Le Pub d'AutoProd & Business (Ex - marché du disque c'est la cata!)
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Anonyme
772
Sujet de la discussion Posté le 13/07/2005 à 12:10:14Le Pub d'AutoProd & Business (Ex - marché du disque c'est la cata!)
j'ai surfer un peu ce matin sur le net pour me renseigner sur l'actualité du disque en france
l'heure est grave pour les maisons de disques ! beaucoup d'artistes se font viré , les signature de nouveaux talent sont casi rare et le personnel est licencié peu a peu
LA CAUSE PRINCIPAL SELON 80% DES PRODS = le peer to peer et téléchargements
plus personne ne bouffe , ni les producteurs , ni les distributeurs , ni les maison de disques , et encore moins les artistes auteur compositeur (" />
l'heure est grave pour les maisons de disques ! beaucoup d'artistes se font viré , les signature de nouveaux talent sont casi rare et le personnel est licencié peu a peu
LA CAUSE PRINCIPAL SELON 80% DES PRODS = le peer to peer et téléchargements
plus personne ne bouffe , ni les producteurs , ni les distributeurs , ni les maison de disques , et encore moins les artistes auteur compositeur (" />
the bubble
4074
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 20 ans
16301 Posté le 17/11/2017 à 14:05:14
voilà c'est ça, je ne me souvenais plus.
Damsen
431
Posteur·euse AFfamé·e
Membre depuis 10 ans
16302 Posté le 05/12/2017 à 12:58:50
Flag+++!
Spotify : https://open.spotify.com/artist/78I7kZBeZ01Y1oy6MwyZtT
Soundcloud : https://soundcloud.com/west-kdamsend
housetraxx
4593
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 21 ans
16303 Posté le 12/12/2017 à 21:31:26
Haaaaan ce post existe encore ?? dingue !
_HouSeTraXx_
crossroads
9943
Je poste, donc je suis
Membre depuis 20 ans
16304 Posté le 29/12/2017 à 08:34:06
Je viens de finir ça :
“Du mp3 à Deezer, la musique libérée”
Vingt ans après le début de la circulation du mp3 sur Internet (1997), l’ouvrage raconte les deux décennies qui ont obligé la musique à se transformer. À travers près d’une centaine d’interviews d’acteurs d’hier et d’aujourd’hui, il revient sur le surgissement brutal de la musique en ligne, Napster, la panique des maisons de disques et la lente naissance de l’écoute en streaming.
Boulevard du stream est le premier ouvrage français questionnant toutes les facettes du problème ; à la fois les évolutions technologiques, les usages, débats intellectuels et politiques.
« Voilà comment mes années 2000 ont commencé. Je ne savais pas que je serais bientôt accusé de ruiner les artistes, de piller les maisons de disques, de piétiner la propriété intellectuelle, d’utiliser le moyen le plus dingue jamais inventé pour donner accès à la musique. Je ne savais pas que j’écrirais un jour ce livre qui raconte comment le monde de la musique est allé à reculons vers ce qui n’était déjà plus le futur, mais bien un nouveau présent. Je faisais juste circuler la musique et j’apprenais beaucoup de choses sur elle. »
Le livre a été fini d’écrire en juillet 2017 donc l’analyse est d’actualité.
C’est bien documenté et assez passionnant à lire.
L’auteur a pu avoir pas mal d’interview très intéressantes (la liste des gens qui ont refusé de répondre est lol aussi !).
Je savais que lors du passage au numérique les dirigeants des maisons de disques avaient pas été glorieux, mais là c’est carrément atterrant.
Je le recommande fortement pour tous ceux qui veulent en savoir plus sur le business de le musique.
“Du mp3 à Deezer, la musique libérée”
Vingt ans après le début de la circulation du mp3 sur Internet (1997), l’ouvrage raconte les deux décennies qui ont obligé la musique à se transformer. À travers près d’une centaine d’interviews d’acteurs d’hier et d’aujourd’hui, il revient sur le surgissement brutal de la musique en ligne, Napster, la panique des maisons de disques et la lente naissance de l’écoute en streaming.
Boulevard du stream est le premier ouvrage français questionnant toutes les facettes du problème ; à la fois les évolutions technologiques, les usages, débats intellectuels et politiques.
« Voilà comment mes années 2000 ont commencé. Je ne savais pas que je serais bientôt accusé de ruiner les artistes, de piller les maisons de disques, de piétiner la propriété intellectuelle, d’utiliser le moyen le plus dingue jamais inventé pour donner accès à la musique. Je ne savais pas que j’écrirais un jour ce livre qui raconte comment le monde de la musique est allé à reculons vers ce qui n’était déjà plus le futur, mais bien un nouveau présent. Je faisais juste circuler la musique et j’apprenais beaucoup de choses sur elle. »
Le livre a été fini d’écrire en juillet 2017 donc l’analyse est d’actualité.
C’est bien documenté et assez passionnant à lire.
L’auteur a pu avoir pas mal d’interview très intéressantes (la liste des gens qui ont refusé de répondre est lol aussi !).
Je savais que lors du passage au numérique les dirigeants des maisons de disques avaient pas été glorieux, mais là c’est carrément atterrant.
Je le recommande fortement pour tous ceux qui veulent en savoir plus sur le business de le musique.
Instrumental/Ambient/Post-Rock : https://dzeta.bandcamp.com/
[ Dernière édition du message le 29/12/2017 à 08:37:17 ]
Mr. Pool
2614
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 8 ans
16305 Posté le 29/12/2017 à 08:51:30
On peut le télécharger ?
Il n'y a pas d'autre monde. Il y a simplement une autre manière de vivre.
crossroads
9943
Je poste, donc je suis
Membre depuis 20 ans
16306 Posté le 29/12/2017 à 08:55:16
Sur Kindle!
Instrumental/Ambient/Post-Rock : https://dzeta.bandcamp.com/
#Houba
6572
Membre d’honneur
Membre depuis 16 ans
16307 Posté le 29/12/2017 à 11:13:50
Les majors ont mis du temps à s'adapter aux nouveaux modes de consommation mais maintenant c'est une affaire qui roule.
L'abonnement streaming a trouvé sa clientèle, c'est facile, c'est confortable et c'est environ 10 euros par mois, 120 par an. Si on prend le CD nouveauté à 20 euros en moyenne ça fait l'équivalent de 6 CD par an par abonné. Avec le back catalogue amorti 100 fois, inclus ce qui n'était plus réédité depuis longtemps, au même prix que la nouveauté, sans frais de fabrication, pratiquement sans frais de distribution. Tout ça pour une location. L'abonné qui écoute beaucoup le même artiste "achète" plusieurs fois ses albums. Que demander de plus?
L'abonnement streaming a trouvé sa clientèle, c'est facile, c'est confortable et c'est environ 10 euros par mois, 120 par an. Si on prend le CD nouveauté à 20 euros en moyenne ça fait l'équivalent de 6 CD par an par abonné. Avec le back catalogue amorti 100 fois, inclus ce qui n'était plus réédité depuis longtemps, au même prix que la nouveauté, sans frais de fabrication, pratiquement sans frais de distribution. Tout ça pour une location. L'abonné qui écoute beaucoup le même artiste "achète" plusieurs fois ses albums. Que demander de plus?
Ex-producteur retraité de la musique en 2016
samy dread
17422
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 18 ans
16308 Posté le 29/12/2017 à 11:28:18
le retour du téléchargement simple, qui est plus économe en énergie
Non je ne mettrai pas de pull
degouter
19
Nouvel·le AFfilié·e
Membre depuis 9 ans
16309 Posté le 18/01/2018 à 17:22:37
Citation de EPE_be :
Les majors ont mis du temps à s'adapter aux nouveaux modes de consommation mais maintenant c'est une affaire qui roule.
L'abonnement streaming a trouvé sa clientèle, c'est facile, c'est confortable et c'est environ 10 euros par mois, 120 par an. Si on prend le CD nouveauté à 20 euros en moyenne ça fait l'équivalent de 6 CD par an par abonné. Avec le back catalogue amorti 100 fois, inclus ce qui n'était plus réédité depuis longtemps, au même prix que la nouveauté, sans frais de fabrication, pratiquement sans frais de distribution. Tout ça pour une location. L'abonné qui écoute beaucoup le même artiste "achète" plusieurs fois ses albums. Que demander de plus?
Sans frais de distribution.... La je suis complètement pas d'accord
Les serveur sont pas gratuits et la bande passante utilisé par ces services de streaming est pas gratuite non plus
[ Dernière édition du message le 18/01/2018 à 17:23:31 ]
#Houba
6572
Membre d’honneur
Membre depuis 16 ans
16310 Posté le 18/01/2018 à 20:39:32
D'accord, il y a des frais. Mais si je prends les top titres de catalogues majors rien que sur youtube, sans même compter le streaming audio, énormément dépassent les 100 millions de vue. Même, tous frais de distribution déduits, s'ils ne touchaient qu'un euro par mille vue comme un quidam (et ils ont bien sûr d'autres conditions), ça fait 100.000 euros... pour un seul titre, rien qu'avec youtube.
Un prétexte souvent entendu pour défendre le téléchargement illégal était que beaucoup de titres n'étaient pas réédités Aujourd'hui quasiment tout les catalogues historiques sont disponibles en streaming et chaque écoute rapporte. Sans frais de pressage, de packaging, de distribution, de gestion des stocks et des invendus comme à l'époque du CD. Du bénéfice net de droits à répartir. Des dixièmes de centimes certes, mais des quantités monumentales. Sans autre effort que d'avoir numérisé une seule fois, parfois remastérisé et uploadé de vielles bandes qui dormaient dans des armoires sans plus rien rapporter.
Alors bien sûr ce n'est pas écologique. Chaque écoute est un téléchargement qui bouffe de l'énergie. Mais à mon humble avis c'est le cadet de leurs soucis...
Un prétexte souvent entendu pour défendre le téléchargement illégal était que beaucoup de titres n'étaient pas réédités Aujourd'hui quasiment tout les catalogues historiques sont disponibles en streaming et chaque écoute rapporte. Sans frais de pressage, de packaging, de distribution, de gestion des stocks et des invendus comme à l'époque du CD. Du bénéfice net de droits à répartir. Des dixièmes de centimes certes, mais des quantités monumentales. Sans autre effort que d'avoir numérisé une seule fois, parfois remastérisé et uploadé de vielles bandes qui dormaient dans des armoires sans plus rien rapporter.
Alors bien sûr ce n'est pas écologique. Chaque écoute est un téléchargement qui bouffe de l'énergie. Mais à mon humble avis c'est le cadet de leurs soucis...
Ex-producteur retraité de la musique en 2016
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