Sujet de la discussionPosté le 09/04/2003 à 15:17:17Qu'est-ce qui vous fascine automatiquement ?
Et hop encore un autre sujet inutile !
Ce coup ci parlez nous des petits trucs devant lesquels vous scotchez.
Moi c'est :
-Les aiguillages de trains (surtout quand y'en a plein)
-Les usines d'embouteillage à la chaine
-Un DJ qui scratche (pas comme moi au couteau !)
-Un beau circuit de train électrique bien décorré
Ingérable, adj.Qui peut être ingéré, absorbé par voie buccale. (Dict. xxes.). Un médicament qui n'est pas ingérable (Lar. Lang. fr.).
Prononc. et Orth. : [ε ̃ ʒeʀe], (il) ingère [ε ̃ ʒ ε:ʀ]. Att. ds Ac. dep. 1694. Conjug. : change é du rad. en è devant syll. muette sauf au fut. et au cond. ingérerai(s). Étymol. et Hist. 1. 1362 s'ingérer de qqc. « s'introduire indûment, sans en être requis ou en avoir le droit (dans quelque chose) » (Ordonnances des rois de France, t. 3, p. 587, art. 39); début du xves. s'ingérer à + inf. (E. Deschamps, La Fiction du lyon, 1381 ds Œuvres compl., éd. G. Raynaud, t. 8, p. 289); 1530 s'ingérer en + subst. (Palsgr., p. 672b); 2. 1370-72 absol. (N. Oresme, Ethiques, IX, 15, éd. A. D. Menut, p. 493); 3. 1825 trans. « introduire (un aliment, etc.) par la bouche » (Brillat-Sav., Physiol. goût, p. 45). Empr. au lat.ingerere « porter dans, jeter sur », « verser », également « introduire (un liquide, un aliment) par la bouche » et « imposer quelque chose à l'attention de quelqu'un »; « s'imposer (aux regards de quelqu'un) ». Fréq. abs. littér. : 36. Bbg. Quem. DDL t. 8.