yep yep yep, je suis en train d'analyser, critiquer ficher le je-ne-sais-quoi et presque-rien en entier là
Ce passage m'avait bien fait sué, une fois qu'on a fini le bouquin c'est limpide, mais quand on tombe dessus, outch, quel batard
Bein le je-ne-sais-quoi (nescioquid en latin), c'est l'existence même de la chose ( quod=le fait que en latin) là où le quid (quoi en latin) n'est que son apparence, c'est à dire ses déterminations spatiotemporelle.
Bon c'est sans doute pas plus éclairant haha. Mais en gros ce qu'il cherche à dire par la suite, c'est qu'en fait la substance d'une chose, n'est pas ce que pensait les anciens, c'est à dire un substrat inatteignable sur lequel viendrait se greffer des "accidents" déterminations, pour lui la substance c'est simplement ce je-ne-sais-quoi d'une chose, c'est à dire ce qui échappe à nos déterminations, ce qui nous demeure indicible, en d'autre terme son devenir, c'est à dire sa possibilité d'être autre que lui même.
VOilà j'espère que je vous ai fait mal au crâne
On ne voit bien qu'avec les yeux. Le cœur est invisible pour l'essentiel.
Anonyme
9049
797Posté le 09/12/2016 à 14:22:21
Citation :
Toutefois, ce je-ne-sais-quoi par lequel nous devinons que l'Être est, ce que je-ne-sais-quoi est de tous les indéterminé et le plus suprêmement laconique;
Mon cerveau a "coredump" à ce moment là. Du coup je sais pas ce qu'il se passe après.
Ouais bah pense à celui qui a 170 pages écrites en police vraiment-petite putain de bien tassée par une pute d'éditeur. Je suis levé depuis 18h hier, j'en peux plus lol