Le Pub d'AutoProd & Business (Ex - marché du disque c'est la cata!)
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Anonyme
l'heure est grave pour les maisons de disques ! beaucoup d'artistes se font viré , les signature de nouveaux talent sont casi rare et le personnel est licencié peu a peu
LA CAUSE PRINCIPAL SELON 80% DES PRODS = le peer to peer et téléchargements
plus personne ne bouffe , ni les producteurs , ni les distributeurs , ni les maison de disques , et encore moins les artistes auteur compositeur (" />
fritesgrec
nocomment
Citation : Par contre j'espère que vous avez digéré, parce que là vous allez vomir :
ça donne envie de gerber en effet... Mais c'est très bien écrit , bien formulé, du coup ça peut faire authorité auprès du blaireau de base, qui se déculpabilisera, et fera propager l'idée autour de lui.
Quel est le site (ou le forum) où tu a lu ça ?
Dans la série "on mérite" , les artistes ont le sort qu'ils méritent...
asair
Citation : Ce qui équivaut à la licence globale non?
>> source du texte : http://cozop.com/dedalus_via_avoodware/hadopi_ou_les_puissances_reactionnaires_oeuvre
Pour info sur la license globale :
Citation :
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Illu
Pétition
Licence globale optionnelle
L'Alliance public-artistes appelle le public et les artistes a se mobiliser pour l’adoption de la licence globale
Signer la pétition - Voir les signataires
NON A LA REPRESSION
NON A LA DISPARITION DE LA COPIE PRIVEE
OUI A LA LIBERTE D’ECHANGER DES ŒUVRES ENTRE PARTICULIERS SUR INTERNET
OUI A UNE REDEVANCE POUR REMUNERER LA CREATION ARTISTIQUE
La solution de licence globale a été imaginée pour permettre de légaliser les échanges non commerciaux d’œuvres entre particuliers contre le paiement d’une redevance*.
Cette solution avait été partiellement adoptée à l’Assemblée nationale, le 21 décembre 2005. La licence globale a cependant été écartée lors de la reprise des discussions, en mars, dans le cadre de manœuvres procédurales particulièrement douteuses, à la suite d’une vaste campagne de désinformation organisée par les opposants à cette licence.
Mais il n’est pas trop tard ! Le Sénat doit se prononcer à son tour, au courant du mois de mai, sur le texte du projet de loi sur le droit d’auteur adopté le 21 mars dernier à l’Assemblée nationale.
D’ici là, signez la pétition contre la répression et pour une solution de légalisation des échanges d’œuvre sur internet.
Mobilisez-vous en diffusant la pétition auprès de vos proches.
* L'Alliance Public-Artistes rappelle que la licence globale optionnelle n'a pas vocation à couvrir les téléchargements effectués sur les sites commerciaux.
Signer la pétition - Voir les signataires
Pako33
nocomment
Citation : Citation :
"Scandaleuse surtout parce que, pour une fois qu’on pouvait donner quelque chose gratuitement à la jeunesse, première victime de la crise, voilà qu’on préfère engraisser les majors de la musique et du cinéma,"
Cher Mr Attali, qu'attendez vous pour offrir l'INTEGRALITE (une quarantaine il me semble) de vos livres gratuitement à la jeunesse ? J'ai beau regarder sur les sites de p2p, et aucun de vos livres n'y figure. Il vous suffirait pourtant de les balancer en PDF sur ThePirateBay pour faire profiter l'humanité de votre savoir.
Où bien est-ce beaucoup trop douloureux de sacrifier la manne financière qu'ils representent pour vous et la fortune qu'ils vous procurent ? Vous voulez que je distribue mon travail gratuitement, mais sutout pas touche au votre...?
...
Ca serait bien si on pouvait faire pression sur lui pour qu'il mette ses 40 ou 50 bouquins en PDF gratuitement sur un p2p .. Juste pour voir quoi...
asair
Citation : Comment on redistribue équitablement aux auteurs avec la licence globale?
Je crois que c'est LA question. Et que c'est le truc boiteux qui fait que c'est toujours pas voté.Article Numérama :
Citation :
Licence Globale : la juste répartition est possible !
Guillaume Champeau - publié le Lundi 06 Mars 2006 à 14h26 - posté dans Divers
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L'Alliance Public-Artistes a réalisé un énorme travail pour convaincre députés et artistes du bien-fondé d'une licence globale pour légaliser et rémunérer l'échange de musique sur Internet. Amplement attaquée sur le mode de répartition des sommes collectée, elle avance ses cartes à deux jours de la réouverture des débats à l'Assemblée.
Avant décembre, beaucoup contestaient la licence globale dans son principe. Après deux mois de débat intense provoqués par l'adoption d'une première partie du projet, beaucoup acceptent désormais le principe de la licence globale, mais la rejettent en pensant qu'il est impossible de sonder au plus juste quelles sont les oeuvres échangées sur les réseaux P2P. Sans juste sondage, nulle juste répartition. Sans juste répartition, pas de juste loi.
Pour répondre à cette juste interrogation, l'Alliance Public-Artistes publie aujourd'hui un communiqué par lequel elle explique que "la licence globale optionnelle permet bien une rémunération de tous les artistes, producteurs et auteurs concernés fondée sur l’audience précise des oeuvres échangées, sans invasion de la sphère privée des internautes". Elle se repose sur les conclusions d'une étude qu'elle a commandé à Big Champagne, un institut américain spécialiste de l'audit des réseaux P2P. Son rapport "souligne que l’identification des oeuvres circulant sur les réseaux ainsi que les mesures d’audience de celles-ci peuvent être effectuées sans grandes difficultés techniques et sans collecte d’informations personnelles sur les utilisateurs".
Big Champagne juge même que "l'internet fournit une exactitude et une efficacité de mesure autrefois inaccessibles et actuellement sans égales". Il distingue quatre méthodes de mesure d'activité : la coopération des développeurs de logiciels utilisés pour accéder aux réseaux, l'association avec les FAI, l'utilisation des caractéristiques propres des réseaux P2P (à savoir la possibilité de consulter librement les fichiers mis en partage par les utilisateurs), et le recours à un panel élargi d’utilisateurs, à fins de statistiques. L'Alliance note que déjà "plusieurs entreprises françaises possèdent la maîtrise de ces différentes solutions".
En France, CoPeerRight Agency se prépare
Quelques spécialistes de la lutte anti-piratage en France, dont le parisien CoPeerRight Agency et le nantais Trident Media Guard, vendent avant tout de l'observation marketing des réseaux P2P à leurs clients, beaucoup plus rentable que le filtrage et la lutte contre les pirates. Stéphane Michenaud, le directeur de CoPeerRight Agency, nous confirme que son entreprise est totalement capable de réaliser le travail d'observation nécessaire à la licence globale. "Nous pouvons quantifier les informations et voir combien de fois une chanson a été téléchargée, voir au delà", nous confie ainsi M. Michenaud. En terme d'investissement pour les sociétés de gestion, "quelques centaines de milliers d'euros devraient suffir à couvrir un catalogue comme celui de la Spedidam", précise CoPeerRight Agency (CPRA).
Les "petits artistes" ne seraient pas lésés dès lors qu'ils diffusent leurs morceaux en ayant au préalable déclaré l'enregistrement à la société de gestion, qui fournira à CPRA un catalogue régulièrement mis à jour. La technologie de CPRA permet d'établir une empreinte sonore à partir d'un enregistrement et de retrouver l'ayant droit à partir du MP3 mis à disposition. Un système de recherche automatisée multi-protocoles permet alors de retrouver tous les morceaux échangés, qu'il s'agisse des "grands" ou des "petits".
Et qu'en dise les chacals ?
Citation :
Warner Music Group veut une licence globale aux Etats-Unis
Guillaume Champeau - publié le Vendredi 05 Décembre 2008 à 13h13 - posté dans Musique Numérique
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Dix ans après la création de Napster, les maisons de disques n'ont toujours pas réussi à combattre le piratage, et les perspectives de croissance du téléchargement payant sont maigres. Aux Etats-Unis, Warner Music Group a commencé à faire le tour des Universités pour proposer une trêve dans la guerre entre les internautes et les maisons de disques, à travers la mise en place d'une licence globale.
Warner Music Group, Licence Globale
En mars dernier, nous avions relevé que Warner Music Group s'était ouvert à l'idée d'une licence globale pour le financement de la création musicale. Elle venait d'embaucher Jim Griffin (photo ci-contre), un consultant de l'industrie musicale qui pousse à la création d'une taxe globale répartie entre les différentes maisons de disques en fonction du succès de leurs artistes sur les réseaux P2P et les différentes plateformes de téléchargement ou de streaming. "Je ne pense pas que nous devons poursuivre les étudiants et les gens jusqu'à leur domicile", plaidait-il. "Nous voulons rentabiliser l'anarchie d'Internet". L'idée a fait son chemin, et elle est désormais proposée aux universités, où le nombre de téléchargeurs est le plus élevé.
Warner Music Group fait actuellement le tour des campus universitaires pour proposer d'expérimenter une "licence légale volontaire pour accéder à la musique en ligne". Piloté par Griffin, le projet aurait déjà intéressé le MIT et les Universités de Columbia, Stanford, Chicago, Washington, Colorado, Michigan, Cornell, Penn State, Berkeley et Virginie.
L'idée serait de laisser les étudiants télécharger autant de musique qu'ils le souhaitent sur n'importe quelle plateforme, y compris les réseaux P2P, contre le paiement d'une redevance prélevée par le FAI du campus, pour tous les étudiants sans exception. La somme serait ensuite répartie par une "organisation à but non lucratif" chargée de collecter l'argent et de la reverser aux labels membres de l'organisation en fonction des estimations de téléchargements fournies par l'Université ou le FAI (par l'observation du trafic sur le réseau ou par sondage, notamment).
"Nous suivons l'Histoire"
Pour faciliter les choses sur un plan juridique, il ne s'agirait pas officiellement d'une licence de téléchargement accordée aux étudiants. Mais d'un engagement à ne pas porter plainte contre eux s'ils téléchargent des oeuvres des labels et artistes membres de l'organisation chargée de répartir le montant de la pseudo-licence globale.
Pour être réaliste, la licence légale à la Warner doit réunir le maximum d'universités et le maximum de maisons de disques partenaires. A cet égard, "nous sommes en train de rassembler tous les droits (d'enregistrement et d'édition) des quatre majors du disque et des labels indépendants", assure Warner Music dans sa présentation aux universités. "Nous suivons l'Histoire. Nous proposons l'approche qui a suivi l'arrivée de l'électricité ; les interprétations, la radio, la télévision, le câble, le satellite et les webradios sont tous financés par des licences légales".
"La musique crée un précédent que la vidéo, le texte, l'illustration et d'autres pourront suivre et suivront".
"Nous avons créé une organisation non lucrative pour être clair sur le fait que nous souhaitons opérer avec de bonnes intentions et sans intention lucrative", assure la maison de disques, qui revendique le soutien d'organisations de défense des droits des internautes comme l'Electronic Frontier Foundation (EFF) ou Public Knowledge. "C'est une réelle trêve dans la guerre entre le contenu et le réseau. Ca relie les intérêts et les buts de toutes les personnes concernées, c'est gagnant-gagnant".
piergynt
Comment juger de qui a droit à quoi ???
nocomment
Sinon pour la lg, c'est un peu comme depasser la vitesse de la lumiere, y a du monde qui dit que c'est theoriquement faisable en theorie, mais personne n'est capable de le faire en pratique. C'est pas compliqué, il n'y aucune proposition concrète sur comment la faire marcher, personne ne sait comment faire. Même les pro-p2p la pousse tout le temps, sans rien y comprendre eux-memes.
Et comment tu fait pour forcer les gens a payer cette contribution ? ou alors c'est volontaire ? Si c'est volontaire, comment savoir si celui qui ne paie pas continue à pomper sur le p2p ? Avec une autre Hadopi ?
lohworm
Citation : Comment on redistribue équitablement aux auteurs avec la licence globale?
Par exemple, avec une plateforme unique et centralisée (gouvernementale ?) de téléchargement, ce qui permet donc de savoir qui est téléchargé et en quelle quantité...Puisque toutes les source illégales ne présenteront plus aucun intérêt à être utilisées, elles ne le seront plus de fait (enfin on suppose !)...Et en plus on a du coup toute légitimité pour être encore plus sévère avec les diffuseurs illégaux...
C'est une idée comme ça, probablement pas réaliste pour un sou...
asair
Citation :
Et comment tu fait pour forcer les gens a payer cette contribution ? ou alors c'est volontaire ?
Tel que j'ai apercu les textes de la LG, il s'agit de faire payer les FAI, eux de voir ensuite s'il refacture sur leur clients.
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