Prise de son guitare acoustique?
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Raoul_Duke
6
Nouvel·le AFfilié·e
Membre depuis 18 ans
Sujet de la discussion Posté le 05/03/2007 à 20:09:22Prise de son guitare acoustique?
Voila je me demandais si ce micro (apparemment concu pour le chant plutot) peut faire l'affaire pour enregistrer une gratte acoustique, en attendant, et en étant pas tres exigeant et pour un rendu un peu cheap mais "chaleureux"(ma guitare c'est pas une martin non plus, donc bon...)
Comme c'etait un statique et qu'apparemment, c'est vers les statiues qu'il faut se tourner pour les sons peu puissants, si quelqu'un a tenter l'expérience, j'attends vos avis. Merci d'avance.
Comme c'etait un statique et qu'apparemment, c'est vers les statiues qu'il faut se tourner pour les sons peu puissants, si quelqu'un a tenter l'expérience, j'attends vos avis. Merci d'avance.
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à Chaud
2296
AFicionado·a
Membre depuis 19 ans
11 Posté le 02/07/2008 à 00:20:22
Effectivement le B5 est un cardioïde assez ouvert, très bon pour reprendre les cimbales et charley d'une batterie, ou tout autre engin à percussion qui joue assez fort.
Il faut soit que le son soit fort comme celui d'une batterie, soit disposr le micro très proche de la source comme pour un Djembé, bongos, etc.
Sio la source est trop faible ou le micro trop loin comme pour une guitare acoustique, un violoncelle ou une contrebasse, larsen garanti.
Dans ce cas, et en particulier sur scène, le T-Bone MB78 Beta est bien plus à son aise.
Finalement ce petit micro T-Bone MB78 Beta sympa et pas cher se révèle presque une bête à tout faire.
Il faut soit que le son soit fort comme celui d'une batterie, soit disposr le micro très proche de la source comme pour un Djembé, bongos, etc.
Sio la source est trop faible ou le micro trop loin comme pour une guitare acoustique, un violoncelle ou une contrebasse, larsen garanti.
Dans ce cas, et en particulier sur scène, le T-Bone MB78 Beta est bien plus à son aise.
Finalement ce petit micro T-Bone MB78 Beta sympa et pas cher se révèle presque une bête à tout faire.
lbc007
183
Posteur·euse AFfiné·e
Membre depuis 16 ans
12 Posté le 02/07/2008 à 08:27:28
Merci.
Cependant, après avoir posté ma question, j'ai bien lu l'ensemble des avis émis sur ce micro.
Beaucoup évoquaient sa facilité à partir en larsen...
Je ne sais plus trop quoi penser.
Cependant, après avoir posté ma question, j'ai bien lu l'ensemble des avis émis sur ce micro.
Beaucoup évoquaient sa facilité à partir en larsen...
Je ne sais plus trop quoi penser.
La guitare, tu l'as au bout des doigts, les amplis, au bout des jacks et ça fait une sacrée différence !
à Chaud
2296
AFicionado·a
Membre depuis 19 ans
13 Posté le 02/07/2008 à 15:15:19
Citation : Beaucoup évoquaient sa facilité à partir en larsen...
Je ne sais plus trop quoi penser.
Tous les micros peuvent larsenner ou non selon la manière dont on les emploie.
En particulier, chaque micro a une direction dans laquelle il capte un max (en face) et une autre dans laquelle il capte beaucoup beaucoup moins.
Or celle direction, et surtout la tolérance qutour de cette direction, varie suivant le micro:
Pour les cardioïdes purs c'est dans l'axe arrière avec une marge assez large, tandis que pour les hypercardioïdes purs c'est à un angle de l'ordre de 60 degrés de l'axe arrière à respecter avec précision.
Si tu orientes le micro dans la bonne direction par rapport aux enceintes et aux retours, il ne larsenne pas. Mal ridigé il larsenne.
Donc dire qu'un micro larsenne revient un peu à dire qu'on l'emploi mal.
Ce que je viens de dire est "parfaitement" vrai pour les cardioïdes et les hypercardioïdes "parfaits".
Or les micros réels n'ont pas forcément une directivité identique à toutes les fréquences.
Tout micro est plus ou moins omnirirectionnel dans le grave, cardioïde à certaines fréquences et hypercardioïde à d'autres.
D'où le besoin de bien connaître son micro, ce qui nécessite une certaine expérience avec des utilisations dans de nombreux cas différents.
L'étude des courbes de directivités aux diverses fréquences données par les fabriquants facilitent cet apprentissage.
Hélas tBone ne donne pas grand chose, et il faut faire son expérience soi-même.
Quand on essaye un nouveau micro, on le trouve très souvent larsenneur tant qu'on n'a pas trouvé la bonne manière de l'utiliser.
Ensuite, quand on sait l'utiliser, on reconnait ses qualités.
C'est pour cette raison que les pros ont l'habitude de n'utiliser que certains types de micros qu'ils connaissent bien et refusent de travailler avec d'autres, même meilleurs.
L'exemple le plus frappant a été le Shure Béta58 (hypercardioïde presque parfait) que les premiers sonorisateurs trouvaient très larsenneur par rapport au SM58 (cardioïde parfait), alors qu'en réalité c'est exactement l'inverse, une fois qu'on a compris comment le diriger.
Finalement, pour te répondre, et suivant mon expérience:
-Comparé au SM58 il larsenne nettement moins, c'est manifeste.
-Comparé au Béta58 (qui est réputé très bon au larsen) je n'ai pas vu de différences.
Mais je n'ai pas poussé les essais comparatifs suffisament loin pour trouver les plus et les moins.
Je persiste donc à dire que le The T.bone MB78 Beta n'est pas larsenneur.
phenix!
2122
AFicionado·a
Membre depuis 18 ans
14 Posté le 17/07/2008 à 15:09:39
+ 1000 avec à Chaud.
Sinon le MB78Beta est de type super-cardioide, comme le Shure Beta87A et le Shure Beta58.
Perso, en placant les retours sur le coté avec un angle d'à peu près 120/130°de l'axe arrière(ou 60° de l'autre coté) vers le vocaliste,et non complètement dans l'axe comme pour un SM58(micro cardioide), je commence déjà à avoir une bonne marge avant d'éventuellement partir en larsen, généralement largement suffisante pour bien s'entendre.
Sinon le MB78Beta est de type super-cardioide, comme le Shure Beta87A et le Shure Beta58.
Perso, en placant les retours sur le coté avec un angle d'à peu près 120/130°de l'axe arrière(ou 60° de l'autre coté) vers le vocaliste,et non complètement dans l'axe comme pour un SM58(micro cardioide), je commence déjà à avoir une bonne marge avant d'éventuellement partir en larsen, généralement largement suffisante pour bien s'entendre.
Vous tiendrez vôtre liberté de ce que vous aurez libéré...
à Chaud
2296
AFicionado·a
Membre depuis 19 ans
15 Posté le 17/07/2008 à 23:36:56
Pour qu'il y a ait larsen, il faut qu'il y ait 1 micro et 1 enceinte.
Nous avons parlé du micro, parlons maintenant de l'enceinte, en particulier de celle de retour à laquelle on demande des conditions de fonctionnement totalement contradictoires:
1. Les oreilles du musicien doivent l'entendre assez fort pour pouvoir jouer.
2. Le micro placé justé à côté des oreilles du musicien ne doit pas l'entendre.
C'est la quadrature du cercle !
Ça ne peut pas marcher sauf si on prend des précautions très particulières.
J'ai déjà parlé des angles de directivité du micro.
Il faudrait aussi parler des angles de directivité du retour. Pas évident car jamais documenté.
Seuls des essais peuvent éviter de faire des erreurs. Ça ne se voit pas mais ça s'entend !
Donc promener le retour jusqu'à trouver la meilleure position.
Puis reprendre l'orientation du micro sur son pied par rapport à cette nouvelle position du retour. Et ainsi de suite jusqu'à trouver un optimum, si on ne s'est pas perdu en route devant toutes les possibilités réalisables.
Ensuite et surtout il faut redresser la courbe de réponse. Et de ça on en parle pas souvent !
Théoriquement la fréquence du larsen devrait varier quand on rapproche ou éloigne le micro de l'enceinte. Or l'expérience montre que ce n'est pas le cas et donc qu'il existe un autre phénomène qui génère le larsen.
Au cours des essais, on constate que le larsen se fait à 1 (parfois 2) fréquence bien précise qui dépend peu de la distance micro/enceinte.
Cette fréquence est celle où le système a subitement un gain maximum.
En général, elle se trouve vers les 1000 à 1500 Hz, à la fréquence précise où la membrane du gros HP commence à se désunir.
En dessous de cette "fréquence critique" la membrane vibre comme un seul homme (on dit qu'elle vibre en piston parfait) sans se déformer.
Quand on regarde une courbe de réponse de HP, on voit qu'elle commence par une montée dans les basses fréquences, puis un coude suivi une zone très plate jusque vers 1000 à 1500Hz.
Pendant toute la zone plate la membrane vibre en piston.
Au-dessus de cette "fréquence critique" la membrane se déforme avec des zones de sa surface qui vibrent en opposition de phase avec d'autres zones. D'où l'efficacité des HP qui baisse lentement dans les fréquences élevées, avec un accident à chaque fois que la membrane change son mode de vibration.
Maintenant suivez-moi bien car je vais dire des choses qu'on ne lit nulle part ailleurs et qui hélas sont la source de nos soucis:
À la fréquence très précise où la membrane commence à se désunir, elle se met à résonner sur elle-même et amplifie énormément le signal qu'elle reçoit.
La courbe de réponse présente alors un pic très pointu et très étroit qui peut faire 5 à 10 dB de plus que la zone horizontale qu précède. Ce pic est suivi de suite après d'un creux tout aussi important, et ce sur une largeur de bande qui souvent bien inférieure à 1 Hz.
C'est quasi impossible à détecter si on utilise un générateur de fréquences numérique qui balaye par exemple 1491Hz puis 1492Hz puis 1493Hz. Le pic à 1491,4Hz suivi du creux à 1491,6Hz passe inapperçu avec un balayage aussi grossier.
Par contre on le met bien en évidence avec un générateur de fréquences analogique qui permet de balayer finement toutes les fréquences de manière continue.
Quand on arrive sur la partie montante vers le pic, le son change nettement de timbre, devient maximum et très pur (sans harmoniques) sur le pic très étroit (il faut souvent revenir pluieurs fois dessus pour trouver le sommet exact du pic extrêmement pointu), puis le timbre tourne complètement dans la partie descendante du pic jusqu'au fond du creux où on entend surtout les harmoniques (car ce genre de générateur BF n'est jamais parfait), et de nouveu rechange de timbre dans la pente remontante qui suit le creux pour arriver à la normale.
Ensuite la courbe de réponse se poursuit à un niveau un peu inférieur à la belle zone plate précédente (puisqu'une partie de la membrane annule ce que le reste essaye de faire), et ce jusqu'à ce que la membrane change à nouveau de mode de vibration propre avec nouveau pic/creux fort et très étroit suivi d'un palier un peu plus bas.
Personne n'achèterait un HP si on connaissait sa courbe de réponse exacte. Les mesures sont donc faites avec un son à fréquences constamment variables (son hululé) sur 1/3 d'octave.
La courbe de réponse ainsi lissée laisse encore apparaitre les différentes fréquences critiques, mais les pointes et creux sont très atténuées.
Hélas pour nous, le larsen ne se laisse pas berner par cet artifice de mesure à but commercial: il se précipite sur la pointe de réponse réelle du HP.
Il faut donc obligatoirement, si on veut augmenter le volume de son dans le retour, "triturer" la courbe de réponse pour la creuser à ces fréquences particulières.
Le premier outil qui vient à l'esprit est l'équaliseur 31 bandes, accesoire indispensable sur tout retour.
On commence par mettre toutes les tirettes de l'équalo à zéro puis on monte lentement le gain jusqu'au larsen. On cherche alors la tirette à descendre de la bonne valeur.
On remonte encore le gain jusqu'au nouveau larsen et on rabaisse la tirette qui va bien de la bonne valeur.
Après avoir corrigé 3 à 4 fréquences, on peut monter le gain général dans le retour de 4 à 6 décibels avant le larsen, ce qui est très confortable.
La méthode avec un simple équalo est grossière car la fréquence ne tonbe pas toujours exactement sur celle d'une tirette et il faut parfois en baisser 2 contigues. Ça déforme un peu le son, mais il faut s'y adapter.
La meilleure façon de faire est d'utiliser un antilarsen.
Perso j'utilise un UltraCurve Behringer DEQ2496 sur les retours du devant de scène (ceux des chanteurs) et un vieil équalo graphique analogique Alesys MEQ230 pour les retours des instrumentistes qui sont beaucoup moins critiques.
J'ai choisi ces modèles parce qu'ils ont l'avantage d'équaliser 2 voies en 1 seule unité de hauteur chacun.
Ma console possède 4 voies de retour et je possède 4 retours.
Chaque retour est repéré pour aller toujours avec le même équalo étalonné en fonction de ce retour-là.
Depuis que je fais ça, y compris sur les enceintes de façade (avec un vieux Behringer UltraCurve 1er modèle sorti), j'ignore presque ce qu'est le larsen.
De moins tant que les musiciens ne demandent pas trop de volume dans leurs retours. Au-delà, c'est mission impossible !
Nous avons parlé du micro, parlons maintenant de l'enceinte, en particulier de celle de retour à laquelle on demande des conditions de fonctionnement totalement contradictoires:
1. Les oreilles du musicien doivent l'entendre assez fort pour pouvoir jouer.
2. Le micro placé justé à côté des oreilles du musicien ne doit pas l'entendre.
C'est la quadrature du cercle !
Ça ne peut pas marcher sauf si on prend des précautions très particulières.
J'ai déjà parlé des angles de directivité du micro.
Il faudrait aussi parler des angles de directivité du retour. Pas évident car jamais documenté.
Seuls des essais peuvent éviter de faire des erreurs. Ça ne se voit pas mais ça s'entend !
Donc promener le retour jusqu'à trouver la meilleure position.
Puis reprendre l'orientation du micro sur son pied par rapport à cette nouvelle position du retour. Et ainsi de suite jusqu'à trouver un optimum, si on ne s'est pas perdu en route devant toutes les possibilités réalisables.
Ensuite et surtout il faut redresser la courbe de réponse. Et de ça on en parle pas souvent !
Théoriquement la fréquence du larsen devrait varier quand on rapproche ou éloigne le micro de l'enceinte. Or l'expérience montre que ce n'est pas le cas et donc qu'il existe un autre phénomène qui génère le larsen.
Au cours des essais, on constate que le larsen se fait à 1 (parfois 2) fréquence bien précise qui dépend peu de la distance micro/enceinte.
Cette fréquence est celle où le système a subitement un gain maximum.
En général, elle se trouve vers les 1000 à 1500 Hz, à la fréquence précise où la membrane du gros HP commence à se désunir.
En dessous de cette "fréquence critique" la membrane vibre comme un seul homme (on dit qu'elle vibre en piston parfait) sans se déformer.
Quand on regarde une courbe de réponse de HP, on voit qu'elle commence par une montée dans les basses fréquences, puis un coude suivi une zone très plate jusque vers 1000 à 1500Hz.
Pendant toute la zone plate la membrane vibre en piston.
Au-dessus de cette "fréquence critique" la membrane se déforme avec des zones de sa surface qui vibrent en opposition de phase avec d'autres zones. D'où l'efficacité des HP qui baisse lentement dans les fréquences élevées, avec un accident à chaque fois que la membrane change son mode de vibration.
Maintenant suivez-moi bien car je vais dire des choses qu'on ne lit nulle part ailleurs et qui hélas sont la source de nos soucis:
À la fréquence très précise où la membrane commence à se désunir, elle se met à résonner sur elle-même et amplifie énormément le signal qu'elle reçoit.
La courbe de réponse présente alors un pic très pointu et très étroit qui peut faire 5 à 10 dB de plus que la zone horizontale qu précède. Ce pic est suivi de suite après d'un creux tout aussi important, et ce sur une largeur de bande qui souvent bien inférieure à 1 Hz.
C'est quasi impossible à détecter si on utilise un générateur de fréquences numérique qui balaye par exemple 1491Hz puis 1492Hz puis 1493Hz. Le pic à 1491,4Hz suivi du creux à 1491,6Hz passe inapperçu avec un balayage aussi grossier.
Par contre on le met bien en évidence avec un générateur de fréquences analogique qui permet de balayer finement toutes les fréquences de manière continue.
Quand on arrive sur la partie montante vers le pic, le son change nettement de timbre, devient maximum et très pur (sans harmoniques) sur le pic très étroit (il faut souvent revenir pluieurs fois dessus pour trouver le sommet exact du pic extrêmement pointu), puis le timbre tourne complètement dans la partie descendante du pic jusqu'au fond du creux où on entend surtout les harmoniques (car ce genre de générateur BF n'est jamais parfait), et de nouveu rechange de timbre dans la pente remontante qui suit le creux pour arriver à la normale.
Ensuite la courbe de réponse se poursuit à un niveau un peu inférieur à la belle zone plate précédente (puisqu'une partie de la membrane annule ce que le reste essaye de faire), et ce jusqu'à ce que la membrane change à nouveau de mode de vibration propre avec nouveau pic/creux fort et très étroit suivi d'un palier un peu plus bas.
Personne n'achèterait un HP si on connaissait sa courbe de réponse exacte. Les mesures sont donc faites avec un son à fréquences constamment variables (son hululé) sur 1/3 d'octave.
La courbe de réponse ainsi lissée laisse encore apparaitre les différentes fréquences critiques, mais les pointes et creux sont très atténuées.
Hélas pour nous, le larsen ne se laisse pas berner par cet artifice de mesure à but commercial: il se précipite sur la pointe de réponse réelle du HP.
Il faut donc obligatoirement, si on veut augmenter le volume de son dans le retour, "triturer" la courbe de réponse pour la creuser à ces fréquences particulières.
Le premier outil qui vient à l'esprit est l'équaliseur 31 bandes, accesoire indispensable sur tout retour.
On commence par mettre toutes les tirettes de l'équalo à zéro puis on monte lentement le gain jusqu'au larsen. On cherche alors la tirette à descendre de la bonne valeur.
On remonte encore le gain jusqu'au nouveau larsen et on rabaisse la tirette qui va bien de la bonne valeur.
Après avoir corrigé 3 à 4 fréquences, on peut monter le gain général dans le retour de 4 à 6 décibels avant le larsen, ce qui est très confortable.
La méthode avec un simple équalo est grossière car la fréquence ne tonbe pas toujours exactement sur celle d'une tirette et il faut parfois en baisser 2 contigues. Ça déforme un peu le son, mais il faut s'y adapter.
La meilleure façon de faire est d'utiliser un antilarsen.
Perso j'utilise un UltraCurve Behringer DEQ2496 sur les retours du devant de scène (ceux des chanteurs) et un vieil équalo graphique analogique Alesys MEQ230 pour les retours des instrumentistes qui sont beaucoup moins critiques.
J'ai choisi ces modèles parce qu'ils ont l'avantage d'équaliser 2 voies en 1 seule unité de hauteur chacun.
Ma console possède 4 voies de retour et je possède 4 retours.
Chaque retour est repéré pour aller toujours avec le même équalo étalonné en fonction de ce retour-là.
Depuis que je fais ça, y compris sur les enceintes de façade (avec un vieux Behringer UltraCurve 1er modèle sorti), j'ignore presque ce qu'est le larsen.
De moins tant que les musiciens ne demandent pas trop de volume dans leurs retours. Au-delà, c'est mission impossible !
Deweak
5903
Je poste, donc je suis
Membre depuis 22 ans
16 Posté le 18/07/2008 à 01:17:28
Merci A Chaud, excellent post
lbc007
183
Posteur·euse AFfiné·e
Membre depuis 16 ans
17 Posté le 17/03/2009 à 20:11:10
Moi y en avoir content de ces réponses.
Merci à vous !!!
Merci à vous !!!
La guitare, tu l'as au bout des doigts, les amplis, au bout des jacks et ça fait une sacrée différence !
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