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Publié le 07/05/24 à 19:20Vaste sujet que les sorties hardware aujourd'hui quand il ne se passe pas une semaine sans qu'un nouvel outil de création musicale voit le jour !
Sujet d'autant plus sensible que lorsqu'on porte un regard attentif et objectif - pour ne pas dire scientifique - sur les avancées techniques et technologiques dans la production d'outils dédiés à la musique depuis plus de 50 ans, la seule chose qui ai véritablement changé en ce qui concerne le hardware se résume essentiellement à la taille des composants réduite au minimum, la capacité de stockage qui ne cesse d'augmenter tout comme la vitesse et la capacité de traitement des appareils.
C'est donc l'ensemble de ces facteurs réunis qui...…
Sujet d'autant plus sensible que lorsqu'on porte un regard attentif et objectif - pour ne pas dire scientifique - sur les avancées techniques et technologiques dans la production d'outils dédiés à la musique depuis plus de 50 ans, la seule chose qui ai véritablement changé en ce qui concerne le hardware se résume essentiellement à la taille des composants réduite au minimum, la capacité de stockage qui ne cesse d'augmenter tout comme la vitesse et la capacité de traitement des appareils.
C'est donc l'ensemble de ces facteurs réunis qui...…
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Vaste sujet que les sorties hardware aujourd'hui quand il ne se passe pas une semaine sans qu'un nouvel outil de création musicale voit le jour !
Sujet d'autant plus sensible que lorsqu'on porte un regard attentif et objectif - pour ne pas dire scientifique - sur les avancées techniques et technologiques dans la production d'outils dédiés à la musique depuis plus de 50 ans, la seule chose qui ai véritablement changé en ce qui concerne le hardware se résume essentiellement à la taille des composants réduite au minimum, la capacité de stockage qui ne cesse d'augmenter tout comme la vitesse et la capacité de traitement des appareils.
C'est donc l'ensemble de ces facteurs réunis qui aujourd'hui permet d'obtenir à "moindre coût" des outils de création musicale toujours plus puissants et réduits dans leurs dimensions.
Pour le reste, c'est le marketing et les influenceurs qui font le travail.
Étant un grand fan de samplers, machines et instruments en tout genre, possesseur d'un PO KO! 33 depuis de nombreuses années et également amateur de design (dans le sens anglophone du terme, cad autant dans la conception, l'ergonomie que l'aspect esthétique) de manière générale, c'est avec curiosité que je me suis tourné vers l'EP-133 de Teenage Engineering et ce malgré un lancement en demi-teinte suite aux nombreux problèmes rencontrés par les utilisateurs avec le fader.
Pour autant, il est important de commencer par là.
Teenage Engineering c'est une petite société qui bien qu'elle s'efforce de proposer des objets hybrides entre instruments de musique, esthétique de bornes d’arcade 80’s et objets design minimalistes n'en demeure pas moins - et comme son nom l'indique - une petite équipe d'ingénieurs.
C'est déjà là que le bât blesse car passée la dimension esthétique que je trouve toujours particulièrement réussie et qui ne manque jamais de toucher son public, le EP-133 n'est pas le 1er produit de l'enseigne à souffrir de sérieux défauts de construction et ce sur des appareils souvent vendus au prix fort (le chassis de l'OP-Z qui se tord, les touches de l'OP-1 qui se bloquent…).
Nous avons donc à faire à une petite entreprise d'ingénieurs et designers qui semble sacrifier la qualité de fabrication de ses appareils au profit de la communication, du marketing et de l'aspect esthétique de ces derniers en plus de souffrir de surcroit d'un service SAV largement critiqué.
Il ne faut pas perdre de vue qu'aujourd'hui la fabrication des composants nécessaires à la production de ces appareils est peu coûteuse et que ce n'est clairement pas ce que l'on paye lorsque l'on en fait l'acquisition.
Tout ça pour en venir à la question : Que propose réellement l'EP-133 et pourquoi acheter un EP-133 en 2024 ?
Vendu pour la somme de 339€, l'EP-133 c'est un sampler et séquenceur 4 pistes au format "compacte" doté d'un micro et d'un haut-parleur intégré et qui propose jusqu'à 12 voix de polyphonie en mono et 6 en stéréo avec une mémoire totale de 64Mo et un maximum de 20 secondes de sampling.
Bien que l'on puisse saluer les possibilités qu'offre son séquenceur concernant la polyrythmie, chaque piste ("groupe" selon la nomenclature Teenage Engineering) pouvant comporter un nombre de pas différents, il s'agit bien là de la seule chose qui soit un véritable "plus" pour peu que l'on souhaite en faire l'usage. Usage qui plus est limité dans la mesure où si l'on souhaite faire de la polyrythmie sur différents sons de batterie (kick, hi-hat, snare et cymbale), on se retrouve déjà avec les 4 pistes/groupes utilisés.
L'appareil ne propose qu'un effet applicable pour chaque groupe et ne propose pas de bouclage ni de reverse des samples.
Pas de fonction re-sampling non plus qui aurait pu palier aux limites de l'application d'effets et de traitements sur les sons/samples.
On peut ajouter à ça une navigation laborieuse pour trouver ses samples qui apparaissent en 1er lieu sous forme de numéros (le nom apparait partiellement et défile au bout de quelques secondes sur l'écran) à travers une liste interminable heureusement découpée en sous-groupes accessibles via la touche "shift".
Il y a bien les effets Punch-In qui ont fait le succès de la marque et notamment de la série des Pocket Operators. Ça peut être rigolo, voir fun, en particulier dans une configuration live, mais il n'est malheureusement pas possible de les enregistrer ni de les séquencer.
Enfin, niveau connectique "moderne", on retrouve un port USB qui permet seulement de sortir un mix audio stéréo dans votre DAW et de transférer des données MIDI, ce qui est évidemment mieux que rien mais qui n’apporte rien de plus que la sortie ligne analogique et les I/O MIDI en mini-jack trs.
Bref, nous sommes en 2024 et à l'heure où l'application Koala Sampler (20€ avec toutes options sur iOS et Android) propose au moins le double de fonctionnalités en plus d’une ergonomie redoutable compte tenu du support, que pour 100€ de plus on peut se tourner vers un Roland SP404 MKII au combien plus complet et polyvalent voir même encore une MPC1000 sur le marché de l'occasion, comment justifier de vendre 339€ un appareil comme le EP-133 ?
On parle bien ici de vendre plus de 300€ un outil de création musicale qui fait beaucoup moins bien que ce que ses prédécesseurs proposaient déjà il y a plus de 20 ans avec une qualité de fabrication moindre, une capacité de stockage digne des disquettes des 1er samplers, le tout sous un format dit "compacte" qui couvre tout de même la surface d'une feuille A4 une fois posé sur un bureau.
On peut toujours se rabattre sur l'argument marketing du "less is more" mais si l'on propose moins, ce qui effectivement peut stimuler davantage la créativité, pourquoi alors vendre les produits plus chères ?
Parceque c'est bien de cela qu'il s'agit, faire payer plus cher les bénéfices du moins, cad, l'absence de fonctions et de possibilités et jouer sur l'esthétique et la nostalgie des amateurs de musique.
On aurait pu au moins espérer un argumentaire marketing dans l'air du temps à base d'utilisation de plastique recyclé dans la fabrication ce qui aurait été un moindre mal…
Bref, à recommander pour qui veut améliorer sa déco et disposer un bel objet design et son packaging (fort réussi soit dit en passant) sur son étagère ou dépenser de l'argent dont il ne sait pas quoi faire.
Pour les autres, les musiciens, producteurs, beat makers, passez votre chemin et faites plutôt de la musique.
Sujet d'autant plus sensible que lorsqu'on porte un regard attentif et objectif - pour ne pas dire scientifique - sur les avancées techniques et technologiques dans la production d'outils dédiés à la musique depuis plus de 50 ans, la seule chose qui ai véritablement changé en ce qui concerne le hardware se résume essentiellement à la taille des composants réduite au minimum, la capacité de stockage qui ne cesse d'augmenter tout comme la vitesse et la capacité de traitement des appareils.
C'est donc l'ensemble de ces facteurs réunis qui aujourd'hui permet d'obtenir à "moindre coût" des outils de création musicale toujours plus puissants et réduits dans leurs dimensions.
Pour le reste, c'est le marketing et les influenceurs qui font le travail.
Étant un grand fan de samplers, machines et instruments en tout genre, possesseur d'un PO KO! 33 depuis de nombreuses années et également amateur de design (dans le sens anglophone du terme, cad autant dans la conception, l'ergonomie que l'aspect esthétique) de manière générale, c'est avec curiosité que je me suis tourné vers l'EP-133 de Teenage Engineering et ce malgré un lancement en demi-teinte suite aux nombreux problèmes rencontrés par les utilisateurs avec le fader.
Pour autant, il est important de commencer par là.
Teenage Engineering c'est une petite société qui bien qu'elle s'efforce de proposer des objets hybrides entre instruments de musique, esthétique de bornes d’arcade 80’s et objets design minimalistes n'en demeure pas moins - et comme son nom l'indique - une petite équipe d'ingénieurs.
C'est déjà là que le bât blesse car passée la dimension esthétique que je trouve toujours particulièrement réussie et qui ne manque jamais de toucher son public, le EP-133 n'est pas le 1er produit de l'enseigne à souffrir de sérieux défauts de construction et ce sur des appareils souvent vendus au prix fort (le chassis de l'OP-Z qui se tord, les touches de l'OP-1 qui se bloquent…).
Nous avons donc à faire à une petite entreprise d'ingénieurs et designers qui semble sacrifier la qualité de fabrication de ses appareils au profit de la communication, du marketing et de l'aspect esthétique de ces derniers en plus de souffrir de surcroit d'un service SAV largement critiqué.
Il ne faut pas perdre de vue qu'aujourd'hui la fabrication des composants nécessaires à la production de ces appareils est peu coûteuse et que ce n'est clairement pas ce que l'on paye lorsque l'on en fait l'acquisition.
Tout ça pour en venir à la question : Que propose réellement l'EP-133 et pourquoi acheter un EP-133 en 2024 ?
Vendu pour la somme de 339€, l'EP-133 c'est un sampler et séquenceur 4 pistes au format "compacte" doté d'un micro et d'un haut-parleur intégré et qui propose jusqu'à 12 voix de polyphonie en mono et 6 en stéréo avec une mémoire totale de 64Mo et un maximum de 20 secondes de sampling.
Bien que l'on puisse saluer les possibilités qu'offre son séquenceur concernant la polyrythmie, chaque piste ("groupe" selon la nomenclature Teenage Engineering) pouvant comporter un nombre de pas différents, il s'agit bien là de la seule chose qui soit un véritable "plus" pour peu que l'on souhaite en faire l'usage. Usage qui plus est limité dans la mesure où si l'on souhaite faire de la polyrythmie sur différents sons de batterie (kick, hi-hat, snare et cymbale), on se retrouve déjà avec les 4 pistes/groupes utilisés.
L'appareil ne propose qu'un effet applicable pour chaque groupe et ne propose pas de bouclage ni de reverse des samples.
Pas de fonction re-sampling non plus qui aurait pu palier aux limites de l'application d'effets et de traitements sur les sons/samples.
On peut ajouter à ça une navigation laborieuse pour trouver ses samples qui apparaissent en 1er lieu sous forme de numéros (le nom apparait partiellement et défile au bout de quelques secondes sur l'écran) à travers une liste interminable heureusement découpée en sous-groupes accessibles via la touche "shift".
Il y a bien les effets Punch-In qui ont fait le succès de la marque et notamment de la série des Pocket Operators. Ça peut être rigolo, voir fun, en particulier dans une configuration live, mais il n'est malheureusement pas possible de les enregistrer ni de les séquencer.
Enfin, niveau connectique "moderne", on retrouve un port USB qui permet seulement de sortir un mix audio stéréo dans votre DAW et de transférer des données MIDI, ce qui est évidemment mieux que rien mais qui n’apporte rien de plus que la sortie ligne analogique et les I/O MIDI en mini-jack trs.
Bref, nous sommes en 2024 et à l'heure où l'application Koala Sampler (20€ avec toutes options sur iOS et Android) propose au moins le double de fonctionnalités en plus d’une ergonomie redoutable compte tenu du support, que pour 100€ de plus on peut se tourner vers un Roland SP404 MKII au combien plus complet et polyvalent voir même encore une MPC1000 sur le marché de l'occasion, comment justifier de vendre 339€ un appareil comme le EP-133 ?
On parle bien ici de vendre plus de 300€ un outil de création musicale qui fait beaucoup moins bien que ce que ses prédécesseurs proposaient déjà il y a plus de 20 ans avec une qualité de fabrication moindre, une capacité de stockage digne des disquettes des 1er samplers, le tout sous un format dit "compacte" qui couvre tout de même la surface d'une feuille A4 une fois posé sur un bureau.
On peut toujours se rabattre sur l'argument marketing du "less is more" mais si l'on propose moins, ce qui effectivement peut stimuler davantage la créativité, pourquoi alors vendre les produits plus chères ?
Parceque c'est bien de cela qu'il s'agit, faire payer plus cher les bénéfices du moins, cad, l'absence de fonctions et de possibilités et jouer sur l'esthétique et la nostalgie des amateurs de musique.
On aurait pu au moins espérer un argumentaire marketing dans l'air du temps à base d'utilisation de plastique recyclé dans la fabrication ce qui aurait été un moindre mal…
Bref, à recommander pour qui veut améliorer sa déco et disposer un bel objet design et son packaging (fort réussi soit dit en passant) sur son étagère ou dépenser de l'argent dont il ne sait pas quoi faire.
Pour les autres, les musiciens, producteurs, beat makers, passez votre chemin et faites plutôt de la musique.
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freezerman
Pour nostalgiques de la MPC2000XL, et petit budget
Publié le 16/12/23 à 20:47(Edits 17.12.2023, 29.12.2023, 1.1.2024 et 6.1.2024 tout en bas de l’avis)
J'ai acheté ce petit sampler séquenceur parce que je le trouvais joli et que je suis très fan de mes PO33 et PO133 qui, au milieu de mes journées trop remplies, me donnent des petites respirations musicales sans avoir à allumer le studio. Je suis aussi "un peu" collectionneur de samplers/séquenceurs depuis 1998...
Alors le KO2 c'est quoi?
Pour moi c'est, de façon évidente, un clone modernisé de la MPC2000XL avec quelques améliorations et quelques trucs en moins (comme l'édition visuelle des samples). C'est aussi très proche d'un Volca Sample, mais sous stéroides alors.
En termes d'architecture la référence...…
J'ai acheté ce petit sampler séquenceur parce que je le trouvais joli et que je suis très fan de mes PO33 et PO133 qui, au milieu de mes journées trop remplies, me donnent des petites respirations musicales sans avoir à allumer le studio. Je suis aussi "un peu" collectionneur de samplers/séquenceurs depuis 1998...
Alors le KO2 c'est quoi?
Pour moi c'est, de façon évidente, un clone modernisé de la MPC2000XL avec quelques améliorations et quelques trucs en moins (comme l'édition visuelle des samples). C'est aussi très proche d'un Volca Sample, mais sous stéroides alors.
En termes d'architecture la référence...…
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(Edits 17.12.2023, 29.12.2023, 1.1.2024 et 6.1.2024 tout en bas de l’avis)
J'ai acheté ce petit sampler séquenceur parce que je le trouvais joli et que je suis très fan de mes PO33 et PO133 qui, au milieu de mes journées trop remplies, me donnent des petites respirations musicales sans avoir à allumer le studio. Je suis aussi "un peu" collectionneur de samplers/séquenceurs depuis 1998...
Alors le KO2 c'est quoi?
Pour moi c'est, de façon évidente, un clone modernisé de la MPC2000XL avec quelques améliorations et quelques trucs en moins (comme l'édition visuelle des samples). C'est aussi très proche d'un Volca Sample, mais sous stéroides alors.
En termes d'architecture la référence à la MPC2000XL est évidente:
- 4 groupes de samples (la MPC offre 4 banques de programmes).
- mode step edit avec navigation par touches +/-
- assignation rapide des samples aux Pads
- 1 slider assignable par groupe sur un paramètre: volume, fx, filtre etc, mais un seul paramètre par groupe. Les mouvements du slider s'enregistrent dans les séquences.
- édition des samples hyper basique (envelope à 2 paramètres, pitch, pas de réglage individuel de filtre sur le sample par ex.) - la MPC2000xl fait mieux sur ce terrain, avec plein de paramètres individuels d'édition de sample et 4 bus d'FX si carte FX installée)
- chaque sample peut être séquencé sur sa propre piste, et la longueur des séquences est (finalement) étendue à 99 mesures. La longueur de séquence s'applique par groupe, donc 12 pistes de sample avec la même longueur.
- le swing et le quantize (timing) (mais la MPC a beaucoup plus d'options de timing/quantize).
Le KO2 a en plus quelques gadgets, comme les punch in fx qui sont totalement inutiles selon moi (et en plus on ne peut pas les enregistrer dans les séquences), mais les avis vont différer là dessus. On s'en fiche un peu car on peut enregistrer les mouvements du slider dans les séquences, on peut donc sur une séquence enregistrer un mouvement de filtre, ou de volume, ou graduer les FX etc.
Le slider (fragile apparemment) est très utile (fondamental même), on peut contrôler avec presque tous les paramètres (filtres, FX, volume etc. mais un par un, mais par groupe de samples, pas par pad/sample (avec la MPC2000xl on peut choisir).
Comme la MPC2000xl le KO2 sonne incroyablement bien, il y a une belle dynamique sur la sortie audio. Je pense que la MPC a plus de 'patate' mais c'est subjectif.
Alors quelles sont les limites?
- Le truc a l'air fragile, c'est plastoc de partout, et les touches n'inspirent pas confiance (mais comparé à l'OPZ c'est de la top qualité).
- Les potards, comme pour les PO33 et 133, sont une horreur: déjà ils devraient être infinis, ensuite ils devraient être précis. Si vous avez déjà utilisé les PO33 vous savez de quoi je parle. Franchement ça fait un peu mal de faire de l'édition de paramètres avec ça. Comme on fait quasiment tout les paramétrages avec ces potards, on est tout le temps énervé. Bref, c'est LE POINT NOIR du KOII selon moi.
- la mémoire: 64Mb de mémoire stockée en 2023 c'est vraiment une blague. J'insiste, c'est une mauvaise blague. Au prix de la mémoire en 2023 ça parait presque une insulte.Mais c'est apparemment comme ça chez TE. Avec l'OPZ et l'OP1 on a aussi des quantités de mémoire rikiki et, disons le, totalement insuffisantes pour utiliser le sampler sans galérer.
- la polyphonie: TE annonce 12 voix, mais j'ai beaucoup de drops même avec des séquences simples et des samples mono, du coup je suis sceptique.Si on se cantonne à des samples MONO c'est gérable, méfiance avec les samples STEREO.
- les Effets: que dire, on peut choisir un bus d'effets et un seul pour les 4 groupes. C'est complètement mal pensé à mon sens, et très limité. Noter que le simple filtre est un effet, donc c'est filtre ou distorsion ou reverb... mais pas les trois
- Pas de pattern chain, et là je ne comprends pas, on a ça sur l'OPZ, sur le PO33, et pas sur le KOII? J'espère que ce sera dans une MAJ firmware. Mais jusque là on restera sur sa faim.
- La connection avec le PC se fait via un outil en ligne le SAMPLE TOOL (comme pour le Volca Sample, on dirait une copie d'ailleurs), qui est très décevant. Astuce: rester sur la page du sample tool pendant le transfert de samples, sinon le transfert s'arrête et affiche FAIL. Cet outil en ligne est d'une ergonomie plus que discutable.
- pas de fonction de save/restore sur PC: le SAMPLE TOOL permet seulement de gérér les samples en mémoire avec le PC, pas de sauvegarder/importer des projets ou des séquences, ni même la totalité du contenu du sampler. Donc une fois les 9 projets remplis, on n'a d'autre option que de les supprimer pour continuer à utiliser le KOII.
- pas de fonction sample reverse
- l'édition des samples: bon, je gardais ça pour la fin, mais c'est une abomination. Comme sur le PO33, le sample est re-trigger à chaque mouvement du potard, et comme le potard est peu précis on a un effet 'mitraillette' qui rend l'édition très désagréable. On s'y habitue, mais c'est pas terrible. Ce serait mieux d'avoir un pad pour 'play start' et un pad pour 'play end' pour écouter le sample après avoir tourné le potard.
- La fonction CHOP est relativement bien pensée, mais comme elle découpe le sample en ignorant les points START/END définis par l'utilisateur, elle donne souvent des résultats très moyens. Beaucoup de choses à revoir dans ce rayon.
(- et enfin une bizarrerie, une fois qu'on a affecté un sample à un pad, il semble presque impossible de le retirer pour que le pad redevienne silencieux (pour utiliser la piste en midi par exemple). Si on 'erase' on efface le sample de la mémoire. Peut être que j'ai raté un truc.).
Quels sont les points positifs?
- Le prix et l'encombrement limités sont très attractifs.
- Le look (c'est subjectif)
- Le fonctionnement sur piles, c'est bien aussi.
- Le fun, c'est sympa de s'en servir, c'est très immédiat, et ça sonne bien.
- Le séquenceur est très agréable à utiliser, mais pour l'édition pas à pas, on repassera.
- La longueur des séquences: de 1 à 99 mesures, au choix.
- Le son, le petit compresseur
- Le MIDI, très bonne mise en oeuvre, le truc enregistre et recrache tout ce qu'on lui envoie en MIDI, très immédiat.
- 9 banques de projet, c'est mieux que l'OP1 (OG), mais c'est moins bien que l'OPZ (16 projets).
Conclusion
Pour un sampler séquenceur de bas/milieu de gamme (entre les 100-150€ des Volca ou PO33 et les 600-800€ d'une MPCOne, d'un Polyend Tracker ou d'un Digitakt) le KOII fait bien le job. Un débutant y trouvera tout ce qu'il faut, et pourra progresser rapidement. Certaines erreurs de design (les potards, l'edition des samples, pas de pattern chain, mémoire insuffisante...) seront rédhibitoires à long terme.
En lui rajoutant un clavier maitre, et un expandeur MIDI on peut faire des trucs très sympa avec. J'avais l'habitude d'utiliser mon OPZ comme séquenceur, mais je pense que le KOII va le remplacer rapidement pour ce job là.
Edit 17.12.2023
J’ai testé le mode ’timestretch’ automatique (menu sound edit TRIM). C’est assez intuitif, mais alors le résultat est atroce sur les boucles mélodiques, et passable sur les breaks de batterie. Sur une boucle de piano l’algo génère un sifflement aigu très désagréable. Le plus bizarre c’est que l’algo semble travailler même quqnd la boucle est jouée à son tempo original. Je mets donc cette fonction dans la catégorie ’gadget’ avec les punch in effects.
- la fonction CHOP: même si le système est archi peu précis, c'est sympa de découper un sample (en mode non destructif) et d'avoir chaque segment sur un pad, mais il faut savoir que par défaut l'EP133 va mettre tous les pads du groupe dans le même MUTE GROUP, à savoir.
Le manuel en ligne... navigation pénible. Donnez moi un simple pdf plutot non?
Astuce: Pour rendre les potards un peu plus utilisables pour l’édition de paramètres on peut appuyer sur SHIFT quand on s’en sert et ils sont un peu plus précis.
Edit 29.12.2023
La gestion de la mémoire.
Vite confronté à la limite de mémoire embarquée, je dois 'faire de la place' en supprimant les samples inutilisés pour embarquer d'autres sons... alors le Sample Tool' c'est pire que nul. On imagine, en lisant le guide, que les samples en usage sont identifiés avec un marqueur orange. En vrai ce sont les samples en usage "dans le groupe et le projet sélectionnés sur la KO". Alors bonne galère pour effacer les samples 'inutilisés'. Pour ça il faut les écouter un par un, et ne pas se tromper. Difficile d'imaginer un système plus casse gueule et inefficace. Et comme on ne peut pas exporter (sauvegarder sur PC) un projet avec ses samples et ses séquences... je vous laisse imaginer. Sans une MAJ d'OS qui permettra de faire en quelques clics une sauvegarde au moins de tout l'appareil (après tout 64mb c'est pas la mer à boire), mieux encore, par projet, ce produit reste un gadget (limité à 9 projets et 64Mb de mémoire totale de sample).. Déjà qu'il manque le Pattern Chain et le mode 'reverse' pour les samples... Enfin, être obligé d'avoir une connection internet pour gérer la mémoire du sampler c'est limite comme idée. Au moins avec OP1 et OPZ on peut connecter directement l'appareil en USB et bricoler directement la mémoire.
L'enregistrement par STEP
Sur une MPC 2000xl on se met en mode step edit, on appuie sur REC, et là on peut rentrer les notes par step, avec une fonction très sympa: l'auto step, qui dès la note rentrée passe au step suivant (en fonction de la valeur du Quantize). Mais avec le KO, pour chaque step il faut 1) choisir le step, appuyer sur REC et sur le pad, relâcher le tout, puis passer au step suivant manuellement. C'est l'anti ergonomie la plus totale. Si je rentre un break de batterie sur 16 pas, je vais devoir faire 3 fois plus de pressions sur le KO que sur ma vielle MPC.
Du son non stop
Un vrai plus du KO, c'est qu'on peut tout faire sans jamais arrêter la séquence qui tourne, SAUF sampler, mais on peut éditer un sample, auditionner d'autres samples, remplacer un sample dans un pad etc. etc. C'est un workflow sans discontinuité qui est très appréciable (sauf qu'on a vite la mémoire qui se remplit... et là il faut bien s'arrêter pour faire le tri).
Edit 1.1.2024
On peut faire le undo: quand l’icone parapluie est présente à l’écran on peut faire shift+B et annuler la dernière action. Ca ne semble pas concerner la totalité des actions, mais ça rend service quand même.
Edit 6.1.2024
Le menu CHOP a un gros défaut: il ne tient pas compte du sample édité, mais de la totalité de l'onde samplée. Or le workflow normal c'est 1) enregistrer un sample 2) modifier start et end pour retirer les parties inutiles 3) découper les sons individuels pour les distribuer sur les pads. Or le KOII en mode CHOP ignore les point START et END, du coup on se retrouve avec plein de son inutile sur els pads, et des CHOPs inefficaces. Pour éviter ça il faut une grande dextérité d'échantillonnage, en gros: faire le sample parfaitement découpé au moment de la capture.
J'ai acheté ce petit sampler séquenceur parce que je le trouvais joli et que je suis très fan de mes PO33 et PO133 qui, au milieu de mes journées trop remplies, me donnent des petites respirations musicales sans avoir à allumer le studio. Je suis aussi "un peu" collectionneur de samplers/séquenceurs depuis 1998...
Alors le KO2 c'est quoi?
Pour moi c'est, de façon évidente, un clone modernisé de la MPC2000XL avec quelques améliorations et quelques trucs en moins (comme l'édition visuelle des samples). C'est aussi très proche d'un Volca Sample, mais sous stéroides alors.
En termes d'architecture la référence à la MPC2000XL est évidente:
- 4 groupes de samples (la MPC offre 4 banques de programmes).
- mode step edit avec navigation par touches +/-
- assignation rapide des samples aux Pads
- 1 slider assignable par groupe sur un paramètre: volume, fx, filtre etc, mais un seul paramètre par groupe. Les mouvements du slider s'enregistrent dans les séquences.
- édition des samples hyper basique (envelope à 2 paramètres, pitch, pas de réglage individuel de filtre sur le sample par ex.) - la MPC2000xl fait mieux sur ce terrain, avec plein de paramètres individuels d'édition de sample et 4 bus d'FX si carte FX installée)
- chaque sample peut être séquencé sur sa propre piste, et la longueur des séquences est (finalement) étendue à 99 mesures. La longueur de séquence s'applique par groupe, donc 12 pistes de sample avec la même longueur.
- le swing et le quantize (timing) (mais la MPC a beaucoup plus d'options de timing/quantize).
Le KO2 a en plus quelques gadgets, comme les punch in fx qui sont totalement inutiles selon moi (et en plus on ne peut pas les enregistrer dans les séquences), mais les avis vont différer là dessus. On s'en fiche un peu car on peut enregistrer les mouvements du slider dans les séquences, on peut donc sur une séquence enregistrer un mouvement de filtre, ou de volume, ou graduer les FX etc.
Le slider (fragile apparemment) est très utile (fondamental même), on peut contrôler avec presque tous les paramètres (filtres, FX, volume etc. mais un par un, mais par groupe de samples, pas par pad/sample (avec la MPC2000xl on peut choisir).
Comme la MPC2000xl le KO2 sonne incroyablement bien, il y a une belle dynamique sur la sortie audio. Je pense que la MPC a plus de 'patate' mais c'est subjectif.
Alors quelles sont les limites?
- Le truc a l'air fragile, c'est plastoc de partout, et les touches n'inspirent pas confiance (mais comparé à l'OPZ c'est de la top qualité).
- Les potards, comme pour les PO33 et 133, sont une horreur: déjà ils devraient être infinis, ensuite ils devraient être précis. Si vous avez déjà utilisé les PO33 vous savez de quoi je parle. Franchement ça fait un peu mal de faire de l'édition de paramètres avec ça. Comme on fait quasiment tout les paramétrages avec ces potards, on est tout le temps énervé. Bref, c'est LE POINT NOIR du KOII selon moi.
- la mémoire: 64Mb de mémoire stockée en 2023 c'est vraiment une blague. J'insiste, c'est une mauvaise blague. Au prix de la mémoire en 2023 ça parait presque une insulte.Mais c'est apparemment comme ça chez TE. Avec l'OPZ et l'OP1 on a aussi des quantités de mémoire rikiki et, disons le, totalement insuffisantes pour utiliser le sampler sans galérer.
- la polyphonie: TE annonce 12 voix, mais j'ai beaucoup de drops même avec des séquences simples et des samples mono, du coup je suis sceptique.Si on se cantonne à des samples MONO c'est gérable, méfiance avec les samples STEREO.
- les Effets: que dire, on peut choisir un bus d'effets et un seul pour les 4 groupes. C'est complètement mal pensé à mon sens, et très limité. Noter que le simple filtre est un effet, donc c'est filtre ou distorsion ou reverb... mais pas les trois
- Pas de pattern chain, et là je ne comprends pas, on a ça sur l'OPZ, sur le PO33, et pas sur le KOII? J'espère que ce sera dans une MAJ firmware. Mais jusque là on restera sur sa faim.
- La connection avec le PC se fait via un outil en ligne le SAMPLE TOOL (comme pour le Volca Sample, on dirait une copie d'ailleurs), qui est très décevant. Astuce: rester sur la page du sample tool pendant le transfert de samples, sinon le transfert s'arrête et affiche FAIL. Cet outil en ligne est d'une ergonomie plus que discutable.
- pas de fonction de save/restore sur PC: le SAMPLE TOOL permet seulement de gérér les samples en mémoire avec le PC, pas de sauvegarder/importer des projets ou des séquences, ni même la totalité du contenu du sampler. Donc une fois les 9 projets remplis, on n'a d'autre option que de les supprimer pour continuer à utiliser le KOII.
- pas de fonction sample reverse
- l'édition des samples: bon, je gardais ça pour la fin, mais c'est une abomination. Comme sur le PO33, le sample est re-trigger à chaque mouvement du potard, et comme le potard est peu précis on a un effet 'mitraillette' qui rend l'édition très désagréable. On s'y habitue, mais c'est pas terrible. Ce serait mieux d'avoir un pad pour 'play start' et un pad pour 'play end' pour écouter le sample après avoir tourné le potard.
- La fonction CHOP est relativement bien pensée, mais comme elle découpe le sample en ignorant les points START/END définis par l'utilisateur, elle donne souvent des résultats très moyens. Beaucoup de choses à revoir dans ce rayon.
(- et enfin une bizarrerie, une fois qu'on a affecté un sample à un pad, il semble presque impossible de le retirer pour que le pad redevienne silencieux (pour utiliser la piste en midi par exemple). Si on 'erase' on efface le sample de la mémoire. Peut être que j'ai raté un truc.).
Quels sont les points positifs?
- Le prix et l'encombrement limités sont très attractifs.
- Le look (c'est subjectif)
- Le fonctionnement sur piles, c'est bien aussi.
- Le fun, c'est sympa de s'en servir, c'est très immédiat, et ça sonne bien.
- Le séquenceur est très agréable à utiliser, mais pour l'édition pas à pas, on repassera.
- La longueur des séquences: de 1 à 99 mesures, au choix.
- Le son, le petit compresseur
- Le MIDI, très bonne mise en oeuvre, le truc enregistre et recrache tout ce qu'on lui envoie en MIDI, très immédiat.
- 9 banques de projet, c'est mieux que l'OP1 (OG), mais c'est moins bien que l'OPZ (16 projets).
Conclusion
Pour un sampler séquenceur de bas/milieu de gamme (entre les 100-150€ des Volca ou PO33 et les 600-800€ d'une MPCOne, d'un Polyend Tracker ou d'un Digitakt) le KOII fait bien le job. Un débutant y trouvera tout ce qu'il faut, et pourra progresser rapidement. Certaines erreurs de design (les potards, l'edition des samples, pas de pattern chain, mémoire insuffisante...) seront rédhibitoires à long terme.
En lui rajoutant un clavier maitre, et un expandeur MIDI on peut faire des trucs très sympa avec. J'avais l'habitude d'utiliser mon OPZ comme séquenceur, mais je pense que le KOII va le remplacer rapidement pour ce job là.
Edit 17.12.2023
J’ai testé le mode ’timestretch’ automatique (menu sound edit TRIM). C’est assez intuitif, mais alors le résultat est atroce sur les boucles mélodiques, et passable sur les breaks de batterie. Sur une boucle de piano l’algo génère un sifflement aigu très désagréable. Le plus bizarre c’est que l’algo semble travailler même quqnd la boucle est jouée à son tempo original. Je mets donc cette fonction dans la catégorie ’gadget’ avec les punch in effects.
- la fonction CHOP: même si le système est archi peu précis, c'est sympa de découper un sample (en mode non destructif) et d'avoir chaque segment sur un pad, mais il faut savoir que par défaut l'EP133 va mettre tous les pads du groupe dans le même MUTE GROUP, à savoir.
Le manuel en ligne... navigation pénible. Donnez moi un simple pdf plutot non?
Astuce: Pour rendre les potards un peu plus utilisables pour l’édition de paramètres on peut appuyer sur SHIFT quand on s’en sert et ils sont un peu plus précis.
Edit 29.12.2023
La gestion de la mémoire.
Vite confronté à la limite de mémoire embarquée, je dois 'faire de la place' en supprimant les samples inutilisés pour embarquer d'autres sons... alors le Sample Tool' c'est pire que nul. On imagine, en lisant le guide, que les samples en usage sont identifiés avec un marqueur orange. En vrai ce sont les samples en usage "dans le groupe et le projet sélectionnés sur la KO". Alors bonne galère pour effacer les samples 'inutilisés'. Pour ça il faut les écouter un par un, et ne pas se tromper. Difficile d'imaginer un système plus casse gueule et inefficace. Et comme on ne peut pas exporter (sauvegarder sur PC) un projet avec ses samples et ses séquences... je vous laisse imaginer. Sans une MAJ d'OS qui permettra de faire en quelques clics une sauvegarde au moins de tout l'appareil (après tout 64mb c'est pas la mer à boire), mieux encore, par projet, ce produit reste un gadget (limité à 9 projets et 64Mb de mémoire totale de sample).. Déjà qu'il manque le Pattern Chain et le mode 'reverse' pour les samples... Enfin, être obligé d'avoir une connection internet pour gérer la mémoire du sampler c'est limite comme idée. Au moins avec OP1 et OPZ on peut connecter directement l'appareil en USB et bricoler directement la mémoire.
L'enregistrement par STEP
Sur une MPC 2000xl on se met en mode step edit, on appuie sur REC, et là on peut rentrer les notes par step, avec une fonction très sympa: l'auto step, qui dès la note rentrée passe au step suivant (en fonction de la valeur du Quantize). Mais avec le KO, pour chaque step il faut 1) choisir le step, appuyer sur REC et sur le pad, relâcher le tout, puis passer au step suivant manuellement. C'est l'anti ergonomie la plus totale. Si je rentre un break de batterie sur 16 pas, je vais devoir faire 3 fois plus de pressions sur le KO que sur ma vielle MPC.
Du son non stop
Un vrai plus du KO, c'est qu'on peut tout faire sans jamais arrêter la séquence qui tourne, SAUF sampler, mais on peut éditer un sample, auditionner d'autres samples, remplacer un sample dans un pad etc. etc. C'est un workflow sans discontinuité qui est très appréciable (sauf qu'on a vite la mémoire qui se remplit... et là il faut bien s'arrêter pour faire le tri).
Edit 1.1.2024
On peut faire le undo: quand l’icone parapluie est présente à l’écran on peut faire shift+B et annuler la dernière action. Ca ne semble pas concerner la totalité des actions, mais ça rend service quand même.
Edit 6.1.2024
Le menu CHOP a un gros défaut: il ne tient pas compte du sample édité, mais de la totalité de l'onde samplée. Or le workflow normal c'est 1) enregistrer un sample 2) modifier start et end pour retirer les parties inutiles 3) découper les sons individuels pour les distribuer sur les pads. Or le KOII en mode CHOP ignore les point START et END, du coup on se retrouve avec plein de son inutile sur els pads, et des CHOPs inefficaces. Pour éviter ça il faut une grande dextérité d'échantillonnage, en gros: faire le sample parfaitement découpé au moment de la capture.
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Extraits audio
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Fiche technique
- Fabricant : Teenage Engineering
- Modèle : EP-133 K.O. II
- Série : EP
- Catégorie : Séquenceurs Sampleurs
- Poids du colis : 784 g
- Fiche créée le : 22/11/2023
- Date de sortie : novembre 2023
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Séquenceurs Sampleurs concurrents
Autres catégories dans Séquenceurs matériels
Autres dénominations : ep133koii, ep133 koii, ep133 k o ii, ep 133k o ii, ep 133 k o ii, ep 133 k o 2, ep133ko ii, ep133 ko ii, ep133 k o ii, ep133 k o 2, ep 133k o ii, ep 133k o 2, ep133, K.O. II, KO II, K.O. 2, KO2