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Pur chef-d'oeuvre !
Des compositions qui resteront longtemps comme les plus connus de Mingus :
goodbye pork pie hat, better git it in your soul, fables of faubus...
et puis un maître à la batterie : Dannie Richmond qui suivra Mingus toutes ces années.
Quelques mois avant, avec presque le même groupe (mais avec Jackie McLean & Pepper Adams) Mingus enregistrait un autre chef d'oeuvre :
Blues and Roots
(qui porte magnifiquement son nom)
(désolé la pochette est vraiment moche).
avec autant de titre incontournable (moanin', wednesday night prayer meeting, prayer for a passive resistance)...
pour moi ces deux albums sont incontournables (et dans mon top 50 perso)...
Mac Coy Tyner "Song of the new world" : seulement pour les braves
(et oui, encore un pianiste
)
Enregistré à la 'Nonagon Art Gallery' de New York, un live intime et tout chaud datant de janvier 1959, avec une pure prise de son par Rudy Van Gelder.
Seulement 4 morceaux( 3 originaux et 1 classique) sont joués mais la qualité du savoir-faire de ce quintet-là en vaut le coup d'oreille.
Le saxist alto John Handy, arrivé depuis peu chez Mingus, vole un peu la vedette au pourtant très stylé Booker Ervin au tenor : Handy libère toute sa virtuosité, sa désinvolture et sa grâce sur les 2 seules ballades "I can't get started" et "Alice in wonderland" dans lesquelles Booker ne prend aucun solo (comme le pianiste Richard Wyands, B. Ervin exécute seulement des solos sur les deux autres morceaux de l'album).
"Alice..."(sous-titré "Diane" ) est doté du plus bel et délicat arrangement de l'album et le fameux standard de Gershwin "I can't get...", démarrant sans introduction via l'exposition du thème par l'alto en lead, compte un excellent dialogue improvisé entre Mingus et Handy dans la dernière partie du track.
A noter aussi que le batteur Dannie Richmond "joue les cymbales avec les doigts", pour citer Nat Hentoff, qui a écrit les liner-notes de ce disque (...liner-notes traduites en français! c'qui n'est pas toujours le cas dans les p'tits livrets des digipacks BlueNote).
Anonyme
521410
Sno_op
59
Posteur·euse AFfranchi·e
Membre depuis 19 ans
Héhé, en effet
“Anyone can make the simple complicated. Creativity is making the complicated simple.” Charles Mingus "Music washes away the dust of everyday life.” Art blakey
douglove
1023
AFicionado·a
Membre depuis 21 ans
Citation : Mingus Ah Um
Pur chef-d'oeuvre !
Des compositions qui resteront longtemps comme les plus connus de Mingus :
goodbye pork pie hat, better git it in your soul, fables of faubus...
et puis un maître à la batterie : Dannie Richmond qui suivra Mingus toutes ces années.
Quelques mois avant, avec presque le même groupe (mais avec Jackie McLean & Pepper Adams) Mingus enregistrait un autre chef d'oeuvre :
Blues and Roots
(qui porte magnifiquement son nom)
(désolé la pochette est vraiment moche).
avec autant de titre incontournable (moanin', wednesday night prayer meeting, prayer for a passive resistance)...
pour moi ces deux albums sont incontournables (et dans mon top 50 perso)...
Government Stealth Warning : Don't drink from the Mainstream
S.d.m
4787
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 20 ans
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VENEZ TOUS VOIR PAR LA
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jean claude van jackson
309
Posteur·euse AFfamé·e
Membre depuis 19 ans
Ouaaaaaaaaaaaaaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiisssssssssssssss !
Le fluor , c'est bon pour les dents !
Anonyme
7206
Ca tombe bien, moi pendant la pub j'en profite pour allez pisser 
(oki
)
(oki
)Anonyme
521410
Allez les enfants on se reprend là 
Anonyme
7206
Mac Coy Tyner "Song of the new world" : seulement pour les braves
(et oui, encore un pianiste
)Cedar
195
Posteur·euse AFfiné·e
Membre depuis 21 ans
Enregistré à la 'Nonagon Art Gallery' de New York, un live intime et tout chaud datant de janvier 1959, avec une pure prise de son par Rudy Van Gelder.
Seulement 4 morceaux( 3 originaux et 1 classique) sont joués mais la qualité du savoir-faire de ce quintet-là en vaut le coup d'oreille.
Le saxist alto John Handy, arrivé depuis peu chez Mingus, vole un peu la vedette au pourtant très stylé Booker Ervin au tenor : Handy libère toute sa virtuosité, sa désinvolture et sa grâce sur les 2 seules ballades "I can't get started" et "Alice in wonderland" dans lesquelles Booker ne prend aucun solo (comme le pianiste Richard Wyands, B. Ervin exécute seulement des solos sur les deux autres morceaux de l'album).
"Alice..."(sous-titré "Diane" ) est doté du plus bel et délicat arrangement de l'album et le fameux standard de Gershwin "I can't get...", démarrant sans introduction via l'exposition du thème par l'alto en lead, compte un excellent dialogue improvisé entre Mingus et Handy dans la dernière partie du track.
A noter aussi que le batteur Dannie Richmond "joue les cymbales avec les doigts", pour citer Nat Hentoff, qui a écrit les liner-notes de ce disque (...liner-notes traduites en français! c'qui n'est pas toujours le cas dans les p'tits livrets des digipacks BlueNote).
Matez svp, c'est + qu'important et c'est énorme:
http://www.youtube.com/watch?v=WQoNW7lOnT4
Ce docu sort le 2 juin en France, en théorie.
http://www.youtube.com/watch?v=WQoNW7lOnT4
Ce docu sort le 2 juin en France, en théorie.
kinishao
679
Posteur·euse AFfolé·e
Membre depuis 21 ans
A love supreme.... 
D'ailleurs, il y a un article sur Madame Coltrane dans Vibrations de ce mois, très intéressant sur sa rencontre avec John.
D'ailleurs, il y a un article sur Madame Coltrane dans Vibrations de ce mois, très intéressant sur sa rencontre avec John.
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