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réactions au dossier In studio with Blanc-Francard & Schmitt

  • 623 réponses
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  • 76 followers
Sujet de la discussion In studio with Blanc-Francard & Schmitt
A l'occasion de la sortie de Pro Tools 10 et du système Pro Tools HDX, AVID a tourné une interview de Dominique Blanc-Francard et Bénédicte Schmitt dans leur studio Labomatic.

Lire l'article
 


Ce thread a été créé automatiquement suite à la publication d'un article. N'hésitez pas à poster vos commentaires ici !
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411

Citation de : Jan

Et puis, sans vouloir en remettre une couche, les avis négatifs récents sont d'autant plus intéressants lorsqu'ils sont éclairés par l'écoute des productions des auteurs des critiques. On comprends pourquoi ils ne jugent pas utile la collaboration d'un réalisateur, pourtant on aurait souhaité qu'ils en aient eu un, il aurait certainement eu du travail mrgreen

JM

 

Nous ce n'est pas notre taff ;) Enfin pour moi ^^

412

Ce qui ne t'empêche pas d'avoir un avis sur le travail de professionnels sans réellement savoir ce qu'ils apportent aux créations de leurs clients.

JM

413

Haha ... j'adore quand ça pique :)

Tu as certainement raison ...

Je suis qd meme persuadé que ce genre de gars sont la pour palier un manque de créativité des artistes ...

Laisse donc un artiste se prendre 2/3 claques, il évoluera, assiste le et ...

Bref, je ne suis pas la pour débattre, je te comprend ... peut être est ce indispensable, moi je crois que Led Zep, Deep purple, ou the Who ils en avaient rien a foutre de ce que pouvait penser les gens :)

 

[ Dernière édition du message le 09/11/2011 à 22:43:40 ]

414

Citation de EddyA :

Laisse donc un artiste se prendre 2/3 claques, il évoluera

 

J'aimerais vraiment avoir ton optimisme, mon expérience est tout autre. Certains évoluent, mais ils sont minoritaires. Le réalisateur n'est pas indispensable (personne ne l'affirme, et pas moi en tous les cas). Mais d'un autre côté, la question est de savoir s'il est nécessaire de savoir tout faire dans la chaîne de prod pour être un artiste intéressant. Pour moi, la réponse est clairement non. On peut rapprocher ça de beaucoup d'autres domaines artistiques. Nombre d'auteurs de bande dessinées n'écrivent pas leurs scénarios, et ne font pas les couleurs par exemple.

Un artiste devrait-il se priver du talent de quelqu'un qui peut apporter un plus à sa création s'il éprouve des limites dans certains domaines, et ces limites en font-il un artiste sans intérêt ?

JM

415
ah la théorie de l'artiste complet : cet espèce d'argument sans fondement similaire "au moi je" sous pretexte qu'un artiste fasse tout de A à Z, il se proclame artiste complet en rabaissant ses camarades et autres concurrents.

On retrouve aussi cet argument chez les fans défendant son artiste préféré : Oui tu sais Coldplay il fait tout lui au moins pas comme...machin

Pour moi les artistes complets sont ceux ayant le plus de fan, comment etre complet autrement ?
416
Citation :
comment etre complet autrement ?

En jouant dans des petites salles....c'est plus vite complet....:mdr:

Studio de Mastering en ligne http://www.lvmastering.com/

417
la complétitude est une attitude à faire fonctionner une chaine, de l'ingé son au disquaire, jusqu'au salles de concert, les clippeurs, faire bosser tous les métiers gravitant, une réèle participation à l'industrie.

Cet espèce d'égoisme consistant à faire de la musique pour sois et faire tous sois meme et cela peu importe ce que penseront les autres va contre la stratégie de complétitude
418
Kapam, la musique (comme tous les arts) n'a pas vocation à être exclusivement à but commercial.

La prononciation, c'est important !

419
Désolé je me suis pas tapé tout le thread, mais
Je crois que les remarques 'acerbes':D: portent aussi sur le genre de musique associé à la démarche de ces 2 "réalisateurs", à savoir la variété française, qui n'est pas non plus à vrai dire du tout ma tasse de thé.
Cela mis à part, nul doute que les collaborations de Gil Evans ou Teo Macero avec Miles Davis, Nigel Godrich avec Radiohead, Warhol avec Lou Reed et le Velvet ou encore Steve Albini avec Nirvana, (bref y'a des centaines d'exemples) ont influencé le travail de ces artistes sans doute positivement, les ont amené vers des voies qu'ils n'auraient pas explorés d'eux-même, sans pour autant 'trahir' leur démarche.
A l'inverse on trouve des artistes, qui n'acceptent aucun compromis ni concession dans leur travail, ni à l'égard de réalisateurs, ni de l'industrie, ni du public, et c'est à mon avis tout aussi respectable, car ceux qui font ce choix-là acceptent aussi d'en payer le prix.

Je ne sais pas si une 'catégorie' d'artiste est meilleure que l'autre: du moment, le comme dit Jean-Jacques, que la musique est bonne...
420
c'est la consequence : une musique deviens commerciale car l'artiste touche des fans. faire appel au métier gravitant implique d'etre dépassé par les évenements car une grande communauté de fans s'est join à l'artiste.

Celui ayant très peu de fan, n'aura pas besoin de s'entourer car il arrive a tout gérer lui meme, et se réconforte dans sa position de looser en disant qu'il est complet (il fait tout lui meme).

Une musique a vocation de plaire au peuple et donc de toucher des fans, le cercle de fan grandit l'artiste se rapproche de la complétitude.

Le commerce lié est une conséquence