Vos RIP les plus HS

Cependant, comme l’a récemment montré une série d’enquêtes, solidement étayées, de la chaîne YouTube 4e Œil Corporation, un collectif de huit amateurs de faits divers ayant travaillé avec rigueur sur les incohérences de son parcours, qu’a relayées le site Arrêt sur images, aucune trace de Stéphane Bourgoin au club du Red Star, aucune trace non plus d’une quelconque interview avant 1991 (Ed Kemper), dans le cadre d’un documentaire pour France 3. Ni témoignage, ni vidéo, ni la moindre photo. Quant au premier livre de Stéphane Bourgoin, paru en 1992, il portait sur Jack l’éventreur. Nombreux sont ses ouvrages constitués majoritairement de rapports et de propos rapportés. Soit une somme de documentation mal digérée, incluant des passages, sans guillemets, qui reprennent quasiment mot pour mot des extraits de titres anglophones.

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Même démenti reçu de la profileuse sud-africaine Micki Pistorius, à laquelle Stéphane Bourgoin a consacré un documentaire, diffusé sur France 2, ainsi que deux ouvrages : Micki Pistorius. Une femme sur la trace des serial killers (Editions n°1, 2000) et Profileuse. Sur la trace des serial killers (Grasset, 2007), en s’inspirant largement de son autobiographie, Catch Me a Killer (2003, non traduit en français). Contactée par Le Monde, elle déplore les emprunts écrits et les déformations de Stéphane Bourgoin dans les interviews qu’il accorde aux médias français.
Maître Oeloff de Meyer, avocat de la profileuse sud-africaine Micki Pistorius, démonte point par point des allégations proférées par Stéphane Bourgoin dans plusieurs émissions de radio ou de télévision
Dans une longue lettre qu’elle nous a transmise, son avocat, maître Oeloff de Meyer, démonte point par point des allégations proférées dans plusieurs émissions de radio ou de télévision.

Non ?

Ah bon...