Ambient Music, mondes imaginaires et voix de l'éther

Un poil répétitif mais plutôt plaisant. ddn je suis passé sur ton blog sur arte et je voulais savoir si ce genre d'espace est payant?

J'écoute le haiku 37: j'aime beaucoup! Je me suis d'ailleurs acheté tout recemment un alesis micron. J'avoue que vu tes précédents post je m'attendais pas à ce genre de créations.

En fait ce qui m'a plu sur l'aménagement du blog c'est le coté épuré et très direct pour la musique.

Citation de ddn :

je poste de l'ambient de la face sombre - pas les machins illbient / noisebient plus ou moins sataniques à la cold meat, je trouve ça un peu insupportable, mais de l'ambient où le calme garde le souvenir de la violence. Parfois la violence elle même est au centre, mais elle ne me semble pas gratuite.

Je comprends ce que tu veux dire dans ta vision et ça me parait complémentaire à la mienne vu que ma culture de fond comme tu l’appelles est tout ce qu'il y a de plus banal, j'ai été bercé dans la variété française et anglaise donc ça pouvait aller de Genesis à Francis Cabrel ou Toto Cutugno, du rap pendant l'adolescence, jusqu'à ce que je fasse mes propres investigations sonores. Et c'est pour cela que, inconsciemment peut être, Brian Eno me parle beaucoup. Sa culture de fond c'est les sixties, les Beatles, tout ce que la pop anglo-saxonne avait de novateur à l'époque et qu'il a d'ailleurs perpétué dans ses albums des années 70.

On peut voir la différence dans ce qu'ont produit les allemands dans ces mêmes années. Tout est une question de culture de fond, c'est relatif à l'histoire finalement. C'est pour ça que quand j'entends les puristes-fétichistes prétendre que Eno a tout calqué sur ce qui faisait outre-Rhin avec Cluster, Tangerine dream et toute cette mouvance ça me fait vraiment sourire.

Citation de ddn :

Mes excuses d'avoir été si long

Au contraire j'apprécie que l'on discute de musique sur ce sujet,

Une version live de wandering star de portishead tout en douceur et en silence. Gibbons a une tête démoniaque par contre...

En cherchant un livre sur les Pink Floyd je suis tombé sur un titre signé Jean-Marie Leduc qui me parait assez intéressant. C'est le livre que de vieux routards du rock ont sans doute feuilleté, il est sorti en 1973, période de pleine gloire du groupe. La quatrième de couverture est en tout cas joliment rédigée tandis que la couverture en fait presque un objet d'art!

Je donnerais un avis si vous voulez. Il y a encore de nombreux exemplaires disponibles sur Priceminister si ça vous tente.