[SONDAGE] Les presets et vous
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- 1 Un peu de tout tant que ça sonne (81 - 51%)
- 2 Principalement des sons programmés et mémorisés par vous-même (46 - 29%)
- 3 Principalement des presets ou des banques de patches toutes faites (24 - 15%)
- 4 Principalement des synthés sans mémoires (9 - 6%)

Krapod

[ Dernière édition du message le 30/11/2017 à 20:44:16 ]

Nyark

L'un étant peut être lié à l'autre....

erewhon

Là où les mémoires sont particulièrement utiles...
...c'est quand tu reviens sur un projet ou une exquise quelques temps plus tard et que le son lui est particulièrement approprié...
Sinon, question existentielle, un Preset retravaillé n'en est plus un à partir de quel taux de modification, un, deux, trois paramètres "chipoter", faudrait peut être légiférer ou tout au moins acter pour faire jurisprudence???
Le plus majestueux des chênes n'était autrefois rien d'autre qu'un pauvre gland...

Beatless

pour pallier à l'absence de mémoire, dans le temps, on reportait ses réglages favoris sur des fiches/cahiers.
La mémoire était aussi la tête du gars qui règle le synthé.

un Preset retravaillé n'en est plus un à partir de quel taux de modificatio
Changement de forme d'onde et/ou des enveloppes et/ou du filtre. Exit la vitesse du LFO.

S'il n'y a pas de solution, c'est qu'il n'y a pas de problème.

twistgrave

Les entrées CV servent surtout à faire varier le son en temps réel à partir d'un séquenceur analo, pas vraiment à stocker des sons. Pourquoi ? Parce que le fait d'envoyer une tension va décaler le réglage du module par rapport à la position physique de la commande. Donc ceci pourrait fonctionner si on ne touchait jamais aux potards d'un synthé sans mémoire, ce que personnellement je n'ai jamais vu (à part dans les légendes urbaine du gars qui collait les commandes pour ne pas perdre les réglages). De plus, c'est inopérant sur les sélecteurs, donc assez moyen pour stocker les sons...
Je suis obligé de te répondre et préciser ma façon de travailler : premièrement, je prends une photo du patchage des câbles et des régalages de potards ( VCO, Filtre, Enveloppe) . Deuxièmement, tout ce que je rentre en tension de service et modulation, je les rentre dans un multiple , une dans le module et l'autre que je revois dans un module CV To midi dans mon logic via mon interface midi, ça marche très bien et facto prend même en compte les modulations que je fais à la main avec des off set et atténuateur pour le filtrage , les tensions de VCA pour de la vélocité et longueur de note , les séquentiel switch qui ne serve pas qu'à contrôler mes rangs de séquence ( passer d'une modulation à une autre, d'un filtre a un autre , et bien d'autres application , voire les enveloppes suivant celle que j'utilise et qui me le permette ) , tout est rentré dans le logiciel ce qui me permet de les renvoyer ensuite en midi To CV ( DY doeopfer MTV 16, 16 contrôleurs, j'en ai deux et surement bientôt un troisième) , je te l'accorde ça paraît fastidieux mais c'est vite fait quand même, et de faite je retrouve normalement si mes petits neurones fonctionnent bien à l'instant du re patchage de retrouver le son initial ... C'est l'avantage et la flexibilité du modulaire, et je l'exploite pleinement avec les technologies moderne . Je ne sais pas si comme tu dis " à part dans les légendes urbaines du gars qui collait les commandes pour ne pas perdre les réglages " existe, mais en tout cas je fonctionne comme ça et ça marche presque aussi bien qu'une banque de son d'un synthé moderne..

chapolin

Sinon, question existentielle, un Preset retravaillé n'en est plus un à partir de quel taux de modification, un, deux, trois paramètres "chipoter", faudrait peut être légiférer ou tout au moins acter pour faire jurisprudence???
Je me suis effectivement, également, posé cette cruciale et sensible question ...

Jep80

Ce manque de mémoire me rend d’autant plus admiratif des musiciens de cette époque qui malgré les contraintes, ont composé de petits chefs-d’œuvre. D’ailleurs, j’aurais été curieux d’assister à une répétition de Tangerine dream (ils devaient avoir un sacré paquet de cahiers pour noter les patchs


kosmix

on peut faire de la musique qui tue avec des sons de merde, ou faire de la musique de merde avec des sons qui tuent, et inversement.
Moi encore mieux : je fais de la musique de merde avec des sons de merde

Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?

falkenmaze



kosmix



Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?

erewhon



Le plus majestueux des chênes n'était autrefois rien d'autre qu'un pauvre gland...

chapolin


Will Zégal

vant tout chose, je sais bien que la grande majorité des instruments de musique n’a pas de sons programmés en mémoire, ce qui n’est pas vraiment un problème pour la plus part des musiciens ( mon violoncelle ne fait que des sons de violoncelle et cela me va très bien)
Ben si : ton violoncelle a un seul preset : le son du violoncelle. Preset que tu modifies légèrement par ton jeu. Mais tu n'en changeras pas fondamentalement le timbre, en effet.
Pour répondre à ta question avec les synthés sans mémoire, je dirais qu'il "suffit" de savoir comment ça marche. Pour te faire une analogie, c'est un peu comme un débutant qui te demanderait comment tu fais pour accorder ton violoncelle sans accordeur électronique.
C'est pareil sur un synthé : quand tu sais que telle forme d'onde va donner tel type de son, que le filtre agit et réagit de telle façon et comment régler une enveloppe pour obtenir un son de type piano, orgue ou nappe, ben c'est tout de même assez rapide de faire un son qui ressemble peu ou prou à ce que tu as en tête.
Après, ben on peaufine les réglages.
Mais en ce qui me concerne, aujourd'hui le délire quand je suis face à un synthé sans mémoire, c'est beaucoup de me laisser porter. Je fais tourner une séquence ou je joue un riff et en triturant le son, celui m'amène à explorer telle ou telle direction. C'est essentiellement un travail sur la matière sonore.
C'est aussi pour ça que ça n'est pas tellement compatible avec mon travail en groupe où là, il faut retrouver immédiatement le son tel qu'il a été fait pour tel morceau où il joue un rôle précis par rapport aux autres instruments. Ce qui n'empêche pas de faire évoluer le son pendant le morceau, mais on n'arrivera pas à un changement radical du son comme il peut se passer sur un live 100% électro.

Will Zégal

Concernant le vocabulaire, déjà. Pour moi, c'est assez clair "preset" = "pre" + set" = préréglé. Pour moi, les presets sont les sons d'usine ou éventuellement les banques de sons supplémentaires acquises.
Les sons que l'on a soi-même réalisés, ce sont des patchs.
Mon rapport aux presets est simple : si ça sonne, si ça colle à ce que je veux faire, je prends.
C'est d'ailleurs très souvent le cas en répétition en groupe, lors de la phase de composition d'un nouveau morceau. Les autres détestent (et je les comprends) poireauter pendant que je triture mes boutons. Donc, la plupart du temps, je prends un preset (ou parfois un patch déjà utilisé sur un autre morceau) pour cette première phase, quitte à le modifier rapidement pour l'adapter au contexte.
Ensuite, lorsque je travaille seul, c'est là que je prends le temps de travailler tout ça en profondeur pour la prochaine répétition. Je peux alors soit simplement modifier le preset ou le patch pour l'adapter, soit repartir carrément sur un nouveau son différent.
Il arrive aussi souvent que le morceau ne se construise pas en répétition, mais qu'on se contente d'enregistrer des thèmes, un riff, une idée. Je travaille alors directement à partir de cet enregistrement. Là, je crée le plus souvent les sons de A à Z, y compris pour les drums. Souvent, ça va finalement plus vite que de fouiller dans des banques de presets et de les adapter.
Il arrive aussi que ce soit moi qui arrive avec une proposition de base électro pour un morceau. Là, ça peut avoir fait uniquement à partir de sons créés ou être parti d'un preset qui m'aura inspiré, et que j'aurai ou pas adapté.
Bref, il n'y a pas de règle.
Seulement, deux tendances contradictoires :
- d'un côté, ça ma gonfle de plus en plus de parcourir des banques de presets à la recherche DU son que je veux. Donc, je programme de plus en plus souvent directement
- d'un autre côté, il y a la question de la maîtrise du synthé ou de la synthèse. Par exemple, je maîtrise mal la synthèse FM (je m'y remets). Si je pars d'un truc sur mon DX-7 (ou FM7 ou Dexed), je vais rarement passer du temps sur le patch pour un résultat aléatoire et souvent l'utiliser tel quel. C'est aussi vrai pour quelques synthés virtuels qui sonnent bien, mais dont je ne maîtrise pas encore l'utilisation. C'est pas exemple le cas de Form que je n'ai pas eu le temps de bosser. Contre ça, je réduis considérablement mon nombre de synthés (hardware comme virtuels) pour recentrer mon set-up sur une poignée de synthés, mais que je maîtriserai parfaitement. Parce que je trouve particulièrement relou de trouver un preset qui sonne, m'inspire, mais qu'il faille sortir les avirons pour l'adapter au besoin que j'ai. C'est dans cette optique que je n'ai pas acheté un truc comme Omnisphère. De plus en plus, je préfère les synthés assez simples, quitte à les blinder d'effets derrière. Parce que j'aime au moins autant délirer avec les effets que sur la synthèse elle-même.
![[d-_-b] [d-_-b]](https://img.audiofanzine.com/img/user/avatar/8/8/885479.jpg?w=40&h=40&fm=pjpg&s=594492d1a968c69dd22a929ba2eebb00)
[d-_-b]

De mon coté c'est plutôt "les mains dans le cambouis" et mon live n'avance pas...
L'un étant peut être lié à l'autre....
haha je me reconnais dans cette phrase.
Pour ma part c'est principalement sans mémoire, y compris la boite à rythme. Je rejoins Will sur plusieurs points : quand on connaît ses machines et qu'on sait où on veut aller c'est très rapide. Et c'est aussi très gratifiant de se laisser porter par ses machines ainsi. Quand je veux aller vite et faire un changement plus radical, comme d'un preset à un autre, je loop, je change mes potards pendant que la loop joue et je fais venir mon nouveau "preset" pour remplacer la loop.
J'ai pris des photos pendant un temps mais je ne les utilises pas au final... S'il y a vraiment un son que je veux garder tel quel je le sample.
Par contre j'enregistre mes séquences, je suis pas mazo non plus ^^

kosmix

Je fus à une époque un grand consommateur de presets. Quand j'ai débuté la MAO avec des trackers sur Amiga je n'avais même pas de quoi échantillonner mes propres sons, donc je passais obligatoirement par des samples pêchés ici et là sans autorisation (principalement rippés à partir de jeux et démos, ceux qui ont connu cette époque comprendront). Ensuite quand j'ai pu m'acheter mes premiers synthés (un D-10 notamment qui fut mon premier "vrai" synthé) j'ai appris à m'en servir progressivement car la synthèse sonore m'était alors totalement inconnue (et a synthèse L.A. ainsi que l'interface du D-10 ne sont pas les plus simples) et la mémoire limitée des machines de l'époque faisait qu'on les connaissait quasiment par-cœur. L'usage des sons tout faits tout prêts était donc habituelle. D'autant plus que j'utilisais à l'époque bien plus de sons "acoustiques" (pseudo) "réalistes" pour lesquels le sound design n'était pas nécessaire (tu veux un son de piano ? ok j'ai un son de piano, tu veux un orgue ok j'en ai 2 ou 3...) et puis à l'époque la notion de "sound design" je dois avouer que ça m'était totalement inconnu. Bon d'accord on peut trifouiller les sons, c'est marrant des fois ça peut donner des trucs bien, ou pas

C'est avec le JP-8080 que j'ai vraiment commencé à comprendre la synthèse soustractive et créer mes propres sons (plus par expérimentation que par réelle maîtrise) alors que j'utilisais encore pas mal de presets car ils correspondaient à ce que je recherchais à l'époque.
Aujourd'hui j'ai plein de machines et des banques de sons à ne plus savoir qu'en faire. Certaines parcourues une seule fois en me disant pour plein de sons "tiens il faudrait que je fasse un morceau avec ce son" et puis tu oublies car tu ne peux plus mémoriser ton "stock".
Finalement j'utilise beaucoup de synthés sans mémoires car justement ils permettent (ils obligent à) l'exploration et la création. Si je kiffe vraiment un son je note ses réglages dans mon cahier "banque de sons".
Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?
[ Dernière édition du message le 04/12/2017 à 18:19:06 ]

Will Zégal


chapolin

Ben si : ton violoncelle a un seul preset : le son du violoncelle. Preset que tu modifies légèrement par ton jeu. Mais tu n'en changeras pas fondamentalement le timbre, en effet.
Pardonnez moi de m'éloigner à nouveau un instant du sujet, mais je voudrais ajouter un petit éclairage. En effet il ne viendrait à l'idée d'aucun violoncelliste de remettre en cause la présence de l’orgue à tuyaux au panthéon des instruments traditionnels, et je dirais même plus, une présence dont l'importance est tout aussi louable que celle des instruments les plus prestigieux pouvant s'y trouver. On peut renchérir que l'orgue puise ses sources au IIIème siècle avant JC alors que le violoncelle est apparût bien tardivement au XVIème siècle (presque deux millénaires plus tard). Si l'on y regarde de plus près on ne manquera pas de noter que les orgues sont constitués de jeux formés par un ensemble complet de tuyaux correspondant à toute la tessiture de l'instrument. Un jeu = 1 timbre ou 1 son. Les orgues simples ont un jeu et plus ils sont riches et plus ils ont de jeux et donc de sons. En cela on ne peut manquer de faire une certaine analogie avec les synthétiseurs analogiques. Un son = toute une chaîne électronique allant du vco au vca et il faut multiplier ce circuit autant qu'on veut de voix ... Mais çà va plus loin car dans l'orgue classique on mélange les jeux pour fabriquer des sonorités plus complexes. On appelle çà des registrations. Chaque jeu possède une tirette et on tire dessus pour l'actionner. Ainsi il faut mémoriser ou noter les registrations d'un morceau et elles peuvent évoluer au cours de ce morceau. Bien souvent les organistes profitent de quelqu'un d'un peu expérimenté sur le lieu du concert pour leur tirer les jeux. Et sur certains orgues on a adapté des systèmes de mémoires mécaniques, pneumatiques, électriques ou numériques. Dans les grandes lignes les synthétiseurs modernes n'ont donc pas tout inventé et la question des patchs (registration), presets (en orgue il y a des sonorités traditionnelles bien établies à bases de jeux spécifiques) et de la mémorisation sont une préoccupation traditionnelle.
[ Dernière édition du message le 04/12/2017 à 21:36:01 ]

Jep80

Programmer un patch sur un synthétiseur un bouton/une fonction, va très vite, je peux le faire tout en jouant, et me laisser porter dans différentes directions sonores, alors que sur un appareil avec plein de menus et sous-menus, je suis obligé de m’arrêter de jouer, pour pouvoir me consacrer entièrement à la programmation ce qui me coupe complètement de mon flux créatif. Aussi, sur ce genre d’appareil j’aurais plutôt tendance à utiliser des presets .
Par contre le fait de pouvoir mémoriser mes patchs me permet d’enregistrer un instant donné dans mon improvisation, de manière rapide et sans couper mon élan créatif. C’est pour ça que je vois les synthétiseurs sans mémoires comme des instruments d’improvisation constante...
Concernant les orgues, je suis d’accord avec toi chapolin800, d’ailleurs, les orgues sont parmi les premiers instruments à avoir été électrifiés. Par contre dans ce contexte, il vaut mieux voir le violoncelle par rapport à sa famille d’instrument, c’est à dire les cordes frottées qui apparaissent bien avant le XVI ieme siècle

kosmix


Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?

twistgrave

Moi je prends justement des notes quand je tombe sur des sons potentiellement intéressants. Des fois, je reviens sur ces notes. Il peut parfois arriver que je ne retrouve absolument pas l'intérêt qu'avec alors suscité un son, mais parfois, ça fait une base pour un morceau.
Si je comprends bien, tu repères des sons qui t'intéressent mais au final ça ne marche pas à tous les coups . Donc quitte à perdre du temps à écouter tes bases de données, le mettre à profit pour le créer directement serait peut-être plus judicieux . Vaste débat .

Neurophage

J'en reviens au modulaire, ou j'avais lancé comme une boutade que le patch de câble c'est la mémoire... mais quelques parts, pour du patch simple c'est le cas. J'ai mes routines de câblages qu'a force de faire et défaire je connais par cœurs, idem pour les réglages de potard. Par contre si je veux du drone génératif, ou du patching tordu du cul avec double modulation sur LFO complexe lui même modulé en vitesse la clairement ce sera impro à chaque coup.
De plus ça m'est arrivé de copier des patchs un peu exotique sur des vidéos youtube, histoire de voire et d'apprendre... forcement tu ne copies pas à l'identique et tu dérives avant d'en faire une track ou un live, mais on est pas dans la création pur d'un circuit de synthèse.
PS: Bien vu Chapolin800 pour l'orgue.

chapolin

Citation :il vaut mieux voir le violoncelle par rapport à sa famille d’instrument, c’est à dire les cordes frottées qui apparaissent bien avant le XVI ieme siècle
Oui tu n'as pas tort (je reconnais avoir été taquin limite de mauvaise fois sur ce coup là, mille excuses). Cela dit en fouillant sur le net je n'arrive pas à trouver d'origine précise des cordes frottées, le plus loin que j'ai vu, des instruments datant de plus d'un millénaire en Chine ... Pour les flûtes on remonte à 45000 ans avec une flûte en os d'ours (çà devait être celle de Rahan).

twistgrave

Hum, ça dépend grandement de ta connaissance de la machine, et aussi de ça complexité.
J'en reviens au modulaire, ou j'avais lancé comme une boutade que le patch de câble c'est la mémoire... mais quelques parts, pour du patch simple c'est le cas. J'ai mes routines de câblages qu'a force de faire et défaire je connais par cœurs, idem pour les réglages de potard. Par contre si je veux du drone génératif, ou du patching tordu du cul avec double modulation sur LFO complexe lui même modulé en vitesse la clairement ce sera impro à chaque coup.
De plus ça m'est arrivé de copier des patchs un peu exotique sur des vidéos youtube, histoire de voire et d'apprendre... forcement tu ne copies pas à l'identique et tu dérives avant d'en faire une track ou un live, mais on est pas dans la création pur d'un circuit de synthèse.
PS: Bien vu Chapolin800 pour l'orgue.
Salut Neurophage . Pour la connaissance de ta machine rien à dire on se doit tous de la connaitre pour l'exploité pleinement ça on est d'accord à 100% . Pour ce qui est des patchs modulaires, personnellement la seule routine que j'ai, c'est quand je veux un son à la moog de base , soit VCO, Mixer, Filtre, VCA, Enveloppe ( routing classique de tout synthé depuis ), pour tout autres applications, je ne vois pas forcément de routine de câblages car ce ne serai jamais les mêmes . Quant au drone, j'avoue que je ne suis pas un fan absolu en la matière, je préfère une belle nappe ésotérique et la faire dérivé dans l'espace-temps, ceci dit avec plus ou moins les mêmes méthodes que tu décris . Il ni y a pas de règle établie . Donc oui si tu restes dans l'ordre des choses dans la création "pure" d'un circuit de synthèse, tu feras le même patch, mais c'est modulaire, donc s'obliger de sortir des sentiers battu . Attention, ce n'est pas une critique envers ta façon de faire loin de la ( d'ailleurs je ne me permettrais pas ne te connaissant pas ) mais plus une interprétation au vu de la lecture de ton poste .

Neurophage


Pour ce qui est des patchs modulaires, personnellement la seule routine que j'ai, c'est quand je veux un son à la moog de base , soit VCO, Mixer, Filtre, VCA, Enveloppe ( routing classique de tout synthé depuis )
Oui c'est globalement ce que j'entendais, même si j'ai quelques routines sur certain patch plus exotique, notamment ceux que j'utilise en live ou pour des sessions de jam, mais aussi des routines qui me servent de base pour aller vers des patchs plus complexe.

twistgrave


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