Sujet Blague la plus pourrite 2 le retour de la vengeance :lol:
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Will Zégal
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Will Zégal
Membre depuis 22 ans
Berzin
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Vie après AF ?
Membre depuis 19 ans
Cette blague, je l'avais faite à une élève, qui avait du mal à jouer le pont d'une chanson. Je lui avais dit "travailles le chez toi, jusqu'à ce que tes parents de demandent d'arrêter de faire le pont !"
[ Dernière édition du message le 12/11/2021 à 19:26:07 ]
Will Zégal
74157
Will Zégal
Membre depuis 22 ans
noiZe
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Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 19 ans
8oris
5641
Je poste, donc je suis
Membre depuis 20 ans
kingchubby
880
Posteur·euse AFfolé·e
Membre depuis 17 ans
Point-virgule
6640
Je poste, donc je suis
Membre depuis 19 ans
T2S
3680
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 12 ans
sonicsnap
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AF, je suis ton père
Membre depuis 17 ans
Anonyme
Allez, une histoire réinventée pour la cause, d'une blague entendue durant mon enfance, dont je ne me souviens que de la fin. Désolé pour le français pété:
C'est l'histoire d'un couple comme il en existe tant.
Ils se sont aimés, mariés et eurent beaucoup d'enfants. Puis les illusions passées, restèrent ensemble par peur de la perte, de sortir de leur confort. L'amour s'étiola.
Par une morne journée d'automne, monsieur rentra plus tôt du travail , il enfilai tristement ses charentaises, ignorant les joies de leur compagnon canin, Phébus, le dogue argentin.
Quand, tout à coup se redressant, vers le foyer cheminant, fut surpris par une anormale activité dans la chambrée, il vit alors sa femme, sur un autre homme lui jouer une partition de fifrelin endiablée.
N'écoutant que ses émotions, il accouru, hurla son désespoir et entreprit de saisir l'inconvenant par le col afin de le projeter séance tenante vers le sol.
L'amant tel une proie traquée, ses muscles et réflexe bandés, eut fort à faire dans le combat pour se déssaissir de la -veuve- poignée du désespéré.
Il courut comme un écervelé, et par une fenêtre, le soupirant pris la poudre d'escampette.
Chutant dans une arrrière-cour, la chance lui sourit
Une moto rouge et une moto verte s'offraient à lui.
Ni une ni deux il enfourna la verte, démarra en trombe pour fuir l'hécatombe.
Veuve poignet en coin, le cocufié, sur la moto rouge le talonnait.
Une poursuite folle, l'amant tantôt s' échappant, le cocu tantôt le ratrappant.
La première avenue poncée il arriva finalement à sa hauteur, Road Rash mode enclenché, et par des coups de pieds tenta de le faire tomber.
L'amant paniqué remit un coup de gaz, mais rien n'y fit. Se prit des coups et manqua de peu de chuter, évitant de justesse piétons et circulation.
Qu'est-ce qu'on ferait pas pour un con ?
Heureusement se présenta une ultime opportunité, le ruban de l'autoroute devant lui se dévoilai, enfin il allait délivrer.
La moto verte et son pilote tournèrent sur la première voie d'insertion, fond de 2 fond de 3 fond de 4...
... Les kilomètres devinrent des mètres...
... la pression de l'air était telle qu'il ne pouvait pas se retourner...
Mais le cocu, inexorablement, le rattrapait..
... son destin était scellé...
Le premier par la rage aveuglé, l'envoya face dans le bitume s' écraser.
Moralité...
C'est l'histoire d'un couple comme il en existe tant.
Ils se sont aimés, mariés et eurent beaucoup d'enfants. Puis les illusions passées, restèrent ensemble par peur de la perte, de sortir de leur confort. L'amour s'étiola.
Par une morne journée d'automne, monsieur rentra plus tôt du travail , il enfilai tristement ses charentaises, ignorant les joies de leur compagnon canin, Phébus, le dogue argentin.
Quand, tout à coup se redressant, vers le foyer cheminant, fut surpris par une anormale activité dans la chambrée, il vit alors sa femme, sur un autre homme lui jouer une partition de fifrelin endiablée.
N'écoutant que ses émotions, il accouru, hurla son désespoir et entreprit de saisir l'inconvenant par le col afin de le projeter séance tenante vers le sol.
L'amant tel une proie traquée, ses muscles et réflexe bandés, eut fort à faire dans le combat pour se déssaissir de la -veuve- poignée du désespéré.
Il courut comme un écervelé, et par une fenêtre, le soupirant pris la poudre d'escampette.
Chutant dans une arrrière-cour, la chance lui sourit
Une moto rouge et une moto verte s'offraient à lui.
Ni une ni deux il enfourna la verte, démarra en trombe pour fuir l'hécatombe.
Veuve poignet en coin, le cocufié, sur la moto rouge le talonnait.
Une poursuite folle, l'amant tantôt s' échappant, le cocu tantôt le ratrappant.
La première avenue poncée il arriva finalement à sa hauteur, Road Rash mode enclenché, et par des coups de pieds tenta de le faire tomber.
L'amant paniqué remit un coup de gaz, mais rien n'y fit. Se prit des coups et manqua de peu de chuter, évitant de justesse piétons et circulation.
Qu'est-ce qu'on ferait pas pour un con ?
Heureusement se présenta une ultime opportunité, le ruban de l'autoroute devant lui se dévoilai, enfin il allait délivrer.
La moto verte et son pilote tournèrent sur la première voie d'insertion, fond de 2 fond de 3 fond de 4...
... Les kilomètres devinrent des mètres...
... la pression de l'air était telle qu'il ne pouvait pas se retourner...
Mais le cocu, inexorablement, le rattrapait..
... son destin était scellé...
Le premier par la rage aveuglé, l'envoya face dans le bitume s' écraser.
Moralité...
[ Dernière édition du message le 22/11/2021 à 15:56:31 ]
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