Sujet Qu'est-ce qui vous fascine automatiquement ?
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Bah c'est pas moi qui laisse la bonne femme gérer le ménage.
Dans mon précédent taf chez Dukon (les habitués de l'agassotaf connaissent
), j'ai eu durant 18 ans à cotoyer une collègue qui a subitement développé ce souci. Du jour au lendemain, et sous ses 140 kgs jusqu'alors olfactivement discrets, a commencé à se développer une odeur quasi putride. Nous bossions dans 24 m² à 4,5 personnes!
Mon boss de l'époque, avant que mon collègue Dukon ne rachète l'affaire, était TRES délicat. Plutôt que de prendre la nana entre quat'zyeux pour lui expliquer deux ou trois trucs, il s'amusait à aller chercher la bombe à chiotte à la lavande, et à en répandre le brouillard dans la pièce, et plus particulièrement autour de la collègue... Pas de réaction de la part de la source du désordre (ou alors intérieurement gênée, mais rien ne transpirait... enfin...
).
Et puis un après-midi d'été, alors que des clients quittaient l'agence après avoir copieusement tordu le nez pendant 10 minutes, je me suis posé la question de savoir quoi faire/dire... Comme patron, c'est compliqué d'aborder le sujet mais c'est un devoir; comme simple collègue, c'est encore plus compliqué vu l'absence de hiérarchie, mais ça reste facultatif. Quoi que...
Bref, je me suis convaincu dans mon for intérieur en me disant "de deux choses l'une, soit elle entend ce que j'ai à lui dire comme on apprend une nouvelle dont on avait pas connaissance, et tout va rentrer dans l'ordre, soit elle le prend mal, et c'est une vraie conne qui sait au moins qu'elle infecte tout le monde et que tout le monde le sait".
Une fois seul à seul, je lui ai dit "machine, il faut que je te dise un truc. Depuis quelques temps, tu sens la transpiration d'une force que ça en devient incommodant; des clients s'en sont plaints". Elle m'a répondu à mi-voix "je sais, je suis traitée pour ça, c'est depuis ma dernière ambolie".
De fait, on a encore souffert un petit mois, puis elle n'a plus eu à nous infliger cette expérience asphyxiante; le traitement avait produit ses effets.
En fait, la misogynie, elle est dans l'emploi de l'expression "bonne femme" tu vois. Ma déliceuse moitié n'a rien d'une bonne femme, stuveux
Et puis pour ce qui est de gérer le ménage en mode je laisse faire, t'es à côté. C'est juste que là, deux heures et demi après le départ de la boule puante, je ne sentais plus rien. Soit plus d'odeur, soit mon accoutumance. Or, il se trouve que ma femme est un nez. Elle te dégotte une odeur infime parmi des dizaines d'autres sans coup ferir. Elle est un peu à l'odorat en milieu aérien ce que sont les anguilles au milieu aquatique (pour mémoire, une goutte de parfum dans le lac de Constance, pour donner une ordre de grandeur de l'acuité de leur sens). Et elle est tombée sur LES DEUX ZONES où le putois a posé ses sales paluches.
Elle a donc géré ce qu'elle percevait, comme je n'ai pas géré ce que j'étais incapable de percevoir.
Ha ben si c'est du bonhomme, de fait ça s'applique pas.
Sinon, cherche pas à te justifier je te trolle depuis le début.
Anonyme
27147
Entre autres problèmes de peau cent fois plus gênant pour celui qui en souffre, que ceux qui le touchent: les mains moites. Un vrai problème qui pourrit les relations sociales sans avoir l'air d'y toucher. 
Anonyme
66280
Citation :
ça sent (!) pas du tout le propos misogyne en fait
Bah c'est pas moi qui laisse la bonne femme gérer le ménage.
W-Addict
44036
Ma vie est un thread...
Membre depuis 19 ans
On voit le résultat : tu dessines des teub sur les murs.
Anonyme
15125
Citation de =LouF= :
je pense que c'est une maladie. On en a un à l'étage, j'en ai déjà parlé. Il s'est déjà fait convoquer et tout.
Dans mon précédent taf chez Dukon (les habitués de l'agassotaf connaissent
), j'ai eu durant 18 ans à cotoyer une collègue qui a subitement développé ce souci. Du jour au lendemain, et sous ses 140 kgs jusqu'alors olfactivement discrets, a commencé à se développer une odeur quasi putride. Nous bossions dans 24 m² à 4,5 personnes!Mon boss de l'époque, avant que mon collègue Dukon ne rachète l'affaire, était TRES délicat. Plutôt que de prendre la nana entre quat'zyeux pour lui expliquer deux ou trois trucs, il s'amusait à aller chercher la bombe à chiotte à la lavande, et à en répandre le brouillard dans la pièce, et plus particulièrement autour de la collègue... Pas de réaction de la part de la source du désordre (ou alors intérieurement gênée, mais rien ne transpirait... enfin...
).Et puis un après-midi d'été, alors que des clients quittaient l'agence après avoir copieusement tordu le nez pendant 10 minutes, je me suis posé la question de savoir quoi faire/dire... Comme patron, c'est compliqué d'aborder le sujet mais c'est un devoir; comme simple collègue, c'est encore plus compliqué vu l'absence de hiérarchie, mais ça reste facultatif. Quoi que...
Bref, je me suis convaincu dans mon for intérieur en me disant "de deux choses l'une, soit elle entend ce que j'ai à lui dire comme on apprend une nouvelle dont on avait pas connaissance, et tout va rentrer dans l'ordre, soit elle le prend mal, et c'est une vraie conne qui sait au moins qu'elle infecte tout le monde et que tout le monde le sait".
Une fois seul à seul, je lui ai dit "machine, il faut que je te dise un truc. Depuis quelques temps, tu sens la transpiration d'une force que ça en devient incommodant; des clients s'en sont plaints". Elle m'a répondu à mi-voix "je sais, je suis traitée pour ça, c'est depuis ma dernière ambolie".
De fait, on a encore souffert un petit mois, puis elle n'a plus eu à nous infliger cette expérience asphyxiante; le traitement avait produit ses effets.
Anonyme
15125
Citation de youtou :
Bah c'est pas moi qui laisse la bonne femme gérer le ménage.
En fait, la misogynie, elle est dans l'emploi de l'expression "bonne femme" tu vois. Ma déliceuse moitié n'a rien d'une bonne femme, stuveux
Et puis pour ce qui est de gérer le ménage en mode je laisse faire, t'es à côté. C'est juste que là, deux heures et demi après le départ de la boule puante, je ne sentais plus rien. Soit plus d'odeur, soit mon accoutumance. Or, il se trouve que ma femme est un nez. Elle te dégotte une odeur infime parmi des dizaines d'autres sans coup ferir. Elle est un peu à l'odorat en milieu aérien ce que sont les anguilles au milieu aquatique (pour mémoire, une goutte de parfum dans le lac de Constance, pour donner une ordre de grandeur de l'acuité de leur sens). Et elle est tombée sur LES DEUX ZONES où le putois a posé ses sales paluches.
Elle a donc géré ce qu'elle percevait, comme je n'ai pas géré ce que j'étais incapable de percevoir.
Anonyme
66280
Citation :
Ma déliceuse moitié n'a rien d'une bonne femme, stuveux
Ha ben si c'est du bonhomme, de fait ça s'applique pas.
Sinon, cherche pas à te justifier je te trolle depuis le début.
Anonyme
15125
Vu le nombre de posts que tu as, je devrais pouvoir te mettre du "- tant" de netiquette en unité de dizaines, pour absence inexcusable de l'usage du moindre smiley second degré. La réputation de ton verbe est suffisamment acide pour qu'on puisse penser que tu es perpetuellement premier degré de chez premier degré.
Pictocube
36977
Ma vie est un thread...
Membre depuis 17 ans
Anonyme
833
samy dread
17635
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 18 ans
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