Poésie de merde bâclée (savent pas écrire, savent à peine lire, spourssa) avec musique de merde piquée ici et là (là ou qu'c'est pas trop cher voire même moins cher que pas cher du tout).
Bref, ce truc bâtard tout au rabais qui ne fait qu'échouer sur tous les tableaux.
Je ne le trouve pas du tout casse-couilles Ruffin.
Il ressasse des essentiels.
C'est peut-être par effet de perspective désespérante que c'est insupportable.
Mais c'est pas lui ni ce qu'il dit qui est insupportable.
C'est l'énormité de la pente, qui nous apparaît soudain à remonter.
On s'est faits baiser par le médef et leurs équivalents planétaires, profond profond, on n'a rien vu.
Ha mais aussi nul que ça, ça existe donc?
On dirait Joseph Arthur & The Lonely Astronauts qui auraient oublié, un soir de cuite, que c'était du second degré au départ.
Bon, pour sauver les meubles et rester dans le ton, il aurait pu au moins la sauter à la fin...