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Stress, pression, culpabilité, perdition : pas facile de faire avec... Et vous ?

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Sujet de la discussion Stress, pression, culpabilité, perdition : pas facile de faire avec... Et vous ?
Un petit topic thérapie de plus...

Je ne sais pas trop pour vous mais moi dans mon boulot j'ai beaucoup de stress et de pression, à tel point que parfois je culpabilise, et quand ça arrive trop souvent, je me sens impuissant, perdu face à l'avenir immédiat, mes missions, même ma vie privée.

Ca vous arrive ? Quand ? Comment ? Vous faites quoi ?

En général, pour ma part il s'agit souvent de stress de l'inconnu : la peur du risque que l'on prend en allant sur un terrain pas toujours maîtrisé ou alors le stress de ne pas pouvoir avancer fautes de retours ou d'infos manquantes que d'autres sont sensés nous fournir, ou encore le manque de directives précises de la part de mon boss...

La pression, elle, c'est plutôt quand on me donne trop de responsabilité, je la gère mieux maintenant, avec l'expérience.

La culpabilité, elle, vient parce que je suis un peu trop "honnête", du coup même après avoir fait mes 35h + des heures supp dont je ne verrai jamais la couleur, je me retrouve le soir à la maison à me dire des trucs du genre : "j'aurais pu faire encore ça aujourd'hui, je pourrais commencer plus tôt demain, etc." et je n'arrive plus à sortir du taff, à me faire plaisir en faisant un truc qui me plait, à glander un peu, etc.

Dans certains moment tout ça se cumule avec une intensité assez perturbante et je passe des moments assez difficiles, par exemple depuis 2 semaines j'en chie à donf, ça m'obsède et je ne fais plus rien, on me croirait en dépression...

Bien sûr tout ça joue sur l'humeur, le couple, et tout...
Problème supplémentaire : dans mon boulot, mes collègues et patrons sont tous des amis donc je n'arrive pas à leur en parler de peur que ça leur en rajoute ou qu'ils me sous-estiment, ce genre de truc...

Et vous alors ?

Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier

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1931
Arret maladie, non, j'ai vu un cousin sous antidep à la suite du même genre de pb, aussi dans l'informatique d'ailleurs. Meconnaissable, une vraie loque tellement il avait la dose, il a mis 2 ans à retrouver du taf (en fait juste à pouvoir retravailler, il a mis un an à trouver la force d'allumer un ordinateur), et il a trouvé un poste de merde digne des débuts dans le métier, sans aucun intérêt (15 ans d'exp de perdu), parce qu'à un moment il devait rebosser, l'arrêt maladie dans ce cas ayant une durée limitée, si pas explicite au moins implicite.

Après il y a les possibilités de reconversion, mais c'est plus facile à dire qu'à faire surtout quand comme lui, tu as une femme et 2 gosses.
1932
Je crois que justement, il faut savoir s'arrêter avant qu'il ne soit trop tard. Un arrêt maladie de 2 ou 3 mois pour recharger les batteries et peut être chercher activement une autre place ou envisager une reconversion.
Je connais des gens qui ont trainé un arrêt maladie pendant un an pour une "maladie" fictive...

 

 

[ Dernière édition du message le 22/06/2017 à 15:55:58 ]

1933
Je ne suis pas malade, je suis juste un peu "spécial" :oops2:
1934
Je parlais en général, chaque cas est particulier.

 

 

1935
Pour être un peu plus sérieux, s'en battre les couilles le temps que ça passe marche pas mal sur moi. Après en effet chacun est différent, et pour lâcher prise il faut peut-être obligatoirement (mais j'espère que non) passer par les moments pas glop.
1936
Citation de Djardin :
t'en as plein le cul : arrêt maladie (je peux te blesser si besoin).


J'ai pris 6 kilos en 6 mois, je suis moins blessable qu'avant, surtout par un gabarit de crevette anorexique comme toi :oops2:
1937
Citation :
s'en battre les couilles le temps que ça passe marche pas mal sur moi.


Perso, je m'en bat les couilles tout le temps depuis ma naissance, au point que certains en ont fait un néologisme, et du coup j'approuve. S'en battre les couilles c'est une solution à 98% des problèmes.
1938
Pour les 2% restant, laisser pisser est une methode qui a fait ses preuves.
1939
Vaut mieux deux semaines d'arrêt pour un petit coup de mou, que d'attendre, de s'accrocher et de faire 6 mois d'arrêt avec médicaments lourds pour grosse dépression.
J'en connais qui se sont accrochés et qui ont mis un an à se reconstruire et à avoir la force de sortir voir du monde.

Et aucun boulot ne mérite ça. Surtout pas dans une grosse boite d'info. Ça tournera sans toi. Et si ça ne tourne pas, c'est que c'est pas solide et que la boite est merdique

Référence en matière de bon gout capillaire et vestimentaire.
homme à tête de zizi.

http://soundcloud.com/djardin

1940
On sait si le ras-le-bol de J-master est lié au taf ?

Putain, 22 ans que je traine sur AF : tout ce temps où j'aurais pu faire de la musique !  :-( :-)

[ Dernière édition du message le 22/06/2017 à 16:36:51 ]