j'y suis déjà !).
Moi : Ben...
La voix "oh, écoutez, ça doit être une erreur"
Moi :"Et pourtant, votre voix ne m'est pas complètement inconnue" (on vogue en plein Kafka, là !).
Elle : "Je suis la fille de Mme T. et j'appelle pour avoir de ses nouvelles"...
J'ai de + en + de mal à capter, là...
Moi, presque réveillé à présent : "Attendez; quul numéro avez-vous demandé au juste ?".
Elle : "le 01 etc".
Moi : Ben non, à priori c'est pas ici !

Confondant; à n'y rien comprendre !

Ce n'est que quelques jours + tard, lorsque "la voix" narra l'anecdote à sa... SOEUR (ma nana) que je connus le fin mot !

J'ignorais encore que ma doulce eût une soeur. Et cette soeur que la sienne avait une liaison (moi !)... Laquelle soeur voulait prendre au téléphone des nouvelles de leur mère, hospitalisée. Elle avait tout simplement composé machinalement le numéro de sa frangine au lieu de celui de sa mère, et c'est ainsi qu'elle demandait dès le départ si elle était bien dans la chambre de Mme T. ...

Et si cette "voix" ne m'était effectivement pas si "inconnue" -car à présent je connais mieux la famille-, je certifie qu'au téléphone les deux frangines ont des timbres assez similaires...
1080
Un truc que je n'imaginais pas en embrassant la profession d'infirmier, c'est le nombre considérable d'appels téléphoniques auxquels il faut répondre.
Beaucoup émanent de familles inquiètes, voire de proches complètement paniqués.

Une fois j'ai eu un monsieur complètement affolé, qui venait juste d'apprendre que son paternel était hospitalisé :

"Allo monsieur, je voudrais des nouvelles de mon père, je suis son fils !"
:mdr: :mdr: :mdr:

Récemment, j'ai eu encore mieux.
Je décroche, je dis poliment "Médecine A bonjour" et une voix me dit sans préambule :
"Comment va-t-il ?"
-"Qui donc madame" ?
La voix limite exaspérée :
-"Eh ben mon mari, Gilles X !"

La brave dame pensait surement qu'on n'avait qu'un unique patient dans le service... :noidea: