Sujet de la discussionPosté le 21/02/2018 à 17:44:02Commentaires sur le test : Quand l’analo coule à flot !
35 ans après la sortie du Moog Source, la jeune société Baloran pousse le concept à son paroxysme. The River, bien plus qu’un synthé analogique polyphonique multitimbral, est fait de pragmatisme, modestie, talent et innovation. Un instrument hors norme !
chacun son point de vue mais on peut se dire aussi que les 5000 euros en home studio, c'est vite atteint...
Donc plutôt que diluer la somme entre plusieurs appareils / machines, on peut aussi choisir de concentrer ses forces sur un seul produit avec un max de valeur ajoutée ( notamment produire des sons uniques, des émotions particulières )
Exact, et surtout des The River il n'y en aura pas des centaines (a priori) qui tourneront dans le monde... ça sera vite une machine de légende, avec un son qui sera très difficile à imiter, donc ça donnera une signature sonore bien particulière à nos morceaux ! Et ça, selon moi, ça vaut clairement l'investissement initial !
Je viens de voir la vidéo de l'interview de Baloran, son humilité l'honore et souligne intelligement les limitations de son concept. C'est un technicien dans l'âme et non un chef d'entreprise comme le dit, d'autant que sa création ne le fait pas vivre si j'ai bien compris.
C'est là qu'il faut un investisseur et une structure industrielle...
A l'IPEM à Gand, ils contrôlent des synthés virtuels avec ce genre de vélo.
Pour ce que j'en sais ils n'ont pas réussi à contôler le Synthi 100 de cette façon, mais il donne bien en décor de fond.
C'est pas beau le progrès ?
C'est marrant, je n'arrive pas à m'emballer pour le linnstrument. Même avec le River qui a déjà une belle expressivité avec le clavier. Il y a toujours un aspect à côté de la plaque dans les modulations je trouve. Pourtant j'aime le concept et la façon dont a été pensé le truc par Gert et Roger mais je continue à préférer ce qui sort d'un theremin ou d'un haken continuum. Ils vont bientôt en sortir une version abordable, je pourrais me laisser tenter. Mais merci pour la démonstration
Cher Laurent, il faut vraiment trouver le moyen d'industrialiser le processus de fabrication et de distribution, sans y perdre son âme, parce que à raison de 20 machines produites par trimestre ou semestre, c'est trop triste de rêver à ce bel instrument tout en sachant qu'on ne pourra jamais mettre les mains dessus.