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Sujet - - Le pub des lighteux - -

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Sujet de la discussion - - Le pub des lighteux - -
Si vous savez pas quoi faire,
Que vous êtes lighteux,
Bah alors venez ici =]
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1991
Merci des encouragements :mdr:
1992
Eh ben, un loup qui écoute un mp3, c'est pas banal... :mdr:
1993
Rolalah... 'comprennent rien à la littérature ceux-là :mdr:
A.C.
1994
Voila la suite ^^


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Je suis réveillé par le bruit infernal des machines, mais au moment ou j’ouvre les yeux Druza ce tiens devant moi, ces yeux rouge luisant. Pris par surprise, je sursaute, mais me cogne fortement contre le haut du tuyau, je suis un peux sonner et met quelque seconde à reprendre mes esprits. Il rigole, tout en s’approchant de moi, et viens s’allongé dans la longueur du conduit, j’en fait de même. Un long moment de silence s’en suit, j’en profite pour bien l’observer, il a le poil long, noir avec qu’elle que reflet brun sur les flancs. Ces dents sont beaucoup plus longues que les miennes, même choses pour ces griffes. Il a une forme très élancée. Il est impossible de décrire ces yeux, la lumière rouge qui en sort ne le permet pas . Druza fini par rompre le silence:



« Alors toujours en vie ? »

« Que m’as tu fais ?»

« Je pense que sous cette forme tu réaliserais mieux ce que l’homme fait subir à la mère nature, qui vous a pourtant créer, regarde comment ton peuple la remercie ! »

« Pourquoi m’as-tu laissé la vie sauve ? Les autres sont bien mort non ? Tu ne voulais pas éradiquer l’espèce humaine ? »

« je ne sais pas pourquoi je t’ais choisi toi, mais si tu n’es pas heureux de ce choix, je peux régler ça tout de suite»

« Es que je suis le seul ? Es que je retrouverais un jour ma forme originelle ? »

« Chacun des 4 démons, dont je fais partit, choisi un homme ou femme, à qui il laisse la vie, il ne peux le faire qu’une fois, dans le but de prouver qu’elle enfers l’humain fait vivre à la nature, enfers que tu vas vivre toi-même. Tu pourras reprendre ta forme humaine, au moment voulu, si tu es toujours en vie »

« Donc chaque soir, chacun des démons tue une personne ? D’où les 4 mort retrouvé chaque matin ? »

« Oui c’est exact, c’est notre mission »



Sur ce Druza ce lève et repart, je reste allongé là un long moment, mais la faim m’appelle, elle est trop forte, il faut que je sortes de ma cachette, mais c’est trop risqué pour le moment, il faut que j’attende la nuit pour ça. J’en profite pour réfléchir à mon avenir, seul je ne survivrais pas longtemps, il faut que je me trouve une meute, mais comment faire ? je ne connais aucune règle qui régis une meute de loup, bref ça va pas être simple.



La nuit tombe, le chantier redevient désert, j’en profite pour sortir. J’ai aucun mal à trouver de l’eau, il y avait des marres suite à la pluie un peux partout, c’est vraiment pas propre pour un homme de boire de cette façon, mais pour un loup, je ne voyais pas ou était le problème, par contre c’est pas très évidant d’attraper l’eau en repliant la langue, mais avec le temps ma technique s’améliore. Trouver de la nourriture est beaucoup compliqué, déjà je ne sais pas chasser et en plus je me refuse toujours à consommer de la viande. Je fouille un peux le chantier, mais sans résultat, il n’y a rien à ce mettre sous la dent.



Je me remets en route, ma patte va beaucoup mieux maintenant, je peux trotter tranquillement le long de l’autoroute. Je fini par arriver dans un petit patelin de maison, j’aimerais pas y vivre avec le bruit continue de l’autoroute, je décide d’aller jeter un œil, histoire de voir si il n’y a pas qu’elle que chose à ce mettre dans l’estomac. Il fait nuit et tout le monde dort, bref je peux me promener librement sans risque. Ce petit cartier n’est vraiment pas grand, une 15ène de maison tout au plus. Au croisement d’une rue le vois un bar ouvert, il doit y avoir a manger la-bas, mais c’est trop risquer. Je poursuit ma visite et fini par tomber sur une ferme, là c’est sur il y aura à manger et en quantité en plus, j’hésite, et puis merde, je suis un loup, je dois manger de la viande !

Je rentre dans la ferme, passe devant la maison du propriétaire, et tombe sur 3 grand engards, la porte de chacun d’entre eux est éclairé. Je sent l’odeur des animaux à l’intérieur des bâtiments, sans pouvoir l’identifiée. Je rentre dans le premier sans difficulté, les portes ne sont pas fermées à clef. A l’intérieur tout est allumé et la température est fort agréable. Il s’agit d’un élevage de cochon, ils sont tous aligné les uns à côté des autres, séparé par des barreau, ils peuvent pratiquement pas bouger. Il y a 4 allée en tout, je marche entre la 2 et la 3, observant chacun d’entre eux attentivement, ma présence ne semble pas du tout les déranger.
1995
Qu'est-ce que tu dois te faire chier en rentrant chez toi :oo:
1996
J'écris en cours et sur la route ;) et ça ne me fait pas chier du tout d'ailleur ;)
1997
J'ai tué ce topic :demon:
1998
Et la suite alors ? :lol: :lol:
A.C.
1999
Me tuer pas, y a une alusion à un membre de ce forum ;)


9


D’un seul coup, comme par instinct je saute sur l’un d’entre eux, la mâchoire grande ouverte, je viens planter mes cros dans ça gorge, je suis couvert de sang. L’animal meurt rapidement en ce vidant de son sang, je suis hors d’halène. Je suis moi-même impressionné par le bond que je viens de faire et surtout par la rapidité de l’enchaînement, j’avais vraiment l’impression de ne plus le contrôler. Ma proie gisais là à mes pieds, ma première proie, d’une série qui sera peut être longue. Je commence à la dépecer, mais le sang me dégoûte tout comme la chaire fraîche, je ferme les yeux pour ne pas y penser. Je mange autant que je peux, je ne sais pas dans combien de temps j’en aurais de nouveau l’occasion. Une fois ce festin fini je me met rapidement en route, j’aimerais pas tomber par mégarde sur les fermiers…



Je me sent vraiment beaucoup mieux après avoir manger, par contre mon pelage est passé de bleu et blanc à rouge, je part à la recherche d’un petit lac ou autre ou je pourrais me laver tranquillement, chose facilement trouver le long de l’autoroute. C’est un petit lac artificiel, je ne sais pas à quoi il sert, mais l’eau est propre sans odeur particulière. J’y plonge les deux pattes avant, elle est vraiment froide ! Tampis, je vais pas rester dans cette état, je me lance. Qu’elle erreur ! Je ne savais pas nager, je coule comme une pierre ! Par chance j’avais appris la nage du chien très jeune, je m’applique, j’arrive enfin à ressortir la tête de l’eau, et je remonte très rapidement sur la berge, mais qu’elle frayeur pour rien ! Enfin bref, je suis sortie, et propre un plus, je me secoue, mais je dois maintenant avoir doublé de volume …



Le jour ce lève, il est temps pour moi de me trouver un coin ou dormir paisiblement, le pied d’un arbre fera parfaitement l’affaire, le bruit de la route ne me dérange plus de tout. J’en profite pour faire le point : beaucoup de chose on changer physiquement : Je suis bien plus endurant, trotter 2h ne me pose pas de problème, j’aurais pas dit la même chose sous la forme humaine. J’entend bien mieux, tout les son sont lus définies, je perçoit plein de petit détaille, mais je n’entend plus les basses fréquence, dommage, surtout pour un fan de musique électronique comme moi. L’odora n’a vraiment plus rien à voir, j’ai toujours plein d’odeur que je ne peux pas identifier dans les naseaux. Mais tout ça ne me dérange absolument pas, au contraire, mais mentalement je me sens tellement seul, et puis je ne sais pas comment on vie sous forme de loup, tout ce que je sais je l’ais lue dans des bouquins, et entre la théorie et la pratique il y a un monde. Bref je vais dormir, demain nouvelle journée de marche, je ne suis plus très loin de paris maintenant.

10


Réveil, nouvelle nuit en vue, je me met de suite en marche. Ce rythme inversé jour/nuit ne me dérange pas trop, au moins je suis tranquille, j’aimerais surtout pas être vue par la mauvaise personne au mauvais moment. La nuit pas de chasseur, donc pas de risque de me faire tuer comme un lapin, le loup n’est pas très bien vue par cette communauté de pseudos sportifs, je ferais certainement une belle tête empaillée au dessus d’une cheminée pour l’un d’entre eux, sauf s'ils me confondent avec je ne sais qu’elle autre gibier. Je ne comprendrais jamais ces gens là, qui ya-t-il de sportif à vouloir ôter la vie des autres, mais c’est la mentalité humaine je ne peux rien y faire, elle est pourrie mais elle est comme ça.

Je continue de marcher, j’utilise ma mémoire pour avoir de la musique, mais pas beaucoup de choix. La nuit passe rapidement, je contourne très largement la région parisienne, je coupe maintenant à travers champs. Je croise des vaches, des moutons ect. Mais je n’ai pas faim, je me contente de boire de temps à autre. Je profite de mon voyage pour observer ce qui m’entoure, c’est fou le nombre de chose auquelle j’avais jamais fait attention. La compagne est loin d’être silencieuse, elle regorge de vie absolument partout, il suffit de l’écouter.


C’est fou tout ce que cette apparence m’apporte, j’ai perdu beaucoup de chose, mais j’en gagne aussi de l’autre côté. Si l’enfer dont parle Druza est celui que je vis, il n’est pas si mauvais.

Je m’installe sur une pierre en haut d’une vallée, vue magnifique sur le levé du soleil, et je m’endors là.

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Je suis réveillé rapidement par une activité inattendu, dans la vallée si calme il y a quelques heures, des camions s’active dans tout les sens, c’est l’effervescence total. C’est une scène que je connais bien puisqu’il s’agit du montage d’une scène pour un festival certainement, vue la taille de l’ensemble. Je reste ou je suis, je n’ais pas envies d’être vue, j’observe le montage, et fini par me rendormir.



Le soleil viens tout juste de ce couché, on peux encore admirer un magnifique crépuscule au loin, l’installation est terminer, mais il est jeudi soir, le festival n’aura lieux que demain soir à mon avis. Je me risque à aller jeter un petit coup d’œil. Il s’agit du festival de musique électronique, avec une belle liste de dj, Joachim Garraud, Tiesto mais aussi d’autre célébrité venant des du monde techno plus hardcore, bref une grosse soirée en perspective. Je m’approche de la scène, tout était allumé, je fais le tour et monte par les escaliers sur le côté. Je regarde, ça me fait bizarre de voir plein de matériel que j’ai déjà utiliser, mais je le vois d’une toute autre façon. Le décor de la scène est fait en poutre d’aluminium recouvert de led qui peut être allumé à souhait. C’est un grand pentacle avec un logo celte dedans, on le retrouve souvent dans ce genre de soirée. Au milieux de la scène trônais la régie dj, une installation des plus classique. Je ne reste pas là plus longtemps, je suis beaucoup trop facilement visible.



Je me rend dans la régie son et lumière, personne, je m’allonge sur la table à côté de la console lumière, une Pearl Expert, j’aurais jamais pensé en voir une ici, je l’observe mais sans y toucher, de toute façon le ne peux pas vue la taille de mes pattes. Je reste là un bon moment, mais quel qu’un viens, mais cette personne c’est Jocelyn ! Je suis très surpris, je le connaissais d’un forum de lumière, c’est un mec super comptent et vraiment sympas. Il s’approche moi, il est là pour faire la programmation lumière pour le lendemain. Il me caresse là tête, c’est particulièrement agréable, enfin une tête connu. Ma présence ne le gène pas, je le regarde travailler, sans bouger.



Jocelyn part, mais reviens rapidement, une bassine d’eau plaine et du pain, qui pose doucement devant moi. « Je me demande bien ce que tu fais là toi ». Je bois et mange rapidement, il continue de me gratouiller le ventre. Le jour ce lève, fin des tests. Les dernier préparatif sont en cours, on voit les première personne arriver, départ à 14h. Je fais un tour dans une baraque de fritte où je profite de l’inattention du cuistot pour voler une grosse barquette de saucisse, je pars me cacher plus loin pour la dévorer.



Les premiers beat électroniques se font entendre, je retourne dans la régie, c’est souvent là qu’on est le mieux pour regarder un concert, en plein milieu de la foule mais 2m au dessus de tout le monde sans être victime de la foule. Je reprends ma place auprès de la console lumière, toujours allongé la tête tourner vers la scène. Je sent chacun des de mes poils vibrer au rythme des basses, c’est très particulier, je ne les entend plus, mais par contre je les sent vraiment très bien de tout mon corps. Plus le temps passe plus la musique est rapide et forte, c’est à la limite du tenable, malgré que je ne soit pas à proximité des haut parleur. Je n’avais pas l’habitude de ne pas porter de protection pour mes oreilles en soirée, ça devait être la première fois. Vers 22h00 la soirée marque un premier tournant, les premier dj hardcore passe, la tête du public change, la drogue rentre en jeu, ça ce vois directement, les gens sont sur existé, saute partout, les filles sont mis nue… J’avais toujours rêvé de soirée dite propre, ou les gens ne serait là que pour le plaisir de la musique, mais malheureusement elle n’existe toujours pas.



La nuit passe, la soirée ce finie, tout me monde part, il doit être entre 4 et 5h, j’en profite pour aller me dégourdir les pattes. Tout est salle, des bouteilles traîne à gauche à droite, des seringues aussi, je dois faire attention ou je pose mes pattes. Des gens sont allongé par terre, la croix rouge est là pour les aider, certainement victimes d’overdose.



Je continue de me promener, croise un groupe de personne, je sens une corde de mon coup, je suis projeté contre un arbre, un des types accroche l’autre bout à une branche, je ne touche plus le sol et j’ai du mal à respirer. Il me regarde tous, d’un aire complètement débile, il rigole de ma situation, je me débat comme je peux, mais c’est inutile, je ne fait que resserrer le nœuds autour de mon coup. Ils sont 5, tous habillé de la même façon, veste de cuire et jeans, je sais pas d’ou ils sortent, mais ils étaient pas là pour profiter de la soirée mais pour mettre le bordel. Le noeud continue de se resserrer, et là, comme par reflex, je me met à hurler, le plus longtemps que je pouvais, le plus fort possible, c’était un véritable appel à l’aide. L’un des hommes cris « ta gueule » et je reçoit un coup de marteau sur la tempe qui me plonge dans un profond coma.
2000
Puis ave cle déssin :