Duch est maigre
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gojats
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Drogué·e à l’AFéine
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Will Zégal
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Will Zégal
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gojats
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Comme le confit de canard par exemple ?
Un esprit sein dans un... cornichon ?
Le tout venant a été piraté par les mômes, on se risque sur le bizarre : https://soundcloud.com/gojats
Will Zégal
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Will Zégal
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Allez, vite fait quelques uns :
Jamais de plat unique
1- la diversité des goûts amène la sensation de satiété. Un seul plat, ça n'aide pas.
2- il faut 10-15 mn pour que le cerveau enregistre qu'on a mangé et envoie une sensation de satiété. Avec un plat unique, on n'a pas toujours le temps d'avoir cette sensation et on a tendance à se resservir. Avec une entrée avant, on commence à se sentir rassasié pendant qu'on mange le plat. Donc on s'arrête.
Manger lentement
Moi qui ai l'habitude de manger vite, j'ai du mal. Mais manger lentement, prendre le temps de bien mâcher, ça aide à la satiété et on mange moins. En plus, on digère mieux, on se sent plus léger à la fin du repas et surtout, on profite bien plus des goûts.
Un tuyau est de ne pas se préparer une bouchée tant qu'on n'a pas terminé ce qu'on a dans sa bouche. Sinon, on a tendance à vite avaler pour ingurgiter la fourchettée prête.
Toujours commencer par une entrée légère
Le mieux, c'est une crudité. Attention au piège gras : on évite de céleri rave, les oeufs mayo ou les crudités baignant dans la sauce vinaigrette (grosses quantités d'huile).
Souvent, je me fais des bâtonnets de carotte trempés dans une sauce à base de faisselle ou de yaourt et avec des épices ou des herbes. C'est délicieux, avec une grande variabilité et ça le fait bien.
Si on mange à l'extérieur, demander à avoir la sauce à part.
Quand on cuisine alors qu'on a faim
On a tendance à grignoter. Solution : des trucs comme des bâtonnets de carotte, du choux fleur cru, ou même des quartiers de pomme à grignoter. Et ça sert d'entrée si on est pressé.
J'ai plus faim = j'arrête de manger
Ça, c'est pour les gourmands comme moi qui ont tendance à manger tant qu'il y en a quand c'est bon. Apparemment, ça serait dû au fonctionnement du cerveau, certains ayant des plaisirs gustatifs plus forts que les autres.
Le phénomène, c'est que quand on mange un truc bon et qu'on a faim, ça procure une grande sensation de plaisir. Au cours du repas, on cherche à retrouver cette sensation, d'où tendance à se resservir quand c'est bon, même si on n'a plus faim. En fait, on a même parfois du mal à faire la différence entre l'envie de manger et le fait d'avoir encore faim. Il faut être à l'écoute de son corps. Et il faut être conscient qu'on ne retrouvera pas cette sensation de plaisir à partir du moment où on a plus faim.
Si on a l'impression d'avoir encore faim, un bon truc est d'attendre quelques minutes avant de se resservir. La plupart du temps, ça suffit à identifier le fait qu'on n'a plus faim et donc, de s'abstenir.
Depuis mon régime, il m'arrive désormais souvent de ne plus finir mon assiette, chose que je ne faisais jamais avant. Il m'arrive aussi souvent de refuser fromage et dessert, sans sacrifice aucun, parce que je sais que je n'ai plus faim.
Aliments à bannir / fortement réduire
Tout ce qui est gras : fromages, fritures, charcuteries, pâtisseries, plats cuisinés, trucs d'apéros (biscuits, cacahuètes...) Il faut savoir qu'on peut, en un apéritif, consommer l'équivalent calorifique d'un repas complet.
Le sucre : virer les sodas. Ne plus sucrer boissons et laitages (on s'y habitue très vite et on redécouvre le goût).
Tout ce qui est "snack" (mars, nuts, etc.) : à la fois gras et sucré.
Les alcools.
le pain blanc
Aliments à favoriser
Fruits, légumes, légumineuses (lentilles, etc)
En été, les salades sont nos amis (sans 10 litres de vinaigrette)
En hiver, les soupes de légumes sont nos amies (en plus, c'est facile, c'est pas cher et c'est bon).
Cuisiner au maximum soi-même
Comme ça, on sait ce qu'on mange. On limite les graisses cachées, l'excès de sel, etc.
On (re)découvre le goût des bonnes choses et ça coûte beaucoup, beaucoup moins cher que les trucs préparés ou la restauration. Même une pizza sprint.
Manger de bons produits
Le goût, ça le fait. Entre bouffer correctement de bons produits et massivement de la merde industrielle, les budgets sont équivalents, mais côté plaisir et santé, y'a pas photo pour la première solution.
On risque même de découvrir qu'il y a des trucs qui sont délicieux. Récemment, j'ai servi à deux copines des épinards frais juste cuits à l'eau et servis hachés au couteau avec une cuillèrée de crême fraîche. Elles ont goûté avec méfiance et ont ouvert de grands yeux : "Oh mais c'est vachement bon !"
Utiliser herbes et épices
C'est bien d'en avoir toute une collection. Ça permet de varier considérablement des recettes simples et rapides à faire et ainsi, de ne jamais manger la même chose même en partant des même aliments de base quand on ne sait pas trop cuisiner. Et ça donne beaucoup de goût, donc de satiété.
Beaucoup qui ne savent pas cuisiner avec les épices en ont peur. Il ne faut pas hésiter à expérimenter. Personnellement, ça m'est arrivé d'avoir des associations pas super heureuses, jamais d'obtenir un truc dégueulasse.
Il suffit se sentir ses pots d'épices ou d'herbes pour trouver ce qui peut aller avec ce qu'on cuisine. Ensuite, l'expérience vient vite. Moi, je continue quand même à expérimenter des mélanges improbables. Ça m'a par exemple permis de trouver une association cumin-menthe qui marche super bien !
Ne pas grignoter entre les repas sauf
... si on a faim. Dans ce cas, pommes, bananes, tomates en été sont nos amis.
Et si on sort ?
Quand on n'a pas le contrôle sur ce qu'on va manger, un bon truc est de grignoter une pomme, une banane ou un carotte avant de sortir. Ça évite d'arriver mort de faim à un apéro et de se jeter sur les cacahuètes ou de faire les mauvais choix au resto.
Ne jamais avoir faim. Ne jamais se priver. Ne jamais se frustrer.
Si on a faim, pomme, banane, carotte, choux fleur cru...
Si on dîne tard, ne pas hésiter à prendre un goûter. Ça éviter d'être mort de faim le soir et de manger comme un goret alors qu'il est important de faire un repas léger le soir. Un bon goûter : yaourt, fromage blanc, fruits...
Ce qui est terrible pour le poids, ce sont les dérives quotidiennes, même petites. Si on mange équilibré tous les jours, le corps encaisse très largement un repas d'excès par semaine, voire une cuite. Pendant mon régime, il n'y a pas eu une semaine sans au moins un gros apéro, un barbecue, une fiesta. Ces jours là, je me lâchais et ça ne m'empêchait pas de perdre. C'est quand il y en avait plus de deux par semaine que ça devenait limite et qu'il fallait faire attention à au moins un d'entre eux. Sinon...
Donc, ne pas se frustrer et se faire plaisir. Si on adore le fromage, les charcuteries, les frittes, le lard grillé au barbecue, ben il faut en manger de temps en temps. Comme on en mange beaucoup moins, on peut se permettre de prendre de la bien meilleure qualité et le plaisir n'en est que plus grand.
Ne jamais non plus essayer de compenser un excès ne se privant le lendemain. Reprendre un rythme normal. Quand on se prive, on crée une frustration qui va nous faire "craquer" à un moment ou un autre. Il faut garder une relation saine à la bouffe : bien manger, se faire plaisir, faire attention à ce qu'on mange, mais ne pas être obsédé.
Un dernier truc : ne pas chercher à perdre trop vite. Plus on perd lentement, plus on a de chances que la perte de poids soit durable. A l'inverse, les kilos vite perdus reviennent vite.
Jamais de plat unique
1- la diversité des goûts amène la sensation de satiété. Un seul plat, ça n'aide pas.
2- il faut 10-15 mn pour que le cerveau enregistre qu'on a mangé et envoie une sensation de satiété. Avec un plat unique, on n'a pas toujours le temps d'avoir cette sensation et on a tendance à se resservir. Avec une entrée avant, on commence à se sentir rassasié pendant qu'on mange le plat. Donc on s'arrête.
Manger lentement
Moi qui ai l'habitude de manger vite, j'ai du mal. Mais manger lentement, prendre le temps de bien mâcher, ça aide à la satiété et on mange moins. En plus, on digère mieux, on se sent plus léger à la fin du repas et surtout, on profite bien plus des goûts.
Un tuyau est de ne pas se préparer une bouchée tant qu'on n'a pas terminé ce qu'on a dans sa bouche. Sinon, on a tendance à vite avaler pour ingurgiter la fourchettée prête.
Toujours commencer par une entrée légère
Le mieux, c'est une crudité. Attention au piège gras : on évite de céleri rave, les oeufs mayo ou les crudités baignant dans la sauce vinaigrette (grosses quantités d'huile).
Souvent, je me fais des bâtonnets de carotte trempés dans une sauce à base de faisselle ou de yaourt et avec des épices ou des herbes. C'est délicieux, avec une grande variabilité et ça le fait bien.
Si on mange à l'extérieur, demander à avoir la sauce à part.
Quand on cuisine alors qu'on a faim
On a tendance à grignoter. Solution : des trucs comme des bâtonnets de carotte, du choux fleur cru, ou même des quartiers de pomme à grignoter. Et ça sert d'entrée si on est pressé.
J'ai plus faim = j'arrête de manger
Ça, c'est pour les gourmands comme moi qui ont tendance à manger tant qu'il y en a quand c'est bon. Apparemment, ça serait dû au fonctionnement du cerveau, certains ayant des plaisirs gustatifs plus forts que les autres.
Le phénomène, c'est que quand on mange un truc bon et qu'on a faim, ça procure une grande sensation de plaisir. Au cours du repas, on cherche à retrouver cette sensation, d'où tendance à se resservir quand c'est bon, même si on n'a plus faim. En fait, on a même parfois du mal à faire la différence entre l'envie de manger et le fait d'avoir encore faim. Il faut être à l'écoute de son corps. Et il faut être conscient qu'on ne retrouvera pas cette sensation de plaisir à partir du moment où on a plus faim.
Si on a l'impression d'avoir encore faim, un bon truc est d'attendre quelques minutes avant de se resservir. La plupart du temps, ça suffit à identifier le fait qu'on n'a plus faim et donc, de s'abstenir.
Depuis mon régime, il m'arrive désormais souvent de ne plus finir mon assiette, chose que je ne faisais jamais avant. Il m'arrive aussi souvent de refuser fromage et dessert, sans sacrifice aucun, parce que je sais que je n'ai plus faim.
Aliments à bannir / fortement réduire
Tout ce qui est gras : fromages, fritures, charcuteries, pâtisseries, plats cuisinés, trucs d'apéros (biscuits, cacahuètes...) Il faut savoir qu'on peut, en un apéritif, consommer l'équivalent calorifique d'un repas complet.
Le sucre : virer les sodas. Ne plus sucrer boissons et laitages (on s'y habitue très vite et on redécouvre le goût).
Tout ce qui est "snack" (mars, nuts, etc.) : à la fois gras et sucré.
Les alcools.
le pain blanc
Aliments à favoriser
Fruits, légumes, légumineuses (lentilles, etc)
En été, les salades sont nos amis (sans 10 litres de vinaigrette)
En hiver, les soupes de légumes sont nos amies (en plus, c'est facile, c'est pas cher et c'est bon).
Cuisiner au maximum soi-même
Comme ça, on sait ce qu'on mange. On limite les graisses cachées, l'excès de sel, etc.
On (re)découvre le goût des bonnes choses et ça coûte beaucoup, beaucoup moins cher que les trucs préparés ou la restauration. Même une pizza sprint.
Manger de bons produits
Le goût, ça le fait. Entre bouffer correctement de bons produits et massivement de la merde industrielle, les budgets sont équivalents, mais côté plaisir et santé, y'a pas photo pour la première solution.
On risque même de découvrir qu'il y a des trucs qui sont délicieux. Récemment, j'ai servi à deux copines des épinards frais juste cuits à l'eau et servis hachés au couteau avec une cuillèrée de crême fraîche. Elles ont goûté avec méfiance et ont ouvert de grands yeux : "Oh mais c'est vachement bon !"
Utiliser herbes et épices
C'est bien d'en avoir toute une collection. Ça permet de varier considérablement des recettes simples et rapides à faire et ainsi, de ne jamais manger la même chose même en partant des même aliments de base quand on ne sait pas trop cuisiner. Et ça donne beaucoup de goût, donc de satiété.
Beaucoup qui ne savent pas cuisiner avec les épices en ont peur. Il ne faut pas hésiter à expérimenter. Personnellement, ça m'est arrivé d'avoir des associations pas super heureuses, jamais d'obtenir un truc dégueulasse.
Il suffit se sentir ses pots d'épices ou d'herbes pour trouver ce qui peut aller avec ce qu'on cuisine. Ensuite, l'expérience vient vite. Moi, je continue quand même à expérimenter des mélanges improbables. Ça m'a par exemple permis de trouver une association cumin-menthe qui marche super bien !
Ne pas grignoter entre les repas sauf
... si on a faim. Dans ce cas, pommes, bananes, tomates en été sont nos amis.
Et si on sort ?
Quand on n'a pas le contrôle sur ce qu'on va manger, un bon truc est de grignoter une pomme, une banane ou un carotte avant de sortir. Ça évite d'arriver mort de faim à un apéro et de se jeter sur les cacahuètes ou de faire les mauvais choix au resto.
Ne jamais avoir faim. Ne jamais se priver. Ne jamais se frustrer.
Si on a faim, pomme, banane, carotte, choux fleur cru...
Si on dîne tard, ne pas hésiter à prendre un goûter. Ça éviter d'être mort de faim le soir et de manger comme un goret alors qu'il est important de faire un repas léger le soir. Un bon goûter : yaourt, fromage blanc, fruits...
Ce qui est terrible pour le poids, ce sont les dérives quotidiennes, même petites. Si on mange équilibré tous les jours, le corps encaisse très largement un repas d'excès par semaine, voire une cuite. Pendant mon régime, il n'y a pas eu une semaine sans au moins un gros apéro, un barbecue, une fiesta. Ces jours là, je me lâchais et ça ne m'empêchait pas de perdre. C'est quand il y en avait plus de deux par semaine que ça devenait limite et qu'il fallait faire attention à au moins un d'entre eux. Sinon...
Donc, ne pas se frustrer et se faire plaisir. Si on adore le fromage, les charcuteries, les frittes, le lard grillé au barbecue, ben il faut en manger de temps en temps. Comme on en mange beaucoup moins, on peut se permettre de prendre de la bien meilleure qualité et le plaisir n'en est que plus grand.
Ne jamais non plus essayer de compenser un excès ne se privant le lendemain. Reprendre un rythme normal. Quand on se prive, on crée une frustration qui va nous faire "craquer" à un moment ou un autre. Il faut garder une relation saine à la bouffe : bien manger, se faire plaisir, faire attention à ce qu'on mange, mais ne pas être obsédé.
Un dernier truc : ne pas chercher à perdre trop vite. Plus on perd lentement, plus on a de chances que la perte de poids soit durable. A l'inverse, les kilos vite perdus reviennent vite.
[ Dernière édition du message le 15/10/2014 à 11:59:01 ]
cyar
12259
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 18 ans
Amen! 
Anonyme
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Will Zégal
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Will Zégal
Membre depuis 22 ans
+1
J'ai un exemple de l'intérêt des produits de qualité : l'huile d'olive. J'avais ramené de Sicile, puis du Maroc des très bonnes huiles d'olive avec beaucoup de goût, très parfumées. Moralité, j'en utilise très peu. J'ai un spray à huile et une giclée sur des bonnes tomates fraîches avec un peu de fleur de sel et un tour de moulin de bon poivre, ça défonce tout simplement.
J'en mets aussi dans mes sauces à base de faisselle. L'équivalent d'une cuillère à café pour deux grosses cuillères à soupe de faisselle et ça suffit à parfumer.
Si vous n'avez pas la chance de visiter des producteurs d'huile d'olive pour en ramener de la bonne, aller en prendre dans une bonne épicerie fine est probablement un investissement rentable sur tous les plans, même si vous payez votre bouteille 15 €.
C'est celle-là celle que j'ai ramené de Sicile : https://www.gustoditalia.com/huile-d-olive-extravierge-bio-de-sicile-75cl-c2x3630012
(Celle du Maroc, je l'ai payée 4€ / l à la coopérative. Alors j'en ai ramené plusieurs bidons de 5 L
)
Rappelons au passage que la présence de gras contribue au goût. Raison pour laquelle il vaut mieux réduire beaucoup charcuterie et fromages et se régaler avec de bons fromages blancs et yaourts qu'avec des insipides 0%
J'ai un exemple de l'intérêt des produits de qualité : l'huile d'olive. J'avais ramené de Sicile, puis du Maroc des très bonnes huiles d'olive avec beaucoup de goût, très parfumées. Moralité, j'en utilise très peu. J'ai un spray à huile et une giclée sur des bonnes tomates fraîches avec un peu de fleur de sel et un tour de moulin de bon poivre, ça défonce tout simplement.
J'en mets aussi dans mes sauces à base de faisselle. L'équivalent d'une cuillère à café pour deux grosses cuillères à soupe de faisselle et ça suffit à parfumer.
Si vous n'avez pas la chance de visiter des producteurs d'huile d'olive pour en ramener de la bonne, aller en prendre dans une bonne épicerie fine est probablement un investissement rentable sur tous les plans, même si vous payez votre bouteille 15 €.
C'est celle-là celle que j'ai ramené de Sicile : https://www.gustoditalia.com/huile-d-olive-extravierge-bio-de-sicile-75cl-c2x3630012
(Celle du Maroc, je l'ai payée 4€ / l à la coopérative. Alors j'en ai ramené plusieurs bidons de 5 L
)Rappelons au passage que la présence de gras contribue au goût. Raison pour laquelle il vaut mieux réduire beaucoup charcuterie et fromages et se régaler avec de bons fromages blancs et yaourts qu'avec des insipides 0%
[ Dernière édition du message le 15/10/2014 à 12:22:09 ]
Anonyme
65640
C'est à ce niveau que je parlais de régimes à l'américaine : eux se basent quasi totalement sur le taux de matières grasses, ce qui est totalement débile.
Les matières grasses d'huiles végétales (hors palmistes ou chocolat) et de la volaille grasse (canard, oie) n'ont absolument rien à voir avec la matière grasse de viandes rouges ou de porc, et faut pas lésiner sur l'huile d'olive.
Pis bon, merde, on vit dans le pays de la bonne bouffe (encore qu'il y en aurait à dire là dessus, en Italie, la bouffe d'une famille lambda est de qualité gustative et diététique ahurissante, alors qu'en France le ben manger concerne surtout le sud est avec sa bouffe méditerranéenne et le sud ouest, avec sa bouffe riche en canard/oie, au nord on bouffe surtout des frites et des steacks hachés 
).
[ Dernière édition du message le 15/10/2014 à 12:30:22 ]
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