Sujet de la discussionPosté le 02/08/2003 à 03:11:39Cantat, Trintignant : requiem pour des cons.
Merci à vous tous, petits nouveaux ou vieux briscards qui déversez votre haine sur un sujet mille fois débattu et dont vous ne connaissez rien.
Merci à vous de recréer des threads qui reparlent exclusivement de la même chose et qui donc recentrent le débat à sa vraie place : au fond de la cuvette des chiottes.
Merci à vous qui condamnez avant même de juger en ignorant la douleur de ceux qui sont victimes et de ceux qui sont victimes également.
Merci à vous de me rappeler ma concierge et ses sentences définitives contre tout ce qui n'est pas de son monde, et sa haine indistincte des rappeurs, des rockeurs, des jeunes, des chômeurs, de ceux qui se garent là où c'est pas autorisé, des travailleurs clandestins et des ressortissants du Val d'Oise.
Merci à vous d'apporter vos lumières, franchement j'en sais sacrément plus maintenant, tout spécialement sur la nature humaine.
Merci à vous de prouver qu'on peut être à la fois nonconformistes ET intolérants. J'aurais pas pensé au départ mais les musiciens sont des cons comme les autres.
Merci à vous, merci beaucoup, vous m'épargnez la lecture de Paris Match et de Minute.
Merci, j'ai gagné 3 Euros.
Messieurs, chapeau bas ! Ce requiem est pour vous.
Citation : il faut savoir que Cantat n'a pas laissé mourir Trintignant. En fait après la grosse beigne elle s'est sentie mal, Cantat a appelé le frère Trintignant, qui est allé la voir dans son lit, elle était toujours consciente, et est revenu en disant qu'il fallait la laisser se reposer. Le temps qu'ils parlent de ce qu'il s'est passé elle est morte.