Les double-albums qui auraient mieux fait d'être simple

t'es un malade toi, l'est génial cet album.

En revanche, pour cet album, jme demande si on peut parler de double album à part entière, dans le sens où il semble faire moins que 75 mn (limite technique pour un CD sauf exceptions dont la technologie m'échappe, d'ailleurs).

Ha mais je suis pas gros! 

Non mais double-blanc est pas mal mais avec un tiers en moins il serait mieux je trouve, y a du remplissage entre des chansons bien cool...

" The Wall " c'est différent, c'est bien de bout en bout mais dangereux pour la santé mentale en une seule prise.

Tommy, c'est le problème de tous ces rockers qui ont découvert les Koncept, la Littérature, la Psychologie, l' ART ... Du coup, ils ont oublié le rocknroll. Et c'est chiant, pompeux déprimant sans être désespéré, surêt mais point acide, vagement intime mais pas du tout universel.

Les Who ont fait des petites pépites pop et rock assez géniales... Beach Boys idem... Et puis hop! Melon + pognon + gros boulon = gros étron.

Pour un Pink Floyd ( et encore? ), combien d'Eagles ?

" London Calling "

^J'irai l'écouté d'abord...

A part ça je suis tombé sur ( je découvre ) Amon DüülII- " Yéti "... qui est double et bien pour un truc de ( me suis renseigné ) LSD- freaks teutons, j'avoue que les guitare mordent bien, l'ambiance jam construite, méga barré mais pas l'hopital, suivable à jeun ( hi! )

Quelqu'un connaît ce truc?

Hors sujet :

 autre double album qui mérite de le rester : Hubris I et II d'Andreas Kisser.

+100 pour physical graffiti, of course.

intelligent and sacrifice d'Alec Empire : dans quelle catégorie ?

Personne a rien dit sur l' "Hamlet " de Johnny ( sisi! ça existe!  )...

Sans compter la somptueuz pochette!...

Me suis toujours demander ( j'ai la flemme de vérifier ) s'il y avait là-dedans des bouts de Shakespeare même en mal traduit par ci par là... Ou si c'est juste du barbeligolman-chose...

On est d'accord hein!? je veux pas savoir, je m'en fous. 

Le double album de cypress hill pour moi marque même la fin d'une décennie glorieuse de hiphop au niveau mondial, c'est The final cut du hiphop : la fête est finie, faut remballer, on a bien fait les cons mais faut reprendre une activité normale.

Cet album là annonce déjà tous les errements du hiphop des 2000's : la partie purement hiphop est réchaffée, on sent clairement les morceaux non retenus ni pour le fabuleux album IV (amha probablement un des meilleurs albums hiphop et albums tout court, l'enchainement des 13 premiers titres est à couper le souffle, et en plus du côté technique le mixage/mastering est super haut de gamme) ni pour les 15 compiles annuelles de DJ Muggs ; et la partie metal n'est rien de plus qu'un gloubigoulba de metal mainstream et de rap yahourt.

Ceci dit on peut pas reprocher à Cypress Hill d'être prémonitoire dans la médiocrité : si cet album annonçait déjà la merde future, leurs suivants seront également précurseurs des mélanges ragga/rap ringards et de r'n'b ridicule, mastering façon rouleau compresseur à la clé.

On s'y perd dans les double-album ou pas... Les nouveaux album vinyls sont des fois deux rondelles mais durent comme un CD qui lui dure plus qu'un ancien 33T... Sans compter les édition une ou trois face(s).