Rationnel / irrationnel, frontières de l'inconnu

Hors sujet :

 Mort, j'ai lu ton article. Très intéressant! Mais ça m'a étonné qu'à moitié... Pour commencer, on sait bien qu'on se nourrit de façon idiote, qu'on peut se passer de plein de choses et même qu'elles nous alourdissent ( là en plus, j'expérimente le truc avec bonheur! Jamais été si en forme et proche de mon corps d'ado, et l'esprit clair comme rarement! ), sans compter que ces choses demandent énormément d'efforts pour les générer... Dans ces efforts, je compte le travail, avec son cortège de maux physiques divers, les dommages  humains ( exploitation des uns par les autres, monopolisations à des tâches au fond inutiles d'où découle une perte de temps libre pendant lequel la personne pourrait s'amuser, se cultiver, se mieux connaître et devenir plus humaine... ), dommages encore écologiques ( je vais pas faire la liste, tout le monde voit de quoi on cause... Dans ces efforts je compte aussi le fait de s'éloigner de notre Nature. Je pense que c'est une des choses les plus dommageable, je vois ça souvent, les gens ont beau faire, dire et se remuer le cul, y sont tristes, vides, ils ne connaissent plus leur potentiel, ils ne savent pas ce qu'ils recellent comme richesses intérieurs, tout pour eux se déroule à l'extérieur d'eux-mêmes... Alors ils courrent après des machins illusoires qu'ils ne rattrappent jamais vu que c'est sans fin, toujours autre chose en plus, de mieux, de plus fort,... C'est un effort de se rendre malheureux comme ça! Y me semble le Bushmen ont une grande sagesse... On va jamais y retourner par décision. Par contre, la façon dont on a tout niqué comme des porcs va peut-être nous y remettre de force. En ça je suis optimiste, je pense que tout a son utilité, que ces catastrophes prochaines sont bienvennues comme oportunités d'évoluer vers une humanité plus humaine... Je prends ce pari ( en buvant un Campari! )!