Sujet "Le calva est servi"
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J'en veux une pour moi ! !
Anonyme
2947
Tu l'as dit ! Mais bon, c'est pas non plus une raison pour déserter, hein ? Y'a pas que le boulot dans la vie 
vetjc
3463
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 19 ans
Anonyme
521410
Anonyme
2947
J'peux pas résister à l'envie de vous montrer ce post :
Ben non Poolp, pas si débile que ça.
(J'ai fait pire)
Citation : Roger Pastaga
AFicionado
1614 messages
Posté le 16/02/2008 à 20:22
Wa come sa pu tokio hotel on diré 1 travlo ptdr nn mé la vré zic c le rap pa tokio hotel moi jleur pise desu a c batar
Citation : Un nouveau morceaux "debile"
Ben non Poolp, pas si débile que ça.
(J'ai fait pire)
Anonyme
2947
Citation : La chasse aux exoplanètes bat son plein et une équipe d'astrophysiciens suisses et français a révélé lundi à Nantes (ouest de la France) avoir observé autour d'une même étoile trois exoplanètes un peu plus grosses que notre astre, des "super-Terres".
J'en veux une pour moi ! !
Anonyme
521410
Cicéro
643
Posteur·euse AFfolé·e
Membre depuis 19 ans
Hey, salut les CalvAnisés (enfin, c’qu’il en reste... ) 
Et voilà, terminée (pour l’instant) la période sous pression de "mes" fesse-tivaux avec zic à tous les étages. Enfin, quand je dis "mes", c’est ceux auxquels, bien entendu, je participe activement, d'une façon ou d'une autre. Le truc qui te prend la caboche 36h sur 24, tu vois. Et des fois pour t’entendre dire des concetés que t’imaginerais même pas chez certains malades mant(e)aux (ou imperméables ?
... selon la saison). Et je sais de quoi je cause ! Enfin, donc, un peu de ouacances.
Profitons-en pour faire un p’tit tour sur le Calva, histoire de.
Ouh là là,mais kess kiss passe-t-il donc ici quand j’reviens d’avoir le dos tourné ? Car je lis, post 4094 cet ensemble de borborygmes rapportés par DocMAO (ouh, la vilaine !) :
Ah, pardon, y a erreur : les shlurpiens n’utilisent pas de chiffres. Donc, il nous faut nous orienter vers une autre hypothèse aussi sotte que grenue...
Ahhhh...
mais... mais que nenni, il ne s’agit point d’un langage ET, sauf à considérer la planète AF comme ne faisant pas partie de notre système solaire. Or donc, il me semble bien, pour l’avoir déjà entendu parler dans un territoire lointain, le Neufcube, qu’il s’agisse en effet du dialecte d’une tribu terrienne appartenant à la minorité ethnique des Djeunz, minorité qui s’amenuise au fil du temps mais qui, heureusement, se renouvelle de génération en génération pour péréniser l’espèce humaine. (Ben oui, on ne naît pas vieux ! Ben nan ! 
) En l’occurrence, nous aurions à faire ici au sous-groupe sociétal (sous-groupe n’a rien de péjoratif : c’est juste une classification scientifique, hé, pomme à l’huile !) des Jeunn-kon (à ne pas confondre avec les Vieukhon, sous groupe totalement différent, mais pas forcément mieux pour autant, quoi que...), dont le langage cru et direct trouve sa finalité dans l’échange épistolaire via un service de messages courts (ine innegliche Short Message Service) où le vide intégral le dispute à la bêtise crasse. Ainsi donc, au prix de longues nuits sans sommeil, penché sur ma table de travail à la seule lueur d’une bougie tremblotante, parcourant des grimoires suranés et me référant à de très anciennes études de linguistique et de phonétique appliquée (j’ai "connu" une orthophoniste qu’elle était 'ach'ment "bonne"... 
) j’ai réussi à mettre à jour la tranche de philosophie post freudienne exprimée dans la "phrase" ci-dessus citée. Je la livre à votre étonnement :
"Oh là là, comme l’hôtel de Tokio sent mauvais ! Il ressemble à un transsexuel. Je me gausse. Mais la vraie musique c’est Mozart pas l’hôtel de Tokio. Moi, je les conchie, ces enfants nés hors mariage".
Bon, j’avoue que la traduction est toute littérale. Donc nécessairement imparfaite. D’autant que, ne saisissant pas toute la dialectique du propos, je me suis permis une (très) large interprétation quand au mot "rap" (d’ailleurs mal orthographié, car je ne vois vraiment pas ce que vient faire ici, un outil servant à rectifier le fer ou le bois, voire le gruyère). Sans doute le posteur a-t-il commis une faute d’inattention et a-t-il voulu écrire "scie" ? Ce qui eut été plus dans sa logique : "la vraie zic, c’est la scie, pas l’hôtel..." Or donc, il m'a semblé qu'un grand (le +) compositeur classique pouvait, sans déchoir, prendre la place de la partie manquante, afin d'apporter un semblant de noblesse à un ensemble de mots qui n'en contient guère. Manifestation de la plus évidente vérité, instinctif cri du coeur ou fantaisie littéraire inopinée ? Va savoir... (Mais je crais bien que les mânes du Génie de Salzburg ne me vouent maintenant aux gémonies, ses os blanchis et dispersés depuis longtemps ne pouvant plus se retourner dans la fosse commune). 
Toutefois, un dite m’aboute, soudainement, à la lecture du nom de l’auteur présumé du méfait littéraire, un certain Roger Pastaga : çà sent pas le jeunot-jeunot, çà ! Et avec 1614 interventions au compteur sur AF (cf. entr’autres Le pub des gentlemen), m’étonnerait pas que ce soit pas un perdreau de l’année. Mon auriculaire droit (le gauche est à la révision des 50 000) me dit même que çà sent la mystification à plein appendice nasal.
Une hypothèse eut été que l’ami Doc, apte à se saisir les travers de ses contemporains pour en extraire matière à chansons, se soit emparé de ce langage et ait posé ces mots ici pour m’inciter à réagir. (Je sais, c’est présomptueux, mais je nous connais...) Eh bien, c’est chose faite (pour ce qui est de la réaction), quelle qu’en soit l’origine ; mais selon des sources bien informées, il est fort probable que notre compositeur de musiques variées préféré ne se soit pas commis dans cette imposture et se soit contenté de rapporter cet ensemble de mots qui confine à l'absolu inutile.
Voilà, voilà, voilà, çà f'sait un bail que j'avais pas posé ma plume su' l'Calva, ben j'm'ai rattrapé.
Bon, ben, c’est pas l’tout : ch’suis bien content d’avoir rempli un miot la bouteille, comme le demandait Doc, y a pas longtemps, ici même. Mais, je le répète, ce serait sympa que ce ne soit pas toujours les mêmes qui causent dans le post (surtout que, si tu m’donnes pas l'occaz de jeter l'encre, moi j'continue d’écrire tant que la cartouche du stylo est pleine, hein).
Bon, c’est pas l’tout : on cause, on cause et ch’suis garé en double fille * ...
Ah, un p’tit coucou tout spécial à l’ami VetJC, dont j’ai eu l’immense et vrai plaisir de voir qu’il n’avait pas oublié notre Calva.
Allez, sur ce a'c des bulles et sans sucres ajoutés.
* nan, nan, y’a pas d’fôte **
** mais si. Allez, j’déconne.
Et voilà, terminée (pour l’instant) la période sous pression de "mes" fesse-tivaux avec zic à tous les étages. Enfin, quand je dis "mes", c’est ceux auxquels, bien entendu, je participe activement, d'une façon ou d'une autre. Le truc qui te prend la caboche 36h sur 24, tu vois. Et des fois pour t’entendre dire des concetés que t’imaginerais même pas chez certains malades mant(e)aux (ou imperméables ?
... selon la saison). Et je sais de quoi je cause ! Enfin, donc, un peu de ouacances. Profitons-en pour faire un p’tit tour sur le Calva, histoire de.
Ouh là là,mais kess kiss passe-t-il donc ici quand j’reviens d’avoir le dos tourné ? Car je lis, post 4094 cet ensemble de borborygmes rapportés par DocMAO (ouh, la vilaine !) :
Citation : Wa come sa pu tokio hotel on diré 1 travlo ptdr nn mé la vré zic c le rap pa tokio hotel moi jleur pise desu a c batar
C’est kouah çà ? Des aliens qui z’ont envhahihihi le Calva ? Car c’est bien le langage de l’alien de la nébuleuse du Grand Schlurp, çà, nan ?Ah, pardon, y a erreur : les shlurpiens n’utilisent pas de chiffres. Donc, il nous faut nous orienter vers une autre hypothèse aussi sotte que grenue...
Ahhhh...
mais... mais que nenni, il ne s’agit point d’un langage ET, sauf à considérer la planète AF comme ne faisant pas partie de notre système solaire. Or donc, il me semble bien, pour l’avoir déjà entendu parler dans un territoire lointain, le Neufcube, qu’il s’agisse en effet du dialecte d’une tribu terrienne appartenant à la minorité ethnique des Djeunz, minorité qui s’amenuise au fil du temps mais qui, heureusement, se renouvelle de génération en génération pour péréniser l’espèce humaine. (Ben oui, on ne naît pas vieux ! Ben nan ! ) En l’occurrence, nous aurions à faire ici au sous-groupe sociétal (sous-groupe n’a rien de péjoratif : c’est juste une classification scientifique, hé, pomme à l’huile !) des Jeunn-kon (à ne pas confondre avec les Vieukhon, sous groupe totalement différent, mais pas forcément mieux pour autant, quoi que...), dont le langage cru et direct trouve sa finalité dans l’échange épistolaire via un service de messages courts (ine innegliche Short Message Service) où le vide intégral le dispute à la bêtise crasse. Ainsi donc, au prix de longues nuits sans sommeil, penché sur ma table de travail à la seule lueur d’une bougie tremblotante, parcourant des grimoires suranés et me référant à de très anciennes études de linguistique et de phonétique appliquée (j’ai "connu" une orthophoniste qu’elle était 'ach'ment "bonne"... ) j’ai réussi à mettre à jour la tranche de philosophie post freudienne exprimée dans la "phrase" ci-dessus citée. Je la livre à votre étonnement : "Oh là là, comme l’hôtel de Tokio sent mauvais ! Il ressemble à un transsexuel. Je me gausse. Mais la vraie musique c’est Mozart pas l’hôtel de Tokio. Moi, je les conchie, ces enfants nés hors mariage".
Bon, j’avoue que la traduction est toute littérale. Donc nécessairement imparfaite. D’autant que, ne saisissant pas toute la dialectique du propos, je me suis permis une (très) large interprétation quand au mot "rap" (d’ailleurs mal orthographié, car je ne vois vraiment pas ce que vient faire ici, un outil servant à rectifier le fer ou le bois, voire le gruyère).
Sans doute le posteur a-t-il commis une faute d’inattention et a-t-il voulu écrire "scie" ? Ce qui eut été plus dans sa logique : "la vraie zic, c’est la scie, pas l’hôtel..." Or donc, il m'a semblé qu'un grand (le +) compositeur classique pouvait, sans déchoir, prendre la place de la partie manquante, afin d'apporter un semblant de noblesse à un ensemble de mots qui n'en contient guère. Manifestation de la plus évidente vérité, instinctif cri du coeur ou fantaisie littéraire inopinée ? Va savoir... (Mais je crais bien que les mânes du Génie de Salzburg ne me vouent maintenant aux gémonies, ses os blanchis et dispersés depuis longtemps ne pouvant plus se retourner dans la fosse commune). Toutefois, un dite m’aboute, soudainement, à la lecture du nom de l’auteur présumé du méfait littéraire, un certain Roger Pastaga : çà sent pas le jeunot-jeunot, çà ! Et avec 1614 interventions au compteur sur AF (cf. entr’autres Le pub des gentlemen), m’étonnerait pas que ce soit pas un perdreau de l’année. Mon auriculaire droit (le gauche est à la révision des 50 000) me dit même que çà sent la mystification à plein appendice nasal.
Une hypothèse eut été que l’ami Doc, apte à se saisir les travers de ses contemporains pour en extraire matière à chansons, se soit emparé de ce langage et ait posé ces mots ici pour m’inciter à réagir. (Je sais, c’est présomptueux, mais je nous connais...) Eh bien, c’est chose faite (pour ce qui est de la réaction), quelle qu’en soit l’origine ; mais selon des sources bien informées, il est fort probable que notre compositeur de musiques variées préféré ne se soit pas commis dans cette imposture et se soit contenté de rapporter cet ensemble de mots qui confine à l'absolu inutile.
Voilà, voilà, voilà, çà f'sait un bail que j'avais pas posé ma plume su' l'Calva, ben j'm'ai rattrapé.
Bon, ben, c’est pas l’tout : ch’suis bien content d’avoir rempli un miot la bouteille, comme le demandait Doc, y a pas longtemps, ici même. Mais, je le répète, ce serait sympa que ce ne soit pas toujours les mêmes qui causent dans le post (surtout que, si tu m’donnes pas l'occaz de jeter l'encre, moi j'continue d’écrire tant que la cartouche du stylo est pleine, hein).
Bon, c’est pas l’tout : on cause, on cause et ch’suis garé en double fille * ...
Ah, un p’tit coucou tout spécial à l’ami VetJC, dont j’ai eu l’immense et vrai plaisir de voir qu’il n’avait pas oublié notre Calva.
Allez, sur ce
a'c des bulles et sans sucres ajoutés.* nan, nan, y’a pas d’fôte **
** mais si. Allez, j’déconne.
Hors sujet : ... De vous à moi, comment est-il possible que l’on puisse s’égarer à ce point ?
Cicero dixit : Nascuntur poeta, fuit oratore... Et toc !
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