Les super films d'audiofanzine que l'on ne verra jamais mais ça aurait été cool ...
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Excellent !
(j'ai faim...) 
Celle de la tartiflette, je vais le montrer à ma belle fille qui fout de la crème dans la sienne
hu hu hu
Javier Guante Hermoso
47326
Ma vie est un thread...
Membre depuis 20 ans
Génial
j-master
33978
Vie après AF ?
Membre depuis 20 ans
Ouais.
Mais va chier quand même, jiske.
Mais va chier quand même, jiske.
"L'Homme est la nature prenant conscience d'elle même." - Elisée Reclus
W-Addict
43932
Ma vie est un thread...
Membre depuis 20 ans
Citation de j-skellington :
Pubfiction 3 la recette...
Excellent !
Anonyme
10840
Schonx
2498
AFicionado·a
Membre depuis 11 ans
(j'ai faim...)
"8 milliards de malades mentaux, naufragés sur le même radeau" - LOFO'
noSkillz
7473
Je poste, donc je suis
Membre depuis 20 ans
Tiens, je la remets ici, celle-ci
Oper-8 Downtempo, ambient | beMYsound Musique à l'image | Fake Luxury Shoegaze, dreampop, synthwave | SeizePads Chillhop, trap, drill
Anonyme
30851
Rifki
16853
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 19 ans
Anonyme
10840
Will Zégal
77899
Will Zégal
Membre depuis 23 ans
Celle de la tartiflette, je vais le montrer à ma belle fille qui fout de la crème dans la sienne
Anonyme
27133
Clap de fin pour L'AFIEN DE L'OMBRE
Le tournage du prochain long-métrage de D. A. Rinze vient de prendre fin : la dernière scène a été mise en boîte la semaine dernière, à Tenerife, dans les îles Canaries.
Jonglant sans cesse entre la solitude oppressante du désert de Gobi ou de l'Atacama, les âpres immensités des plaines Mongoles, et l'hyperactivité des rues bondées de Los Angeles, le scénario haletant, co-écrit par "Les 2J", le célèbre duo composé de j-skel et j-master, nous entraîne sur les traces du plus mystérieux des AFiens: l'agent secret Trompe.
Le film pose une quantité de questions sur sa vie et son œuvre, mais n'apporte aucune réelle réponse: le spectateur est laissé seul juge des dilemmes auxquels il est confronté et des décision qu'il prend. Chacun est invité, dit le réalisateur, à se mettre dans la peau de Trompe et vivre l'histoire à sa façon. Même si le final est identique pour tous...
Interview de **naPOLEoN**, l'acteur qui incarne le héros principal, encore dans son costume au sortir de l'ultime scène:
AF.au.ciné Napoléon, vous venez de terminer le tournage de L'AFIEN DE L'OMBRE. Qu'est-ce que ça fait d'interpréter une telle légende d'AF?
**naPOLEoN** C'est un très grand honneur, il faut le reconnaître. trompe est l'un de ces personnages secrets, énigmatiques, qui en peu de mots, peu d'apparitions, arrivent néanmoins à se forger une véritable identité sur AF, et deviennent, ouais, de véritables légendes. Bien loin d'un deozza ou d'un daimebag, qui même avec cent posts par jour, se noient dans leur propre flot... à trop vouloir exister sur le pub, on en oublie parfois le principal, l'humilité, et souvent le secondaire, l'humour. C'est une belle phrase je trouve. Trompe était à l'opposé de tout cela.
AAC Mis a part le spectaculaire look de guérillero argentin, que faut-il pour devenir trompe devant l'objectif?
N S'oublier, oublier soi-même, ce qu'on a vécu et ce en quoi on croit. trompe n'a pas de passé, donc il les a tous. trompe n'a pas de croyances, donc il les possède toutes. Il vénère l'humain mais flingue à tour de bras. C'est un personnage complexe, introverti et mystérieux, qui laisse une grande part à l'interprétation. Bien après l'arrêt de la caméra, j'étais encore trompe. Certaines fois, l'impératrice appréciait moyennement...
AAC Le film aborde un aspect surprenant: la rencontre et la collaboration avec Otto Von Zine, joué par Traumax. Comment avez-vous vécu ce passage?
N (il allume avec précaution son cigarillo à la tomate et inspire lentement une longue bouffée) c'est une part très fanstasmique qu'ont imaginé les scénaristes avec cette improbable rencontre. Trompe l'agent secret et Otto l'über-geek: leur collaboration laisse libre court à toutes les extrapolations. L'angle choisi par le réalisateur est judicieux. Que peut apporter le savoir technique et très pointu d'Otto à un agent secret, solitaire et évoluant le plus souvent dans un environnement hostile et dénué d'outils technologiques, que peut retirer Otto de sa collaboration avec un tueur d'assassins? Comme d'habitude avec ce film, il n'y a pas de réponses. Les réponses sont dans la tête du spectateur quand il assiste à la scène... hormis cela, le moment où trompe essaie l'antivirus 64 bits à modulation de RAM basé sur système Linux adequally-plugged est vraiment formidable. C'est une scène que nous avons eu énormément de plaisir à jouer, Traumax et moi. Moi et Traumax, pardon.
AAC La scène avec Belmoufles est un autre temps fort du film ?
N Sans conteste. Mais dans l'autre sens qu'avec Otto, complètement à l'opposé. Un agent secret hâve, exténué et à la limite de sombrer dans la folie, qui se retrouve happé à l'aéroport, par un Belmoufles version "Consultant Senior de Luxe" en costume et raybans d'or, soigné jusqu'aux oreilles, qui lui fait son topo délirant sur les avions pendant que son escort-girl d'1m80 (c'est-à-dire qu'il lui arrive à peine aux nichons) le tripote à genoux sous le siège de l'avion... c'est une scène cultissime.
AAC La course-poursuite en RX-8 ravira les fans de sports méca et rappelle certaines scènes cultissimes des James Bond...
N Oui. C'était voulu. Ykar avait proposé son proto R8 pour tourner la scène, mais le réalisateur a préféré la RX-8, y avait un chromosome X de plus. Et celui qui conduit la Biturbo du méchant n'est pas tihouss, comme on aurait pu l'imaginer, mais est joué par une vieille gloire d'AF aujourd'hui disparue, qui n'avait plus de points sur son permis. Par contre, c'est bien la bibite à Tihouss.
AAC Six mois de tournage, quatre continents, deux déserts et une mégalopole: comment redevenir de Mulhouse après cela?
N Avec un bon bol de tomates!
L'AFIEN DE L'OMBRE - nouveau film de D. A. Rinze avec Napoléon et Traumax - Scénario: Les 2J - Mise en scène: Rahariel - Costumes: P. Truelle - Effets spéciaux: PictoClub Flims Chainsaw Limited
Sortie Nationale le 21 juin, jour de la Fête de la Musique.
Le tournage du prochain long-métrage de D. A. Rinze vient de prendre fin : la dernière scène a été mise en boîte la semaine dernière, à Tenerife, dans les îles Canaries.
Jonglant sans cesse entre la solitude oppressante du désert de Gobi ou de l'Atacama, les âpres immensités des plaines Mongoles, et l'hyperactivité des rues bondées de Los Angeles, le scénario haletant, co-écrit par "Les 2J", le célèbre duo composé de j-skel et j-master, nous entraîne sur les traces du plus mystérieux des AFiens: l'agent secret Trompe.
Le film pose une quantité de questions sur sa vie et son œuvre, mais n'apporte aucune réelle réponse: le spectateur est laissé seul juge des dilemmes auxquels il est confronté et des décision qu'il prend. Chacun est invité, dit le réalisateur, à se mettre dans la peau de Trompe et vivre l'histoire à sa façon. Même si le final est identique pour tous...
Interview de **naPOLEoN**, l'acteur qui incarne le héros principal, encore dans son costume au sortir de l'ultime scène:
AF.au.ciné Napoléon, vous venez de terminer le tournage de L'AFIEN DE L'OMBRE. Qu'est-ce que ça fait d'interpréter une telle légende d'AF?
**naPOLEoN** C'est un très grand honneur, il faut le reconnaître. trompe est l'un de ces personnages secrets, énigmatiques, qui en peu de mots, peu d'apparitions, arrivent néanmoins à se forger une véritable identité sur AF, et deviennent, ouais, de véritables légendes. Bien loin d'un deozza ou d'un daimebag, qui même avec cent posts par jour, se noient dans leur propre flot... à trop vouloir exister sur le pub, on en oublie parfois le principal, l'humilité, et souvent le secondaire, l'humour. C'est une belle phrase je trouve. Trompe était à l'opposé de tout cela.
AAC Mis a part le spectaculaire look de guérillero argentin, que faut-il pour devenir trompe devant l'objectif?
N S'oublier, oublier soi-même, ce qu'on a vécu et ce en quoi on croit. trompe n'a pas de passé, donc il les a tous. trompe n'a pas de croyances, donc il les possède toutes. Il vénère l'humain mais flingue à tour de bras. C'est un personnage complexe, introverti et mystérieux, qui laisse une grande part à l'interprétation. Bien après l'arrêt de la caméra, j'étais encore trompe. Certaines fois, l'impératrice appréciait moyennement...
AAC Le film aborde un aspect surprenant: la rencontre et la collaboration avec Otto Von Zine, joué par Traumax. Comment avez-vous vécu ce passage?
N (il allume avec précaution son cigarillo à la tomate et inspire lentement une longue bouffée) c'est une part très fanstasmique qu'ont imaginé les scénaristes avec cette improbable rencontre. Trompe l'agent secret et Otto l'über-geek: leur collaboration laisse libre court à toutes les extrapolations. L'angle choisi par le réalisateur est judicieux. Que peut apporter le savoir technique et très pointu d'Otto à un agent secret, solitaire et évoluant le plus souvent dans un environnement hostile et dénué d'outils technologiques, que peut retirer Otto de sa collaboration avec un tueur d'assassins? Comme d'habitude avec ce film, il n'y a pas de réponses. Les réponses sont dans la tête du spectateur quand il assiste à la scène... hormis cela, le moment où trompe essaie l'antivirus 64 bits à modulation de RAM basé sur système Linux adequally-plugged est vraiment formidable. C'est une scène que nous avons eu énormément de plaisir à jouer, Traumax et moi. Moi et Traumax, pardon.
AAC La scène avec Belmoufles est un autre temps fort du film ?
N Sans conteste. Mais dans l'autre sens qu'avec Otto, complètement à l'opposé. Un agent secret hâve, exténué et à la limite de sombrer dans la folie, qui se retrouve happé à l'aéroport, par un Belmoufles version "Consultant Senior de Luxe" en costume et raybans d'or, soigné jusqu'aux oreilles, qui lui fait son topo délirant sur les avions pendant que son escort-girl d'1m80 (c'est-à-dire qu'il lui arrive à peine aux nichons) le tripote à genoux sous le siège de l'avion... c'est une scène cultissime.
AAC La course-poursuite en RX-8 ravira les fans de sports méca et rappelle certaines scènes cultissimes des James Bond...
N Oui. C'était voulu. Ykar avait proposé son proto R8 pour tourner la scène, mais le réalisateur a préféré la RX-8, y avait un chromosome X de plus. Et celui qui conduit la Biturbo du méchant n'est pas tihouss, comme on aurait pu l'imaginer, mais est joué par une vieille gloire d'AF aujourd'hui disparue, qui n'avait plus de points sur son permis. Par contre, c'est bien la bibite à Tihouss.
AAC Six mois de tournage, quatre continents, deux déserts et une mégalopole: comment redevenir de Mulhouse après cela?
N Avec un bon bol de tomates!
L'AFIEN DE L'OMBRE - nouveau film de D. A. Rinze avec Napoléon et Traumax - Scénario: Les 2J - Mise en scène: Rahariel - Costumes: P. Truelle - Effets spéciaux: PictoClub Flims Chainsaw Limited
Sortie Nationale le 21 juin, jour de la Fête de la Musique.
[ Dernière édition du message le 20/05/2015 à 14:34:30 ]
Traumax
51839
Goncourt du Grouik
Membre depuis 19 ans
cyar
12259
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 19 ans
Truelle est un manchot
10417
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 15 ans
Anonyme
12318
Rifki
16853
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 19 ans
Rhô génial !
Will Zégal
77899
Will Zégal
Membre depuis 23 ans
Anonyme
22821
Anonyme
24289
lol intercontinental
Elemmir
4825
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 16 ans
La flemme est l'avenir de l'homme. Pff, jsuis fatigué je ne vais pas plus lo..
Anonyme
15125
Will Zégal
77899
Will Zégal
Membre depuis 23 ans
Les critiques commencent à paraître. Apparemment, ça ne fait pas tout à fait l'unanimité.
POUR
Après une première réalisation très remarquée malgré un évident plagiat (la menAFe Fantome, sorti début 2014), Da Rinze revient avec une nouvelle super production qui, si elle conserve le côté grand spectacle de son précédent opus, s'en éloigne par un côté beaucoup plus mystérieux et surtout réaliste. Mystérieux parce que rien n'est expliqué : avec une grande intelligence, le réalisateur ne livre que des faits, des impressions et quelques sous-entendus au spectateur qui, seul, pourra décider en son âme et conscience de ce qui ce cache derrière ces éléments. Bien sur, on s'éloigne souvent du réalisme avec des grosses courses poursuites dignes des meilleurs blockbuster hollywoodiens (il se murmure que Samy Naceri, possible cousin du réalisateur, aurait ici servi de conseiller technique officieux), mais on y revient toujours avec des situations d'une grand justesse pour qui connaît un peu la vie de ces hommes de l'ombre.
La prestation des acteurs est de haut niveau avec un naPoleon au meilleur de sa forme (la consommation de tomates sur le tournage aurait été orgiaque). A lui seul, il aurait pu porter le film à bout de bras s'il n'avait été aussi habilement secondé par les autres rôles (dont une RX-8 en pleine forme).
On sort de ce film estomaqué, troublé, la tête farcie de questions auxquelles ont n'est pas sur de vouloir trouver des réponses. Un film d'action qui fait appel à l'intelligence du spectateur, c'est à saluer.
CONTRE
boum boum, vroum vroum, crac crac, vous avez l'essentiel de ce film. Ça risque, ça roule, ça dégomme de la tomate à 100 à l'heure dans une espèce de clip halluciné qui, pourtant, n'échappe pas à quelques longueurs et même pesanteurs. Dès qu'il sort de l'action pure (bien maîtrisée) pour tenter d'apporter du sens, le réalisateur tombe dans la lourdeur. Ainsi, était-il vraiment nécessaire que la scène où le héro, seul face à son écran, tente de casser le code d'un post d'Oryjen dure 35 minutes ? L'introduction de personnages historiques façon Forest Gump aurait pu être amusante si elle n'était aussi artificielle, comme cette scène où Trompe débat de DLC ou DLUO des tomates avec un célèbre agent des services vétérinaires. Avec son précédent film, le réalisateur avait su avec beaucoup de talent utiliser la parodie et la transposition du réel pour bâtir une subtile critique du monde contemporain. Ici, on le sent dépassé par son sujet. Le spectateur aussi.
POUR Après une première réalisation très remarquée malgré un évident plagiat (la menAFe Fantome, sorti début 2014), Da Rinze revient avec une nouvelle super production qui, si elle conserve le côté grand spectacle de son précédent opus, s'en éloigne par un côté beaucoup plus mystérieux et surtout réaliste. Mystérieux parce que rien n'est expliqué : avec une grande intelligence, le réalisateur ne livre que des faits, des impressions et quelques sous-entendus au spectateur qui, seul, pourra décider en son âme et conscience de ce qui ce cache derrière ces éléments. Bien sur, on s'éloigne souvent du réalisme avec des grosses courses poursuites dignes des meilleurs blockbuster hollywoodiens (il se murmure que Samy Naceri, possible cousin du réalisateur, aurait ici servi de conseiller technique officieux), mais on y revient toujours avec des situations d'une grand justesse pour qui connaît un peu la vie de ces hommes de l'ombre.
La prestation des acteurs est de haut niveau avec un naPoleon au meilleur de sa forme (la consommation de tomates sur le tournage aurait été orgiaque). A lui seul, il aurait pu porter le film à bout de bras s'il n'avait été aussi habilement secondé par les autres rôles (dont une RX-8 en pleine forme).
On sort de ce film estomaqué, troublé, la tête farcie de questions auxquelles ont n'est pas sur de vouloir trouver des réponses. Un film d'action qui fait appel à l'intelligence du spectateur, c'est à saluer.
CONTRE boum boum, vroum vroum, crac crac, vous avez l'essentiel de ce film. Ça risque, ça roule, ça dégomme de la tomate à 100 à l'heure dans une espèce de clip halluciné qui, pourtant, n'échappe pas à quelques longueurs et même pesanteurs. Dès qu'il sort de l'action pure (bien maîtrisée) pour tenter d'apporter du sens, le réalisateur tombe dans la lourdeur. Ainsi, était-il vraiment nécessaire que la scène où le héro, seul face à son écran, tente de casser le code d'un post d'Oryjen dure 35 minutes ? L'introduction de personnages historiques façon Forest Gump aurait pu être amusante si elle n'était aussi artificielle, comme cette scène où Trompe débat de DLC ou DLUO des tomates avec un célèbre agent des services vétérinaires. Avec son précédent film, le réalisateur avait su avec beaucoup de talent utiliser la parodie et la transposition du réel pour bâtir une subtile critique du monde contemporain. Ici, on le sent dépassé par son sujet. Le spectateur aussi.
[ Dernière édition du message le 22/05/2015 à 13:17:56 ]
Anonyme
27133
**naPOLEoN**
27840
Vie après AF ?
Membre depuis 19 ans
hu hu hu
Rifki
16853
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 19 ans
Rhô lala
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