** THE MAMAS & THE PAPAS ** (Le coin des Papas et des Mamans Afiens)
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VFred
19498
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 21 ans
Sujet de la discussion Posté le 15/11/2003 à 02:25:56** THE MAMAS & THE PAPAS ** (Le coin des Papas et des Mamans Afiens)
=============== Cet espace est dédié à nos enfants ===============
Couches, biberons, éducation et caca-boudin… Ici on échange propos, photos et vignettes Panini.
Elle vient de prononcer son premier mot… criez-le tout haut !
Il vient de faire son premier pas… Montrez-le juste en bas !
sqoqo
7050
Je poste, donc je suis
Membre depuis 17 ans
17661 Posté le 11/09/2019 à 20:36:29
Ils t'ont appris à les faire ??!!
:courbureespacetemps:
:Terminator:
:courbureespacetemps:
:Terminator:
Rifki
16830
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 18 ans
17662 Posté le 11/09/2019 à 21:12:08
Citation de KoalaMan :
Pareil avec mes propres parents.
Du coup, j’essaie de ne pas mettre de tabou dessus avec mes filles. Elles sont encore petites, mais ça viendra forcément.
Mes frères ont justement essayé d'en parler avec moi à plusieurs reprises. Peut être qu'ils voulaient bien faire mais je trouvait ça déplacé et cela me mettait mal à l'aise. Du coup, je m'étais juré que quand je serai père, je foutrais la paix à mes enfants à propos de sexualité.
Et puis est-ce que cela est vraiment important ?
Dans le doute, le mieux ça serait quand même une ligne inox.
zorglub28
6878
Je poste, donc je suis
Membre depuis 21 ans
17663 Posté le 11/09/2019 à 21:25:36
Suivant comment c'est demandé je pense que c'est important d'en parler. Mes filles ont 6 et 3 ans et pour l'instant y'a pas eu de question mais si yen a je me ferai un devoir d'y répondre le mieux possible.
Comme je disais sur ce topic y'a quelques pages j'ai plus de mal à parler de la mort plutôt que du sesque ... bon la avec la mort de 2 chats à quelques mois d'intervalles les filles ont bien compris .
Comme je disais sur ce topic y'a quelques pages j'ai plus de mal à parler de la mort plutôt que du sesque ... bon la avec la mort de 2 chats à quelques mois d'intervalles les filles ont bien compris .
Guitariste en chambre avec du matos de stade.
Si vous voulez rigoler un peu, allez écouter mes essais guitaristiques: https://soundcloud.com/zorglub28
Ou mes reprises de guitares : Chaine de Zorglub28
W-Addict
43932
Ma vie est un thread...
Membre depuis 19 ans
17664 Posté le 11/09/2019 à 23:00:14
Citation de sqoqo :
Ils t'ont appris à les faire ??!!
:courbureespacetemps:
:Terminator:
J’aurais plutôt mis :chti:
Will Zégal
75560
Will Zégal
Membre depuis 22 ans
17665 Posté le 12/09/2019 à 00:00:52
En ce qui me concerne, en tant que gamin, ma mère a mis à notre disposition une collection de livres forts bien faits et adaptés à chaque tranche d'âge.
Tout y était clairement et délicatement expliqué. Je me souviens d'avoir dévoré ça comme je dévorais les Science et Avenir et l'Argonaute.
On avait accès à la collection complète, tout en sachant quel bouquin était adapté à notre âge. Il n'y avait aucun tabou pour prendre un ouvrage de l'âge supérieur, mais il me semble qu'on ne le faisait pas tant qu'on y voyait pas d'intérêt.
A la pré-adolescence, on avait déjà largement appris les systèmes de reproduction, ce qu'est faire l'amour, ce qu'est l'amour, les règles, etc, mais aussi les plaisir sexuels que peuvent ressentir les enfants, la masturbation, etc.
On en arrivait aux relations amoureuses et sexuelles adolescentes, les deux n'étant pas dissociées. Donc, il y avait déjà une approche du consentement, du choix, etc.
Je ne sais plus le nom de la collection, mais de ce dont je me souviens, elle serait totalement obsolète aujourd'hui au niveau du langage et de la mise en forme. Je ne doute cependant pas qu'il y en ait de très bonnes qui l'aient remplacée.
Ensuite, si on avait des questions complémentaires ou besoin de précisions, on demandait simplement à ma mère. C'était tellement naturel qu'il me semble me rappeler qu'on en parlait parfois à table.
J'ai trouvé la formule excellente : j'imagine que pour ma mère, libérée, mais issue d'une famille hyper catho-réac où ces sujets n'existaient tout simplement pas, il n'était pas si évident de faire notre éducation de A à Z. Par ailleurs, les bouquins permettaient à chacun de suivre à son rythme selon son âge, sa maturité et ses interrogations. Plus facile que de demander à maman. Les choses étant posées de façon très claires et assez exhaustives, il restait assez peu de questions à poser et c'était parfaitement naturel d'en parler.
En plus, ma mère savait à peu près où nous en étions de nos connaissances ce qui facilitait énormément les réponses, je pense. Parce qu'une chose qui rend difficile de parler de ça avec des enfants (pire, avec des ados) est de souvent ne pas savoir par quel bout prendre le truc faute de savoir ce qu'ils savent et ce qu'ils ignorent. Or, leurs connaissances sont souvent très avancées sur certains points et très arriérées sur d'autre, Sans compter les fantasmes et autres désinformations venues des copains... ou des films de boules.
Pour mes belles filles, la question ne s'est pas trop posée pour moi : je suis arrivé trop tard dans leur vie. La première était déjà quasi partie de la maison tandis que la seconde est entrée en crise d'adolescence au moment où j'en étais à lier avec elle suffisamment de confiance et d'affection pour pouvoir envisager de commencer à faire preuve d'un début de commencement d'autorité. Autant dire qu'on était loin des questions d'éducation sexuelles. C'est leur mère qui s'en est chargée.
Je n'ai pas trop les détails, mais je sais qu'une de ses actions a été de les amener chez une gynéco et de les laisser seules pendant la consultation. Un.e (bon.ne) professionnel.le avec qui le môme n'a pas l'enjeu de relation qu'il y avec un parent, c'est bien aussi. Dans ce domaine, les filles sont avantagées. Je pense que pour les garçons, on peut s'en remettre à son/sa généraliste pour peu qu'on le lui demande (pas sur qu'il y pense tout seul).
Tout y était clairement et délicatement expliqué. Je me souviens d'avoir dévoré ça comme je dévorais les Science et Avenir et l'Argonaute.
On avait accès à la collection complète, tout en sachant quel bouquin était adapté à notre âge. Il n'y avait aucun tabou pour prendre un ouvrage de l'âge supérieur, mais il me semble qu'on ne le faisait pas tant qu'on y voyait pas d'intérêt.
A la pré-adolescence, on avait déjà largement appris les systèmes de reproduction, ce qu'est faire l'amour, ce qu'est l'amour, les règles, etc, mais aussi les plaisir sexuels que peuvent ressentir les enfants, la masturbation, etc.
On en arrivait aux relations amoureuses et sexuelles adolescentes, les deux n'étant pas dissociées. Donc, il y avait déjà une approche du consentement, du choix, etc.
Je ne sais plus le nom de la collection, mais de ce dont je me souviens, elle serait totalement obsolète aujourd'hui au niveau du langage et de la mise en forme. Je ne doute cependant pas qu'il y en ait de très bonnes qui l'aient remplacée.
Ensuite, si on avait des questions complémentaires ou besoin de précisions, on demandait simplement à ma mère. C'était tellement naturel qu'il me semble me rappeler qu'on en parlait parfois à table.
J'ai trouvé la formule excellente : j'imagine que pour ma mère, libérée, mais issue d'une famille hyper catho-réac où ces sujets n'existaient tout simplement pas, il n'était pas si évident de faire notre éducation de A à Z. Par ailleurs, les bouquins permettaient à chacun de suivre à son rythme selon son âge, sa maturité et ses interrogations. Plus facile que de demander à maman. Les choses étant posées de façon très claires et assez exhaustives, il restait assez peu de questions à poser et c'était parfaitement naturel d'en parler.
En plus, ma mère savait à peu près où nous en étions de nos connaissances ce qui facilitait énormément les réponses, je pense. Parce qu'une chose qui rend difficile de parler de ça avec des enfants (pire, avec des ados) est de souvent ne pas savoir par quel bout prendre le truc faute de savoir ce qu'ils savent et ce qu'ils ignorent. Or, leurs connaissances sont souvent très avancées sur certains points et très arriérées sur d'autre, Sans compter les fantasmes et autres désinformations venues des copains... ou des films de boules.
Pour mes belles filles, la question ne s'est pas trop posée pour moi : je suis arrivé trop tard dans leur vie. La première était déjà quasi partie de la maison tandis que la seconde est entrée en crise d'adolescence au moment où j'en étais à lier avec elle suffisamment de confiance et d'affection pour pouvoir envisager de commencer à faire preuve d'un début de commencement d'autorité. Autant dire qu'on était loin des questions d'éducation sexuelles. C'est leur mère qui s'en est chargée.
Je n'ai pas trop les détails, mais je sais qu'une de ses actions a été de les amener chez une gynéco et de les laisser seules pendant la consultation. Un.e (bon.ne) professionnel.le avec qui le môme n'a pas l'enjeu de relation qu'il y avec un parent, c'est bien aussi. Dans ce domaine, les filles sont avantagées. Je pense que pour les garçons, on peut s'en remettre à son/sa généraliste pour peu qu'on le lui demande (pas sur qu'il y pense tout seul).
Rifki
16830
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 18 ans
17666 Posté le 12/09/2019 à 08:33:47
Maintenant je me souviens qu'avec nos enfants nous avons surtout parlé à propos de la contraception ou du sida.
Dans le doute, le mieux ça serait quand même une ligne inox.
rockaboule
731
Posteur·euse AFfolé·e
Membre depuis 9 ans
17667 Posté le 12/09/2019 à 08:44:51
Citation de Rifki :
Maintenant je me souviens qu'avec nos enfants nous avons surtout parlé à propos de la contraception ou du sida.
Pareil chez nous. capote capote !!
Après il y a ce que les parents disent mais il y a aussi tout l'entourage.
que le rock soit avec toi jeune skywalker
Rifki
16830
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 18 ans
17668 Posté le 25/09/2019 à 08:51:07
Hier soir, Rebellito m'a demandé de lui payer un atelier de chant animé par Laure de Prunenec qui est la chanteuse du groupe IGORR. J'ai dit OK à condition qu'il lui demande un autographe pour Traumax.
J'ai bien fait non ?
J'ai bien fait non ?
Dans le doute, le mieux ça serait quand même une ligne inox.
Djardin
19834
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 19 ans
17669 Posté le 25/09/2019 à 09:14:49
Référence en matière de bon gout capillaire et vestimentaire.
homme à tête de zizi.
Traumax
51839
Goncourt du Grouik
Membre depuis 19 ans
17670 Posté le 25/09/2019 à 12:51:15
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