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opinion Qu'est ce qui vous navre automatiquement ?

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Sujet de la discussion Qu'est ce qui vous navre automatiquement ?

Bon, celui-là il me manquait comme thread.

J'ai mis longtemps à le conceptualiser, mais là, je crois que c'est bon.

C'est parti...

Putain, 22 ans que je traine sur AF : tout ce temps où j'aurais pu faire de la musique !  :-( :-)

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17101
Citation :
grand artiste

Grand est à l'image ce dont tu a choisi qu'il le sois.

Citation :
changé profondément la face de leur discipline

Comment tu change la face de sa discipline en tant que chanteur ?

Chanter d'autres textes ? Une voix plus grave ou plus aigue ? de nombreuses descentes et remonté ayant une articulation chantée pouvant se comparer avec un style d'opéra. Et pourquoi pas un mélange de Slam, tout en ayant une poésie d'influence visible qu'il se serait ré-inventé.

S'il était comme ça les "haters" n'y verrais aucune différence, et trouveront d'autres raisons pour le détester
17102

mrgreen

Après un échange d'idées, chacun peut repartir avec la sienne.

 

 

17103
Citation :
une scolarisation plus complète, pour commencer

Il a eu son bac mais faut voir dans quelle condition car avec tout ce vacarme je vois pas comment il a pu faire. On es loin d'imaginer tout ce qu'il a pu apprendre de la vie, ses 5 dernières années. Je te parle pas d'apprendre à résoudre un problème de math, ou bien de connaitre les noms de tous les pays en Europe. Il a eu des émotions et un parcour, qu'aucun prof ne serait capable de faire vivre à un élève, dans une salle de classe. Y'a des choses impossibles à remettre à plus tard et à vivre dans l'instant. Il a le temps de reprendre ses études, alors tu me dira, il a qu'une jeunesse, oui, différente de la notre aussi, moins bonne, je pense pas.
17104
Non mais Kapam !
tu déconne ou t'es vraiment naïf :oops2:

Bieber est un fils de... un produit de la communauté blanche catholique riche et corporatiste pour gagner de l'argent dans le showbizz et accessoirement véhiculer des idées.

Des gamins qui chantent aussi bien que lui y'en a des tonnes, j'en vois. Mais pour l'égalité des chances de sortir du lot, ben tu repasseras c'est plus la même chose.

Alors son "talent", sa vie, son oeuvre... on s'en branle mais d'une FORCE !!!

Excuse moi hein.

Un esprit sein dans un... cornichon ?

Le tout venant a été piraté par les mômes, on se risque sur le bizarre : https://soundcloud.com/gojats  

17105

Do not take life too seriously. You will never get out of it alive.

17106
bon ben finalement... :-D

Un esprit sein dans un... cornichon ?

Le tout venant a été piraté par les mômes, on se risque sur le bizarre : https://soundcloud.com/gojats  

17107
Citation :
Le résumé qu'en donne l'article me rappelle étrangement ce qui ressort de "les petits soldats du journalisme" de François Ruffin dont on parlait récemment. Il en ressort qu'on ne leur apprend pas à enquêter, à chercher la vérité (ou au moins une vérité), faire la part des choses, recouper l'information, construire des réseaux d'informateurs, faire du fact-checking, mais à pisser de la copie à partir de rien et à être aux ordres, dociles, le petit doigt sur la couture du pantalon en attente d'exécuter au plus vite et à moindre coût les désirs de leurs patrons de presse.


A une époque j'étais friand de ce genre d'ouvrage, mais aujourd'hui je me demande à quoi ils peuvent bien servir sinon engraisser l'éditeur et promouvoir l'auteur qui a probablement fait un travail sérieux.
Car au final on en fera quoi de ce livre?
Juste une occasion supplémentaire de s'indigner.
J'aimerais que ce genre de livre ouvre la voie à de vraies remises en question
et de vrais changements afin que les gouvernants actuels enclenchent la révolution de leurs successeurs afin de redonner à la politique ses lettres de noblesse.

[ Dernière édition du message le 29/10/2012 à 08:10:05 ]

17108
Citation :
J'aimerais que ce genre de livre ouvre la voie à de vraies remises en question
et de vrais changements afin que les gouvernants actuels enclenchent la révolution de leurs successeurs afin de redonner à la politique ses lettres de noblesse.

Je n'ai pas lu ce livre, je partirais donc du principe que c'est nul.:-D

En fait je pense que la presse traditionnelle (hors régionale) doit mourir : qu'apporte-t-elle aujourd'hui ? On des moyens tellement meilleurs de s'informer avec les NTIC : certains blogueurs font un bien meilleur travail d'investigation que les mecs du Monde, sans études ni carte de presse. Et souvent gratuitement.
Je me répète mais couper les subventions et autres avantages aux journalistes, pour les concentrer peut-être dans d'autres secteurs (l'Art ?) de la presse serait pour moi un bon pas en avant pour stopper cette veulerie organisée ( :théorie du complot: )

Là où je voulais en venir, c'est : ce livre, justement, propose-t-il quelques pistes de réflexion ? A part dire "il faut de vraies écoles de journalisme" car je pense que ça ne veut rien dire, et d'ailleurs je ne pense pas que le problème soit là non plus. Je ne crois pas qu'un simple bouquin puisse arriver à changer ça.
En plus, il y a un problème avec les critiques du journalisme, c'est que tu peux prendre deux types qui te décriront la même chose dessus : pensée unique, bienpensance, à la solde du pouvoir etc mais te donneront des causes ou conséquences totalement différentes : Israëlo-USA, les grands groupes qui financent, l'Etat qui subventionne, les écoles.

De toute manière, politique et noblesse, c'est pas un peu antinomique ?

- Vous êtes contre tout ce qui a été fait depuis la dernière guerre...
- Vous vous trompez de date. Je suis contre tout ce qui a été fait depuis Adam

17109
Le blème du journalisme c'est que c'est un peu comme prof : pas sûr qu'être bon à ça s'apprenne dans une école, on peut juste te donner quelques outils mais faut avoir ça dans ses tripes.

Après c'est le ressenti que j'en ai, pas dit que ça soit justifié.

L'appétit vient en mangeant ; la réforme, c'est pas sorcier ; le campement léger en plein air, non. Cupidon

17110
Citation de kumo :
A une époque j'étais friand de ce genre d'ouvrage, mais aujourd'hui je me demande à quoi ils peuvent bien servir sinon engraisser l'éditeur et promouvoir l'auteur qui a probablement fait un travail sérieux.
Car au final on en fera quoi de ce livre?
Juste une occasion supplémentaire de s'indigner.
J'aimerais que ce genre de livre ouvre la voie à de vraies remises en question
et de vrais changements afin que les gouvernants actuels enclenchent la révolution de leurs successeurs afin de redonner à la politique ses lettres de noblesse.

Tu peux dire la même chose pour tout élément contestataire, d'un blog politique à une manifestation.
Je pense que ce sont juste des petites pierres qui, peut-être, contribueront chacune à changer les mentalités ou les façons de voir de quelques personnes, lesquelles en feront changer d'autres, jusqu'à ce que..

Mais surtout, ça sert à comprendre. Il n'y a pas besoin de ce genre de bouquin pour savoir qu'on a une presse de merde en France. Lire ce genre de bouquin (à coupler avec "les nouveaux chiens de garde" de Serge Halimi et "Les intellectuels faussaires : Le triomphe médiatique des experts en mensonge" de Pascal Boniface) te permet de comprendre pourquoi, de saisir les causes.

Tu es certainement beaucoup plus efficace pour lutter contre un système (fut-ce dans une simple conversation au café du coin) quand tu comprends comment il fonctionne et pourquoi il fonctionne comme ça que quand tu te contentes de faire un constat que la plupart des gens partagent et qui ne va effectivement pas au delà de l'indignation.
Le constat n'apporte aucune perspective de solution. Le comment et le pourquoi ouvrent des portes.

Accessoirement, ces bouquins permettent de comprendre l'apparente contradiction entre les stats (d'ailleurs largement remises en cause) disant que les journalistes seraient majoritairement de gauche et une presse essentiellement de droite.

Ce n'est pas valable que pour la presse. Dans le dernier Fakir, il y a une enquête très intéressante sur les producteurs de volailles (en rapport avec l'affaire Doux). Elle montre que, contrairement aux déclarations d'un Canard enchaîné parlant de producteurs "dindons de la farce" et se paupérisant, les producteurs ont très largement bénéficié du système productiviste actuel de volaille et en sont même en grande partie les initiateurs.

Accessoirement, l'enquête m'a permis de comprendre pourquoi la France produit aussi peu de volailles bio ou labellisée et que, d'une façon générale, on importe du bio dans un pays à l'agriculture si développée. Pourquoi on doit importer du bio alors que des agriculteurs souffrent de crises de surproduction, que de jeunes agriculteurs ont des difficultés d'accès aux terres et qu'on a des millions d'hectares en jachère ? Cette enquête donne sinon des réponses, au moins des pistes sacrément intéressantes.

Sauf que là, on a eu affaire à du vrai journalisme. Les gus de Fakir sont bien allés sur le terrain, rencontrer des producteurs de volaille, les ont longuement interrogé sur l'évolution de leur métier, leurs opinions, leurs perspectives d'avenir au lieu de torcher un vague micro-trottoir pour leur demander ce qu'ils pensaient de la crise Doux.
17111
+1
On a tous de bons sentiments, pas toujours tres documentés. Pour convaincre mieux vaut avoir de bonnes références et une maitrise de son sujet.
17112
Autre exemple qui parlera certainement à pas mal de monde ici. La lecture du livre "L'audionumérique" de Curtis Roads ne m'a pas appris grand chose en mixage. Normal : ce n'est absolument pas son propos.

Par contre, il y avait plein de trucs que je faisais "comme ça" parce qu'on m'avait appris que c'est comme ça qu'il fallait faire. Avec ce livre, j'ai compris pourquoi il fallait faire comme ça. Ça n'a pas bouleversé ma façon de travailler, mais ça m'a ouvert des horizons. Ça m'a aussi donné des pistes d'expérimentation et m'a permis d'éviter d'en mener certaines qui auraient vouées à l'échec, sans que je sache forcément pourquoi avant de les mener.

Et ça m'a permis accessoirement d'avoir des arguments techniques en cas de discussion épineuse dans les forums. :-D

J'ai un autre exemple avec un autre bouquin de Ruffin nommé "la guerre des classes". Sur le constat lui-même, le bouquin n'a pas changé ma façon de voir les choses. Par contre, il m'a fourni plein de données qui permettent de confirmer ce qui n'était que des sentiments ou impressions. Il m'a fait comprendre pas mal de mécanismes et m'a donné à la fois des arguments de discussion et des pistes de moyens d'actions.

Je pense qu'un des gros problème aujourd'hui, pour la plupart des personnes ayant un minimum de conscience politique, sociale ou écologique sans être pour autant directement membre d'un mouvement ou d'une structure de lutte, c'est qu'on n'a que des constats. Ceux-ci nous donnent de quoi nous indigner, mais sans information solide sur les mécanismes, on se sent impuissant et les idées pour changer les choses se limitent à des généralités et des grand "yaka" inapplicables tels quels. Ces bouquins ne servent pas forcément à faire bouger ses opinions (d'autres peuvent avoir ce rôle ô combien précieux), mais donnent des ouvertures sur les moyens de faire bouger les choses.
17113


Citation :
Tu peux dire la même chose pour tout élément contestataire, d'un blog politique à une manifestation.


Anéffet, ce qui explique mon appartenance à rien du tout :-D



Comprendre OK, ouverture sur les moyens de faire bouger les choses OK, mais en réalité malgré la compréhension et l'ouverture, certaines choses ne changent pas et ne semblent pas prêtes de changer.


Citation :
Ceux-ci nous donnent de quoi nous indigner, mais sans information solide sur les mécanismes, on se sent impuissant et les idées pour changer les choses


On lis ce livre on comprends mais après? On fais quoi?
Avec qui? On s'y prends comment?
Quel accès au mécanisme?
Voie légale?
Serons-nous pris au sérieux?
A quel prix?
Rien qu'au niveau d'un quartier c'est quelques fois la croix et la bannière pour changer quelque chose avec l'aide des politiciens locaux.

Ce livre me pose le même problème que l'information que l'on nous communique quelques fois. Etre informé, écouter des débats pour comprendre c'est génial, ce qui m'importe c'est l'usage ou la prise en main de l'information pour la transformer en action concrète et produire un changement.
17114
Citation de kumo :
Anéffet, ce qui explique mon appartenance à rien du tout :-D

Clair.

C'est l'attitude bien confortable de ceux qui s'indignent, mais ne font rien parce que "ça ne sert à rien". :bravo:

Citation :
Comprendre OK, ouverture sur les moyens de faire bouger les choses OK, mais en réalité malgré la compréhension et l'ouverture, certaines choses ne changent pas et ne semblent pas prêtes de changer.

CQFD. Le sentiment d'impuissance est la meilleure arme du conservatisme.

Citation :
On lis ce livre on comprends mais après? On fais quoi?
Avec qui? On s'y prends comment?
Quel accès au mécanisme?
Voie légale?
Serons-nous pris au sérieux?
A quel prix?

Qu'est-ce que tu veux ?
Que je te mâche un mécanisme de lutte tout fait sur un plateau ? Qu'en un post de forum, je te résume tout un ensemble d'actions à mettre en oeuvre à l'échelle de la société ? :-D
Allez, ok, je te livre 2-3 pistes :
- boycotter les mass média
- lire les médias alternatifs et les bouquins d'nequête qui font du vrai boulot d'information. Au moins les acheter si on n'a pas le temps de les lire, pour leur permettre de continuer leur boulot et les encourager à le faire.

Pour le reste, ça se traite pas ici.
17115
Picto, je crois que tu postes depuis la session de Will.












:-D
17116
images

L'appétit vient en mangeant ; la réforme, c'est pas sorcier ; le campement léger en plein air, non. Cupidon

17117
Citation :
C'est l'attitude bien confortable de ceux qui s'indignent, mais ne font rien parce que "ça ne sert à rien".


J'ai été impliqué de loin dans une campagne politique à l'échelle locale il y a près de 10 ans.
Ça m'a "guéri".


Citation :
Que je te mâche un mécanisme de lutte tout fait sur un plateau ? Qu'en un post de forum, je te résume tout un ensemble d'actions à mettre en oeuvre à l'échelle de la société ? :-D


Et vite :oops2:

Pour finir sur ce petit débat, tu prêches un convaincu pour le fond, c'est juste les formes de contestation qui ne me semblent pas adaptables

[ Dernière édition du message le 29/10/2012 à 14:32:05 ]

17118
Bon, le dernier pour la route avant que les autres ne s'agacent automatiquement.

Citation :
Pour finir sur ce petit débat, tu prêches un convaincu pour le fond

Je n'en doute pas.

Citation :
c'est juste les formes de contestation qui ne me semblent pas adaptables

Je pense justement que les formes "classiques" de contestation ne sont pas ou plus efficaces. Encore que ça ne soit pas toujours vrai : j'ai vu récemment des choses se faire grâce à des formes de contestations et de mobilisation traditionnelles. Et pas des moindres : suppression d'un projet de rocade écologiquement ravageuse, non fermeture d'un hôpital, délocalisation d'une grosse entreprise... La lutte n'est pas toujours vaine.

Mais je crois surtout que les mouvement contestataires manquent beaucoup de penseurs. Où sont les intellectuels aujourd'hui ?
Enfin, je le croyais parce qu'en faisant un peu l'effort de m'informer plus avant (puisque les penseurs et intellectuels ne sont plus dans les mass media, à raison) qu'il y a bien des gens qui réfléchissent et qui pensent des solutions alternatives.
Simplement, il faut aller les chercher. D'autant plus que les mouvements alternatifs ont parfois tendance à manquer d'ouverture. Je veux dire que ce sont comme les gens branchés musique alternative : on a l'impression qu'ils aiment bien rester entre eux, de fois d'avoir l'impression de faire partie du troupeau si leurs goûts ou leurs idées étaient partagées par le plus grand nombre.
Des fois, c'est aussi juste un manque de savoir faire ou de moyens en matière de communication.

Ce qui est clair, c'est que ce n'est pas en attendant que des solutions intéressantes viennent à nous qu'on fera changer quoi que ce soit. Si on veut vraiment faire bouger des choses, il n'y a pas d'autre choix que de s'investir un minimum :
- s'informer en détail sur les mécanismes et leurs tenants et aboutissants en jeu
- réfléchir sur ces bases pour être en mesure de proposer des solution alternatives à même d'emporter l'adhésion de l'essentiel des personnes concernées
- rencontrer les acteurs, écouter ceux qui sont dans le système et le soutiennent et comprendre pourquoi
- enfin seulement, proposer d'autres solutions et mettre en place des stratégies d'action.

Ainsi, aller dire à un producteur de volaille qu'il doit abandonner ses poulaillers concentrationnaires pour faire de la poule en plein air parce que c'est mieux, c'est juste voué à l'échec.

Mais en Bretagne où l'on a de gros problèmes de pollution d'eau (notamment à cause des dits poulaillers, mais pas seulement), des associations arrivent bien, petit à petit, à convaincre des agriculteurs de reconstituer les talus et de mettre en oeuvre des modifications simples dans leurs cultures pour préserver l'eau et éviter que les lisers ne filent direct dans les rivières. Ça marche parce qu'il ont décortiqué le problème, les méthodes de travail des agriculteurs, leurs conséquences sur leur production et ont pu proposer des solutions qui sont dans l'intérêt même des dits agriculteurs.
17119
x
Hors sujet :
Citation :
c'est juste voué à l'échec.

lu:
Citation :
c'est juste loué à l'échec.

:-D

L'appétit vient en mangeant ; la réforme, c'est pas sorcier ; le campement léger en plein air, non. Cupidon

17120
je pense que le fond du problème va de paire avec les centres d'intérets des gens, le point culminant de ce centre est l'attachement. Une presse choisissant un marché de niche devra se plier au même exigence que ses confrères, quelques sois son contenu. Il est facile de visualiser le chemin que prend l'homme pour s'attacher, une prise d'habitude, devenir accroc à ce contenu.

La difficulté est de mise lorsqu'on dois habituer un panel de gens à un nouveau contenu ayant une autre mise en page, les diriger vers des blogoshères à contenu dédié, lorsque on sait que beaucoup, ont leur page d'accueil sur MSN ou google actu.

Pour ne pas le faire fuir et le voir partir sous un autre lien, il doit y voir une communauté qui lui ressemble (accroc au même contenu) et sous l'emprise des commentaires d'articles, forums et gadgets pour son passe temps favoris.

Avoir son journal dans un kiosque est un luxe, il est comparé à nous d'avoir nos albums dans les bacs, les circuits de distribution ne facilite pas la tache, lorsque le petit journal, n'est plus rentable il perd ses lecteurs en les voyant remonter chez un confrère plus généraliste que lui ne l'était.

[ Dernière édition du message le 29/10/2012 à 16:44:57 ]

17121
J'avais perdu le fil de ce que je voulais dire, les centres d'interets.

Noyez sous l'info, on a du mal a trouver de nouveaux centre, tant qu'on y retrouve l'essentiel chez un, on a pas forcement de raisons d'y voir ailleurs. S'intéresser est ce problème que nous subissons tous, sois par manque de compréhension ou bien par manque d'envie simplement parceque ça nous semble barbant.

[ Dernière édition du message le 29/10/2012 à 16:56:44 ]

17122

17123
Citation :
J'avais perdu le fil de ce que je voulais dire
Kapam, si même toi tu n'arrives plus à te comprendre, c'est qu'il est temps d'arrêter.
17124
oublier le fil (ou perdre, durant quelques instants le fil) ne signifie pas, ne plus se comprendre. Je vois une hypothèse pour celui qui ne se comprend plus, celle d'avoir des idées sans pouvoir intervenir sur elles. Ca expliquerait, ceux qui font des chose inconsciemment, regrettés ensuite, après s'etre rendus compte du mal qu'ils ont fait.

Mais cela est dû aussi à leur négativité global ayant un dessus sur leur positivisme car si c'était le contraire, j'aurais fort a parier que la conséquence aurait été des actes de bravour.

Éventuellement une seconde hypothèse sans que des actes survienne, il ne se comprend plus car certaines de ses idées n'ont plus de rapport avec sa symbiose. On pourrait dire aussi qu'il ne peut pas intervenir dessus mais chose est sûre, il en est bien conscient. A vrai dire je vois pas comment une chose pareil pourrait arriver :D:

[ Dernière édition du message le 30/10/2012 à 10:04:29 ]

17125

+1 c'est vrai il arrive aussi parfois que la pensée devance l'analyse alors l'esprit se perd dans les méandres du non-dit comme une espèce de négiationisme du surmoi. Par contre l'affect lui reste présent pour lui même, qui ne s'est jamais retrouvé face à son frigo sans savoir ce qu'il y cherchait ses clés peut-être.

La musique adoucit les meurtres...