Vos rèves chelous

Bon, rêve assez étrange cette nuit :

je suis avec mes parents et frère-soeurs dans la montagne. on va rendre visite à un pote à ma mère, qui vit au fin fond de la montagne. petite route qui tourne, puis chemin, puis on roule sur un talus en bord de falaise (genre, on pourrait pas rouler dans le pré 4m plus haut ? ça serait plat, et loin du vide).

On arrive chez le type, il y a un animal (chat genre Grumphy cat ? chien ? loup ?) qui tire la tronche. on mange avec le gars, et il nous dit qu'il prépare la venue d'un ministre-diplomate qatari (ou français ? ou gabonais ?).

Ensuite, changement de décor. c'est le désert du Qatar. tout plat, soleil. un groupe de gros 4*4 américains aux vitres teintés roule. c'est Barack Obama et ses gardes du corps qui ont rendez vous avec des responsables Qataris. Ils arrivent un vu de maison, mais rien, personne. donc ils vont pour rentrer dans les maisons, et là, paf, pleins de types en costume d'agent secret sortent et les arrêtent (d'ailleurs, c'est censé être les services secret Qatar, mais ils font vachement américain, et peu Qataris).

Barack se fait arrêter, ses gardes du corps aussi. mais dans les voitures il y avait aussi Nicols Cage. pour pas se faire arrêter, il se fait passer pour un mime : il mime un mur invisible, puis du air ukulélé. l'agent est subjugué, et ne l’arrête pas. Nicolas part en courant (dans un désert plat, sans cachette, alors que les autres ont des voitures).

Barack est menotté, et attaché en plein soleil à un poteau. il tente de se mettre à l'ombre du poteau, problème, le poteau est trop fin, et il n'a jamais les 2 yeux en même temps à l'ombre (et donc il va prendre cher sa mère dans ce désert).

Et là, alors que Nicolas Cage aurait du venir le sauver, mon réveil sonne. j'ai pas la fin.

Je découvre ce topic

Je suis un nuage. Et j'observe un de mes collègues de travail qui pêche, depuis le sommet d'un gratte ciel défraîchi. Les pieds de ce gratte-ciel est noyé dans l'eau. Toute la région est inondée.

Il pêche des poissons explosifs, sur lesquels se jettent des singes qui tentent de les déminer. Souvent, les singes échouent, et les poissons explosent avant d'atteindre l'épuisette du pêcheur. Balayant par la même occasion tous les singes, et déchiquetant leurs corps. Mais ils sont tout de suite remplacé par de nouveaux singes, qui attendent le nouveau poisson.

Quand mon collègue parvient à pêcher un poisson, il le mange. Et, presque immédiatement, il chie une masse brune, qui tombe dans l'eau en contrebas et qui fait pousser un nouveau gratte-ciel. Quand le gratte-ciel a intégralement poussé, un nouveau pêcheur se tient là-haut, et commence la pêche à son tour.

Peu à peu, le nombre de gratte-ciel ne cesse d'augmenter, inexorablement, et quand il y a trop de grattes-ciels et d'explosions, je me réveille.

Un autre rêve.

Toute l'humanité travaille dans une grande usine. D'immenses machines avec de grands rouages font des pièces, dont personne ne sait à quoi elles servent. Tous les humains qui travaillent dans cette usine y travaillent toujours. Ils ne sortent pas et ne dorment pas. Les femmes enfantent à même le sol.

Quand elles ont enfanté, un contremaître s'approche d'elles. Ils prennent les enfants et les jettent entre les rouages des grandes machines pour lubrifier ces dernières. Personne ne dit rien. Tout le monde continue le travail. Les cadavres des enfants broyés sont partout. Ils graissent la machine. Et la machine continue de produire.

Non, tout va bien. Je fais souvent des rêves étranges. En tous cas si je les compare à ceux de mes amis.

Citation de : Pucelle_Dabidjan

Un autre rêve.

 

Toute l'humanité travaille dans une grande usine. D'immenses machines avec de grands rouages font des pièces, dont personne ne sait à quoi elles servent. Tous les humains qui travaillent dans cette usine y travaillent toujours. Ils ne sortent pas et ne dorment pas. Les femmes enfantent à même le sol.

Quand elles ont enfanté, un contremaître s'approche d'elles. Ils prennent les enfants et les jettent entre les rouages des grandes machines pour lubrifier ces dernières. Personne ne dit rien. Tout le monde continue le travail. Les cadavres des enfants broyés sont partout. Ils graissent la machine. Et la machine continue de produire.

Ce serait le pitch d'un film j'irai le voir de ce pas!