Sujet Qu'est ce qui vous navre automatiquement ?

Il se trouve qu'il a vécu 9 ans aux USA. Il s'y sentait bien intégré. Il a été obligé de venir habiter dans le nord de la France un jour. A l'époque où je l'ai connu il avait un appart dans la banlieue populaire de Lille.
Il ne supportait pas l'agressivité de ses "semblables", il disait que c'était comme des animaux sauvages. Il n'avait qu'une envie, retourner fissa aux USA.

youtou>t'as beau jeu de dire ça tiens, t'es le premier sur la brèche pour dénigrer de façon outrancière le premier mec venu qui ne rentre pas dans ton moule de pensée socialiste.

Citation de Seth :

Citation de usw :

Tes phrases ne sont pas bien propres non plus, ton raccourci Islam = danger fouette un peu notamment.

il a jamais dit ça.
mais c'est rigolo d'observer les réactions bien exagérées que suscitent ses posts.
karl> je comprends très bien ce que tu tentes de décrire pour l'avoir vécu de l'intérieur et avoir vu le changement s'effectuer dans les cités.
mais tu ne pourras jamais discuter calmement et posément de cela sur un forum.
et pour tous les autres, cela n'a rien à voir avec un quelconque racisme.

Je te soutien dans la démarche mais on ne peut pas arrêter un jugement juste sur sa perception personnelle. Il faut carrément la transcender cette perception.


Mouais, bof, ça veut rien dire mon post. Laissez tomber.

Mais on ne VOIT que ceux qui foutent le bordel ... Est-ce que ceux là sont "mal élevés" ?...pour certains c'est vraisemblable, mais pour d'autres, on constate cette chose curieuse : des gars qui se comportent en kaîras "dehors" et qui deviennent des agneaux devant le père et la mère...

Seulement voilà... ce père qu'ils respectent, n'est pas respecté par les gens "dehors"...

Effectivement, quand je vois le comportement des gens aux Maghreb, c'est évident qu'ils ont une éducation qui favorise la délinquance.
C'est encore pire en Afrique noire : c'est bien connu qu'il n'y a aucun respect pour les aînés, pour quelque autorité que ce soit. D'ailleurs, ce sont tous des voleurs de chèvres. C'est probablement l'absence de chèvres à voler dans les zones zurbaines française qui transforme tous ces immigrés en personnes violentes.
Pour arrêter cette violence, il suffirait d'introduire des chèvres sur tous les espaces verts.

En 1973, peu de temps avant sa mort, le président Pompidou reconnaissait avoir ouvert les vannes de l’immigration à la demande d’un certain nombre de grands patrons, tel Francis Bouygues, désireux de bénéficier d’une main-d’œuvre docile, bon marché, dépourvue de conscience de classe et de toute tradition de luttes sociales, afin d’exercer une pression à la baisse sur les salaires des travailleurs français, de réduire leurs ardeurs revendicatrices, et subsidiairement de briser l’unité du mouvement ouvrier. Ces grands patrons, soulignait-il, en « veulent toujours plus ».