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Pourquoi pas plutôt: "Cherche un cercueil en forme d'étui pour ma BC Rich"
Anonyme
521410
Titan2
182
Posteur·euse AFfiné·e
Membre depuis 21 ans
Et bien !
ca chauffe sur watt, les watts en moins (le nucléaire c cher et ca détruit la terreu !).
Bref.
Moi je ne sais que penser de tout ca ; a vrai dire, meme si je me suis deja posé ce genre de questions, les debats peuvent s'accumuler dans de sombres nuits de mouvances gastriques ; la notion d'universalité m'echappera toujours, plus pour ma qualité d'homme (qui pense) que par manquement a mon quotas de psycho-idéalisme energétique (40% environ de mes dépenses energétiques totales).
????
Difficile d'etre artiste !
Au fond, la seule "validation" qui compte, c'est sa conception de l'art et de l'artiste. Faire de l'art pour l'exporter (vendre - exporter, les limites sont assez floues) correspond soit a un acte volontaire de plaire, soit à une créativité artistique en accord aux regles, esthétique et morale du groupe pour lesquelles les oeuvres sont destinés ( dans la logique de "l'art pour" les "regardeurs" ou les "auditeurs" ). Par définition ,l'artiste peux plaire par conditionnement volontaire ou involontaire. Il ne fait que rentrer dans le moule culturel ou il s'est épanoui. Pour communiquer, par ses oeuvres, il ne peut que passer par ce contexte culturel, donc.
Cette logique valorifique dediée au public rend l'interpénétration artistique des deux derniers siecle un peu bancale. Les arts et les "modes d'expressions" se sont mélangés et ont amenés la création de nouveaux mouvements. Lesquels d'ailleurs, n'ont jamais recu l'approbation du plus grand nombre car ne correspondant pas a la logique culturelle et morale de leur époque (ex : "olympia" de Manet, entre beaucoup d'autres, evidemment). Pourtant, aujourd'hui, tout le monde s'accorde pour porter au nues l'impressionnisme ou l'art conceptuel, ou tout du moins a les reconnaitre comme de véritables démarche artistique. Considération rétroactive dû a une évolution culturelle ?
Etre artiste et représenter un art que tous le monde attend tient plus de l'automatisme que d'une véritable démarche artistique, a mon sens. L'histoire de l'art (beurk !) nous montre que les automatismes déchus forment les plus foudroyantes avancées. Le XXeme siècle n'est qu'un exemple, mais on voit bien qu'au début de l'industrialisation, la premiere et la deuxieme guerre et l'avenement de la consommation de masse correspondent des perturbations, des brusques virevoltes du staut de l'art. Changements culturels et sociaux, nouvelles représentations cosmogoniques (ancrées consciemment ou non), nouvelles considérations de l'homme et ses représentations, avancés technologiques ? A mon sens, il y a de ça.
Comment s'exprimer ?
Mais....
Bien d'accord avec Stavroguine. Une forme qui pense, une forme sensée ? (aucune n'en est dépourvu, du moins, dans notre esprit). Chacun lie une forme, a un sens, tout du moins a une émotion chargé de sens. (une émotions est une crétion de l'esprit, culturelle, personnelle, sociale, un liant avec le monde extérieur, de "personnification" ). C'est ce par quoi nous vivons et nous agitons.
Se désaliéner du monde, de l'automatisme, car un grain de sable (désolé pour les historien, oups) vient gripper la didascalie prétendu divine qui régit le fil de nos nuits ? maitriser, ou expulser les tensions qui pousse au hurlement, qui fait de nous des artistes en puissance ? Eriger vie et mort, soeurs jumelles complices et cruelles, comme dans une logique évolutive Cézanne-Picasso ? La liberté en exercice ? ou l'exercice de la liberté ?
Cassez les automatismes, cassez le sens de la forme et donc de faire "penser" la forme diféremment. Ou de laisser la forme penser, meme, libre, dans son sens unique et seule dans sa vérité propre. La charge émotionnelle qui acompagne toute représentation n'etant que le facteur "désinformatif" du véritable sens de la forme.
Par la meme, ne serai-ce qu'un instant, oublier ce pourquoi on "est", ce pourquoi on "vit", ce par quoi l'on "pense" ?
J'essaie de comprendre...
A mon point de vue je met un point provisoire, car d'un seul jet c'est dure de s'y retrouver, et des conneries peut etre j'ai pu dire alors vos remarques donnez moi, voila.
('tain, quand comme yoda je commence a parler c'est que sur mes connections neuronales j'ai trop tiré, temps il est d'arreter...!)
ca chauffe sur watt, les watts en moins (le nucléaire c cher et ca détruit la terreu !).
Bref.
Moi je ne sais que penser de tout ca ; a vrai dire, meme si je me suis deja posé ce genre de questions, les debats peuvent s'accumuler dans de sombres nuits de mouvances gastriques ; la notion d'universalité m'echappera toujours, plus pour ma qualité d'homme (qui pense) que par manquement a mon quotas de psycho-idéalisme energétique (40% environ de mes dépenses energétiques totales).
Citation : La validation artistique de l'oeuvre se fait à l'exportation, c'est le jugement, la validation ...
Si qqun d'autre apprécie, c'est peut-être de l'art...
Si un groupe apprécie, c'est surement de l'art !
Si tout le monde apprécie, c'est peut-être plus que de l'art ?
????
Difficile d'etre artiste !
Au fond, la seule "validation" qui compte, c'est sa conception de l'art et de l'artiste. Faire de l'art pour l'exporter (vendre - exporter, les limites sont assez floues) correspond soit a un acte volontaire de plaire, soit à une créativité artistique en accord aux regles, esthétique et morale du groupe pour lesquelles les oeuvres sont destinés ( dans la logique de "l'art pour" les "regardeurs" ou les "auditeurs" ). Par définition ,l'artiste peux plaire par conditionnement volontaire ou involontaire. Il ne fait que rentrer dans le moule culturel ou il s'est épanoui. Pour communiquer, par ses oeuvres, il ne peut que passer par ce contexte culturel, donc.
Cette logique valorifique dediée au public rend l'interpénétration artistique des deux derniers siecle un peu bancale. Les arts et les "modes d'expressions" se sont mélangés et ont amenés la création de nouveaux mouvements. Lesquels d'ailleurs, n'ont jamais recu l'approbation du plus grand nombre car ne correspondant pas a la logique culturelle et morale de leur époque (ex : "olympia" de Manet, entre beaucoup d'autres, evidemment). Pourtant, aujourd'hui, tout le monde s'accorde pour porter au nues l'impressionnisme ou l'art conceptuel, ou tout du moins a les reconnaitre comme de véritables démarche artistique. Considération rétroactive dû a une évolution culturelle ?
Etre artiste et représenter un art que tous le monde attend tient plus de l'automatisme que d'une véritable démarche artistique, a mon sens. L'histoire de l'art (beurk !) nous montre que les automatismes déchus forment les plus foudroyantes avancées. Le XXeme siècle n'est qu'un exemple, mais on voit bien qu'au début de l'industrialisation, la premiere et la deuxieme guerre et l'avenement de la consommation de masse correspondent des perturbations, des brusques virevoltes du staut de l'art. Changements culturels et sociaux, nouvelles représentations cosmogoniques (ancrées consciemment ou non), nouvelles considérations de l'homme et ses représentations, avancés technologiques ? A mon sens, il y a de ça.
Comment s'exprimer ?
Citation : Et c'est un peu ça, l'art, pour moi, une expérience de désaliénation, un exercice de la liberté. C'est très large...
Mais....
Bien d'accord avec Stavroguine. Une forme qui pense, une forme sensée ? (aucune n'en est dépourvu, du moins, dans notre esprit). Chacun lie une forme, a un sens, tout du moins a une émotion chargé de sens. (une émotions est une crétion de l'esprit, culturelle, personnelle, sociale, un liant avec le monde extérieur, de "personnification" ). C'est ce par quoi nous vivons et nous agitons.
Se désaliéner du monde, de l'automatisme, car un grain de sable (désolé pour les historien, oups) vient gripper la didascalie prétendu divine qui régit le fil de nos nuits ? maitriser, ou expulser les tensions qui pousse au hurlement, qui fait de nous des artistes en puissance ? Eriger vie et mort, soeurs jumelles complices et cruelles, comme dans une logique évolutive Cézanne-Picasso ? La liberté en exercice ? ou l'exercice de la liberté ?
Cassez les automatismes, cassez le sens de la forme et donc de faire "penser" la forme diféremment. Ou de laisser la forme penser, meme, libre, dans son sens unique et seule dans sa vérité propre. La charge émotionnelle qui acompagne toute représentation n'etant que le facteur "désinformatif" du véritable sens de la forme.
Par la meme, ne serai-ce qu'un instant, oublier ce pourquoi on "est", ce pourquoi on "vit", ce par quoi l'on "pense" ?
J'essaie de comprendre...
A mon point de vue je met un point provisoire, car d'un seul jet c'est dure de s'y retrouver, et des conneries peut etre j'ai pu dire alors vos remarques donnez moi, voila.
('tain, quand comme yoda je commence a parler c'est que sur mes connections neuronales j'ai trop tiré, temps il est d'arreter...!)
Titan2
182
Posteur·euse AFfiné·e
Membre depuis 21 ans
Inu, au fait,
quand tu dis
c'est un peu mystique comme point de vue je trouve, je le partage tout de meme... mais...
Ah... ok ! j'ai compris !!!
tu interprete donc toi meme ensuite, par des limites de tolérances. Non ?
Comme dans un circuit transistor quoi...
Le debat L'inusable 9000 est reparti !!!
quand tu dis
Citation : Pour moi tout nait en soit meme...
c'est un peu mystique comme point de vue je trouve, je le partage tout de meme... mais...
Citation : Pour moi la volonté de l'artiste ne sert qu'a controler que ce que je vois ou ecoute soit d'une qualité acceptable. Un pré filtrage en quelque sorte. Basé sur le gout et le qualitatif
Ah... ok ! j'ai compris !!!
tu interprete donc toi meme ensuite, par des limites de tolérances. Non ?
Comme dans un circuit transistor quoi...
Le debat L'inusable 9000 est reparti !!!
Beher
1981
AFicionado·a
Membre depuis 21 ans
Anonyme
521410
Citation : Cherche un etui en forme de cerceuil pour une B.C Rich Beast
Pourquoi pas plutôt: "Cherche un cercueil en forme d'étui pour ma BC Rich"
blitzkrieg-alex
1113
AFicionado·a
Membre depuis 16 ans
KeBaTeK
1628
AFicionado·a
Membre depuis 18 ans
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