réactions au dossier Des avantages et limites de faire son mastering soi-même
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Los Teignos

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Le GIEC chiffre à 3,3 milliards le nombre de victimes du réchauffement climatique. On en parle ?

Danbei


Anonyme

les dégâts du son compressé mis en évidence par une étude réalisée sur des cochons d'Inde
https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/le-billet-vert/audition-les-degats-du-son-compresse-mis-en-evidence-par-une-etude-realisee-sur-des-cochons-d-inde_4898493.html
[ Dernière édition du message le 13/01/2022 à 21:53:31 ]

Will Zégal

* je suis allé en boîte il y a quelques semaines. Le truc que je n'avais pas fait depuis des années. Mais il y a dans le coin une nouvelle boîte sympa avec du bon son électro. Eh ben j'ai été passablement surpris de la modestie des niveaux. On pouvait carrément se parler sur la piste, alors que mes derniers souvenirs de boîte, il fallait crier dans l'oreille de la personne si on voulait être compris.
Du coup, je découvre que je peux aller en boîte sans craindre pour mes oreilles. Cool. C'était quand même un peu trop léger. Je préfère les teufs.

Mais on s'est bien marrés. Un mec qui est venu me parler trouvait "trop cool" de me voir sur la piste parce que "on ne voit pas souvent de personnes âgées".
Il trouvait aussi mon look "trop cool et trop classe" et m'a demandé si c'était cher. J'ai répondu "c'est du Emmaus". Et puis je suis allé faire un peu de pole-dance pour les copines et copains.

Danbei


Anonyme

L'article est lol. Comme si l'auteur n'avait jamais entendu parler de la prévention des traumatismes auditifs, des limiteurs sonores*, des la fin de la loudness war et des nouvelles normes de diffusion (qui, il est vrai, n'empêchent absolument pas de compresser comme un bourrin, mais rendent ceci inutile
Pour toi, oui.
Mais il se peut vraisemblablement que l'auteur se retrouve dans la majorité de la population qui ne connait pas ces phénomènes.

Tyro


Snowfall

Je pense qu'il y a un mythe autour de la musique classique où beaucoup pensent que rien n'est jamais traité. Le son Decca ne serait pas ce qu'il est/a été sans mixage.
Edit : Après avoir retrouvé le titre du livre :
Written by engineers with years of experience working for Decca and Abbey Road Studios and as freelancers, Classical Recording equips the student, the interested amateur, and the practising professional with the required knowledge and confidence to tackle everything from solo piano to opera.
Classical Recording: A Practical Guide in the Decca Tradition
Ils abordent en détail la manière dont ils enregistrent chaque instrument ou famille d'instruments, le placement des micros mais aussi le mix et le mastering, notamment les réverbes, EQ et high-pass filters. C'est un livre très intéressant même pour ceux qui ne composent pas de musique classique.
[ Dernière édition du message le 29/01/2022 à 21:48:29 ]

Jan mk2

L'idée du mastering est de pouvoir faire entendre le maximum de la production sur n'importe quel système d'écoute. Le souci c'est qu'à partir d'un certain niveau de traitement, ceux qui bénéficient d'un système haut de gamme commencent à en pâtir. La courbe de réponse torturée et la dynamique tassée sont mal supportées sur de bons systèmes par des oreilles un peu averties.
Du coup, si on considère que la majorité des amateurs de musique classique apprécient le beau son, "proche du réel" (avec des guillemets très appuyés) et se donnent les moyens de l'écouter dans des conditions pas trop pourries, je pense personnellement que le travail effectué par les musiciens et le preneur de son, s'il est réussi doit se passer de mastering.
A titre personnel, j'ai déjà beaucoup de mal avec les prises de son "modernes" (j'aurais dit faciles) qui consistent à poser 40 micros sur un symphonique pour ne pas risquer de rater quoi que ce soit par rapport à ce qu'on faisait il y a quelques décennies avec une demi douzaine de micros qu'on prenait le temps de bien choisir et bien placer. Alors compenser une prise de son à moitié réussie avec de la compression et de l'eq... BEURKKKKKK!!!!!!!!!!!!
Alan Parson a peut-être dit : "Audiophiles don't use their equipment to listen to your music. Audiophiles use your music to listen to their equipment."

Snowfall


Jan mk2

alors que sur la première symphonie de Mahler ça peut être intéressant pour mieux entendre le La qui ouvre le premier mouvement, qui parfois n'est pas loin d'être inaudible. Un peu de compression peut être utile voire obligatoire.
Retour aux fondamentaux, quand Mahler a écrit la partition, il n'imaginait pas qu'elle serait enregistrée, mixée et masterisée. Je trouve que ces pratiques sont de réelles trahisons. Si ce la est inaudible, ce n'est pas une erreur ni un hasard, c'est la volonté du compositeur, et c'est au chef d'orchestre de la faire entendre au niveau correct. On entend de telles horreurs musicales avec ces excuses qui ne font que montrer que les gens qui se permettent de "corriger" ne font que trahir les intentions du compositeur. Le fait que ce soit fait avec de "bonnes intentions" ne change pas le fait que c'est une horreur.
Après il y a la compression intelligente qui va faire en sorte que la dynamique d'un orchestre symphonique reste écoutable dans une pièce de 20 ou 30 mètres carrés. Mais ça, ça se fait avec des faders, pas des compresseurs.
Alan Parson a peut-être dit : "Audiophiles don't use their equipment to listen to your music. Audiophiles use your music to listen to their equipment."
[ Dernière édition du message le 29/01/2022 à 22:07:37 ]

Tyro

alors que sur la première symphonie de Mahler ça peut être intéressant pour mieux entendre le La qui ouvre le premier mouvement, qui parfois n'est pas loin d'être inaudible. Un peu de compression peut être utile voire obligatoire.
Outre la question de la nécessité de compresser ou pas ce genre de musique, si le mastering dans le classique se résume à l'utilisation d'un compresseur, faut-il absolument passer par un pro ?
Pour moi, la plus grande difficulté dans le mastering est le travail sur le spectre sonore, et comme je ne sais pas le faire, je ferai toujours appel à un pro. Mais si ça se limite à compresser, surtout si l'utilisation est discutable ou que suivant sur qui on tombe, le pro détruira le mixage, ne vaut-il pas mieux s'en passer ou compresser très légèrement.

Jan mk2

https://dai.ly/x4csd84
Alan Parson a peut-être dit : "Audiophiles don't use their equipment to listen to your music. Audiophiles use your music to listen to their equipment."
[ Dernière édition du message le 30/01/2022 à 16:07:46 ]

Tyro

Ecoutez comme le son de l'orgue est détruit à partir de 9min28
Pour comparaison, le même morceau sur le même instrument en 1966 (le même passage à partir de 9min55)
[ Dernière édition du message le 31/01/2022 à 12:16:28 ]

Jean-Marc Boulier

Venant de toi, je ne doute pas qu'Isabelle Davy soit une bonne ingé mastering, mais quand j'écoute cette grosse production d'un des plus grands organistes du monde, je me demande si ça n'a pas été masterisé dans un studio de rap tellement ça sonne variété et tellement le son est compressé et tellement on a saboté le spectre de l'orgue:
Salut, j'ai un peu de mal à suivre. Peux-tu clarifier ?
Quel rapport entre Isabelle Davy (ou même le mastering en général) et cette vidéo ? Pas sûr qu'elle ait fait l'objet d'un mastering dédié d'ailleurs, c'est François Eckert qui a fait le son et je ne serais pas surpris qu'il ait tout fait du début à la fin sans faire appel à un ingé mastering (pure supposition de ma part, cela dit).
Par ailleurs qu'est-ce-que te fait dire que cela "sonne variété" et que le son est très compressé ou encore que le son est "détruit" ?
En termes de dynamique en tous cas j'entends moins de dynamique dans le second enregistrement. Ce n'est d'ailleurs pas forcément du à l'enregistrement mais au jeu de l'organiste lui-même : dans la première vidéo il retire des registres (des "manettes" ou je ne sais quoi, je manque de vocabulaire) au fur et à mesure qu'il répète le thème principal, du coup lorsqu'il envoie la partie "fortissimo" cela fait un gros contraste et un grand écart dynamique qui n'existe pas dans le deuxième enregistrement puisqu'au contraire le musicien répète le thème avec le même réglage (donc ne ménage pas spécialement l'effet de "surprise" si j'ose dire). Mais encore une fois cela n'a rien à voir avec les enregistrements. D'un point de vue purement technique en tous cas, il y a plus de dynamique dans le premier que dans le second.
Jean-Marc

Tyro

Salut, j'ai un peu de mal à suivre. Peux-tu clarifier ?
Quel rapport entre Isabelle Davy (ou même le mastering en général) et cette vidéo ? Pas sûr qu'elle ait fait l'objet d'un mastering dédié d'ailleurs, c'est François Eckert qui a fait le son et je ne serais pas surpris qu'il ait tout fait du début à la fin sans faire appel à un ingé mastering (pure supposition de ma part, cela dit).
Il n'y a aucun rapport, je me suis mal exprimé, j'ai d'ailleurs édité mon post pour ne pas qu'il y ait d’ambiguïté.
Je voulais juste montrer que des gros albums qui sont passés dans les mains de pros ne sont pas forcément de bonne qualité. Et j'en montre un qui est horriblement masterisé.
Par ailleurs qu'est-ce-que te fait dire que cela "sonne variété" et que le son est très compressé ou encore que le son est "détruit" ?
On perd ici la structure spectrale naturelle du son de l'orgue de Notre Dame. J'ai l'impression que l'ingé son a voulu égaliser la courbe de l'orgue en enlevant des basses et en rajoutant des aigus. Où sont donc passés les 32 pieds des pédales (16,35Hz pour le 1er Do) ?
En termes de dynamique en tous cas j'entends moins de dynamique dans le second enregistrement. Ce n'est d'ailleurs pas forcément du à l'enregistrement mais au jeu de l'organiste lui-même : dans la première vidéo il retire des registres (des "manettes" ou je ne sais quoi, je manque de vocabulaire) au fur et à mesure qu'il répète le thème principal, du coup lorsqu'il envoie la partie "fortissimo" cela fait un gros contraste et un grand écart dynamique qui n'existe pas dans le deuxième enregistrement puisqu'au contraire le musicien répète le thème avec le même réglage (donc ne ménage pas spécialement l'effet de "surprise" si j'ose dire). Mais encore une fois cela n'a rien à voir avec les enregistrements. D'un point de vue purement technique en tous cas, il y a plus de dynamique dans le premier que dans le second.
C'est bien pour cela que j'ai dit d'écouter le passage final dans lequel les deux organistes jouent les mêmes jeux. Le 1er sonne plus "synthé" que orgue, et en plus ça sonne "en pleine face" (mais cela est dû à la prise de son).
Bref, cet enregistrement est une honte.
[ Dernière édition du message le 31/01/2022 à 13:59:25 ]

Anonyme

Bref, cet enregistrement est une honte.
Ouais, mais, le titre c’est BACH TO THE FUTURE.
Et pas Bach The year 1708
Tu ne t’es pas dit pendant une demi seconde que la réalisation artistique n’en a rien à foutre de tes considérations, et qu’en fait le job est totalement assumé?

Tyro

Citation :Bref, cet enregistrement est une honte.
Ouais, mais, le titre c’est BACH TO THE FUTURE.
Et pas Bach The year 1708
Tu ne t’es pas dit pendant une demi seconde que la réalisation artistique n’en a rien à foutre de tes considérations, et qu’en fait le job est totalement assumé?
Si si justement, c'est ça le pire.

Anonyme

Je ne suis pas du tout malheureux d’avoir écouté la version Bach to the Future, elle révèle, soutient, exauce, met en valeur et à jour, cette œuvre à la datte d’aujourd’hui.
Que je peux comparer avec ce que je fais moi même.
Pourtant, je sais apprécier les différents enregistrements, les différentes époques.
Ici, j’assume totalement ce qui est fait pour cette œuvre de Bach, qui est considéré comme parmi les prémices de la musique électronique, de la techno.
En final, c’est tout à fait normal d’avoir fait, légitime, et mérité pour Bach, d’avoir une version à la hauteur, comparable avec la musique actuelle.
Cela n’enlève en rien le mérite d’autres enregistrements de la même œuvre fait précédemment, d’un contexte différent, et dont l’objectif artistique n’était pas le même.
Ton problème, c’est pas plus de vouloir être conservateur ?
Qu'un problème de mastering ?
[ Dernière édition du message le 31/01/2022 à 22:55:30 ]

Nicolas Massot

Je suis organiste et c'est vrai que cet enregistrement c'est de la daube, tout d'abord dans l'interprétation puis dans le son très agressif qui n'est pas le véritable son d'un orgue et pas non plus celui de ND.
Les non connaisseurs vont s'en satisfaire, tout comme pour un mix non mastérisé ou pour les tubes classiques massacrés par André Rieu.
On a fait le choix ici d'un orgue à la pointe de la technologie et qui possède des jeux que Bach n'utilisait pas (donc ok pour le côté "Futur"). Mais alors pourquoi les avoir supprimés au mixage en coupant à la hache toute une partie du spectre sonore qui fait de cet orgue ce qu'il est et en rendant le son gringalet et âcre? Surtout aujourd'hui, où on a le matériel pour capter ces basses fréquences et pour les restituer. J'aurais bien voulu entendre le ré des pédales aux alentours des 20Hz sur un sub pour faire trembler les murs.
En ayant enregistré pas mal d'orgues, je pense avoir un élément de réponse. L'orgue est tellement chargé au niveau plage de fréquence, avec des basses puissantes et envahissantes dans les tutti et des harmoniques riches, qu'on est vite limité si on veut faire sonner le mix aussi fort que d'autres instruments ou que la variété. Du coup, en coupant toute une partie du spectre, on a pu remonter le niveau sonore.
Deuxième chose, il y a pas mal d'enregistrement de musique classique très mal enregistrés (pourtant avec des labels), en particulier orgue et choeur grégorien, je ne suis pas certain que ce soit une volonté artistique.
Si on avait enregistré sur un synthé avec des sons à la Jean-Michel Jarre, là oui on aurait été dans Bach to the future.

gillouremix

Je trouve le concept intéressant. Le problème c'est qu'on a souvent tendance à avoir la main lourde sur les compressos, même dans des studios pro. Après ça crée un autre style c'est clair, je suis pas forcément contre. Mais bon c'est certain que t'auras jamais un son aussi pur que si t'es en direct dans la cathédrale.
Faut pas avoir peur de s'ouvrir à d'autres manières de gérer le son, ça a pas mal évolué avec le temps. Le tout c'est de savoir faire la part de ce qu'on garde ou pas
Un site de DJ passionnés : https://pro-platine.fr

Tyro

Ton problème, c’est pas plus de vouloir être conservateur ?
Qu'un problème de mastering ?
Ho non, tu te trompes (légitimement, car visiblement tu ne connais pas l'orgue).

La deuxième vidéo (ma préférée) est déjà une interprétation moderne, très loin de Bach, dont les conservateurs crient au scandale. Cochereau a été toujours mal perçu par les puristes.
Je suis bien dans l'optique de la prise de son et mastering.
Pour te donner une idée, voici à peu près comment sonnait la même oeuvre à l'époque de Bach

Nicolas Massot

Ici, j’assume totalement ce qui est fait pour cette œuvre de Bach, qui est considéré comme parmi les prémices de la musique électronique, de la techno.


Anonyme

Ho non, tu te trompes (légitimement, car visiblement tu ne connais pas l'orgue).
Autant que je me dis que tu ne connais rien en musique actuel ? Ou pas ?
Pour te donner une idée, voici à peu près comment sonnait la même oeuvre à l'époque de Bach
Osef !!!
Poster ça, c'est juste que t'as rien compris à la version BACH TO THE FUTURE
Si on avait enregistré sur un synthé avec des sons à la Jean-Michel Jarre, là oui on aurait été dans Bach to the future.
Effectivement, si on se base sur du JMJ, c’est l’assurance d’être rétrograde.
?
Je me suis mal exprimé, quelque chose n’est pas compris, tu voulais dire quelque chose ?
[ Dernière édition du message le 01/02/2022 à 00:56:34 ]

Jean-Marc Boulier

On perd ici la structure spectrale naturelle du son de l'orgue de Notre Dame. J'ai l'impression que l'ingé son a voulu égaliser la courbe de l'orgue en enlevant des basses et en rajoutant des aigus. Où sont donc passés les 32 pieds des pédales (16,35Hz pour le 1er Do) ?
Je ne comprend toujours pas. Dans Bach to the Future, le spectre est nettement plus large et l'enregistrement contient des fréquences graves en-dessous de 20Hz (facilement vérifiable à l'analyseur de spectre si tu n'as pas de moniteurs permettant de reproduire ces fréquences), alors que la seconde vidéo ne contient pas de son en-dessous de 40Hz. Du coup je ne comprend pas pourquoi tu la cites en référence sur ce point là.
C'est bien pour cela que j'ai dit d'écouter le passage final dans lequel les deux organistes jouent les mêmes jeux. Le 1er sonne plus "synthé" que orgue, et en plus ça sonne "en pleine face" (mais cela est dû à la prise de son).
Je trouve aussi que sur ce passage le son dans la première vidéo n'est pas très agréable, et on distingue moins facilement les notes que dans le second enregistrement. De la à dire que l'enregistrement est une honte, il y a tout de même un grand écart... de même que parler de "son de synthé", "studio de rap" et de "sabotage" sont des exagérations qui frisent le ridicule.
Jean-Marc

Tyro

Je ne comprend toujours pas. Dans Bach to the Future, le spectre est nettement plus large et l'enregistrement contient des fréquences graves en-dessous de 20Hz (facilement vérifiable à l'analyseur de spectre si tu n'as pas de moniteurs permettant de reproduire ces fréquences), alors que la seconde vidéo ne contient pas de son en-dessous de 40Hz. Du coup je ne comprend pas pourquoi tu la cites en référence sur ce point là.
C'est bien simple, dans le 1er enregistrement, j'entends à peine les jeux suivants, qui sont pourtant utilisés par l'organiste :
- Principal 32'
- Contrebasse 16'
- Soubasse 16'
Mais surtout ceux là :
- Contre-Bombarde 32'
- Bombarde 16'
- Basson 16'
L'analyseur peut montrer tout ce qu'il veut en dessous de 40Hz, mais il n'empêche qu'à l'oreille ces jeux sont à la limite de l'audible.
Ils font partie des fondations du son de l'orgue. C'est inimaginable de ne pas les entendre (surtout sur une prise de son du 21° siècle) et d'avoir gardé (et boosté) uniquement des harmoniques.
Il faut avoir entendu l'orgue de ND qui est un instrument exceptionnel et qui a évolué à travers les siècles. Très peu d'orgues dans le monde possèdent les jeux cités. On va à ND pour les entendre, sinon n'importe quel orgue de taille moyenne aurait fait l'affaire pour cet enregistrement.
C'est comme enregistrer du rock et d'effacer la basse au mixage.
Je reste persuadé que la prise a été faite par des personnes sûrement très compétentes dans d'autres styles de musiques mais pas celle de l'orgue.
[ Dernière édition du message le 01/02/2022 à 10:00:20 ]
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