Le Pub d'AutoProd & Business (Ex - marché du disque c'est la cata!)
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Anonyme


l'heure est grave pour les maisons de disques ! beaucoup d'artistes se font viré , les signature de nouveaux talent sont casi rare et le personnel est licencié peu a peu
LA CAUSE PRINCIPAL SELON 80% DES PRODS = le peer to peer et téléchargements
plus personne ne bouffe , ni les producteurs , ni les distributeurs , ni les maison de disques , et encore moins les artistes auteur compositeur


Anonyme


the bubble

Si on ne peut vendre un album entier, comment se fait on connaitre en dehors des concerts, surtout quand on ne veut pas vous programmer? Moi j'ai déjà une solution (peut être) mais je n'en parle pas. Elle parait réalisable même si non réaliste.

paradies

Si je parle de se battre contre des moulins à vent c'est parce qu'il n'y a plus personne à combattre. Arrêter Google, YouTube, Spotify, Deezer,les majors ou tout ce que vous voulez, ça ne changera rien. Parce que ce qui a changé c'est le comportement du public.
L'enregistrement redevient essentiellement une démarche promotionnelle pour les concerts, comme aux débuts du disque. Est-ce un mal finalement,
Je quitte audiofanzine tant qu'ils pratiqueront l'écriture inclusive.
[ Dernière édition du message le 28/12/2014 à 11:34:54 ]

globule_655

Si je parle de se battre contre des moulins à vent c'est parce qu'il n'y a plus personne à combattre. Arrêter Google, YouTube, Spotify, Deezer,les majors ou tout ce que vous voulez, ça ne changera rien. Parce que ce qui a changé c'est le comportement du public.
Le comportement du public a changé car on l'a fait changer. Tout progrès (ou régression en l'occurrence) passe par une évolution des mentalités. Se contenter d'un constat d'échec et dire qu'on n'y peut rien ne mène à rien, c'est certain. Je parlais du droit des femmes et d'esclavage plus tôt, même si se sont des exemples un peu forts, fut une époque où ces choses étaient largement acceptées par le "public". A ces époques, certains ont tenus exactement le même discours que le tien. Heureusement, ils ont fini par devenir minoritaires et les mentalités ont pu changer dans le bon sens. Tout cela pour dire que la société évolue dans le sens vers lequel on la fait évoluer, ce n'est pas par l'opération du saint esprit.
J'ai des enfants (ainsi que les enfants de ma compagne) qui ont grandi avec la dématérialisation de la musique. Ils sont maintenant de grands adolescents à jeunes adultes. Les plus jeunes, c'est bien simple, ils n'ont jamais acheté de musique sous aucune forme. Ce ne leur viendrait même pas à l'esprit, c'est une incongruité. La dernière fois qu'un de mes fils m'a vu acheter un CD il m'a regardé comme si j'achetais une lampe à pétrole. Étant actif dans la musique j'ai bien tenté un temps de les conscientiser, mais c'est peine perdue. Pourquoi devraient-ils être les seuls à payer? Plus personne ne paie, sauf les vieux...
L'aîné, celui qui vient de passer à Spotify, le dernier CD qu'il a acheté, c'est celui du groupe d'un de ses potes. Il l'a acheté un peu pour le principe, parce que c'est son pote. Sauf que le CD est toujours sous cellophane. Pas que l'album ne soit pas bon, il est même très bon, et le groupe marche fort. Mais il l'écoute sur spotify parce qu'il n'a plus... de lecteur CD. Les chaines HiFi sont en voie de disparition sauf comme produit de niche pour mélomanes, les ordinateurs portables ou les auto-radios ont de moins en moins souvent de lecteur intégré et les tablettes ou autres smartphone n'en ont tout simplement pas.
Tu ne parles que du CD et de ses ventes auprès du grand public mais le marché ne se limite pas à cela. Le CD est un support en voie de disparition, personne ne dit le contraire et personne même ne le défend (en tout cas pas moi). Là où le bas blesse, cependant, c'est que les jeunes téléchargent massivement de la musique illégalement et ce, contre la volonté des artistes dont ils apprécient la musique. Depuis des années et par un manque/absence de mesure à ce sujet, on a tacitement incité au pillage de la propriété intellectuelle via le téléchargement illégal.
Je me souviens encore de l'apparition de l'internet auprès du grand public et des questionnement sur ce que l'on pouvait en faire. Si, déjà à ce moment là, un minimum de régulation avait existé, on en serait pas là. Même il n'y a que quelques années en arrière, il n'aurait pas été trop tard. Aujourd'hui encore, il est possible de mettre en place des mesures pour limiter le téléchargement illégal. Si le public ne veut pas payer, soit, je n'ai rien contre et c'est la loi du marché mais ça ne doit pas être une excuse pour ce qui est purement du vol qualifié.
Pour la génération actuelle, la reproduction ou la diffusion de musique enregistrée, c'est gratuit ou presque gratuit (le presque n'étant accepté que s'il y a un service supplémentaire), c'est acquis, on n'y reviendra plus, ce n'est même pas la peine d'en discuter. Qu'on y mette des freins et de nouvelles voies détournées s'ouvriront sur internet. Et quand bien même "ils" y arriveraient, leur budget musique ne changera pas. Ce serait le live qui en paierait le prix.
La dévaluation de la musique est loin de n'impacter que la musique enregistrée. Croire cela, c'est faire montre d'un grand manque d'information sur le sujet. Le live est déjà sur le déclin. On a longtemps penser que cela pouvait compenser la baisse des ventes mais on s'aperçoit aujourd'hui que ce n'est pas le cas. Le public se détourne de plus en plus des salles de concert (j'avais un article avec des chiffres exact. Je le poste si je le retrouve. En attendant, il y a déjà celui que j'ai posté plus tôt à propos du groupe Pamplamoose) et les organisateurs de concert rémunèrent de moins en moins les groupes qui viennent y jouer. Si on prend l'exemple de Paris, il n'y a qu'à voir tous les abus qui existent dans le but d'exploiter les groupes musicaux.
J'ai travaillé un temps dans la publicité et j'ai vu d'année en année le budget musique diminuer grandement. Je discutais d'ailleurs récemment avec un prod exécutif d'un grand publicitaire dont je ne citerai pas le nom qui me disait justement que vu que le grand public ne paie pas, pourquoi eux le feraient. La télé et le cinéma ne vont probablement pas tarder à suivre le mouvement si rien ne change et ils ont déjà grandement réduit leurs budget à ce niveau.
Bref, tout ça pour dire que la baisse des ventes en elle-même n'est qu'un élément d'un grand tout et que si la propriété intellectuelle n'est pas valorisée, cela touche tous les secteurs qui y touchent. D'ailleurs, le problème est bien plus vaste et concerne même la propriété au sens large de toutes données numériques (et donc, plus ou moins indirectement, nos données privées).
Par rapport aux grandes heures du piratage, le streaming audio et video paie des droits, minimes, obtenus sous la pression des labels et sociétés d'auteurs, mais ils en paient. Mais croire que la musique enregistrée puisse redevenir la source de revenus qu'elle a été avant internet, c'est une illusion. L'enregistrement redevient essentiellement une démarche promotionnelle pour les concerts, comme aux débuts du disque. Est-ce un mal finalement, alors que dans le message précédent moise b citait les siècles passés en exemple?
"Les grandes heures du piratage" ne sont pas derrière nous comme la construction de ta phrase le laisse supposer. Les chiffres montrent que le téléchargement illégal est en constante augmentation. En parallèle, le téléchargement et le streaming légal augmentent aussi mais pas les revenus qu'ils génèrent. C'est un goulet d'étranglement qui ne peut pas aboutir à un avenir favorable pour les artistes.
D'ailleurs, à quoi sert une démarche promotionnelle coûteuse pour un concert qui ne rapporte pas non plus d'argent (mais en coûte) ?
Personne ne parle de revenir aux niveaux ahurissants de revenus qu'il était possible d'obtenir au faite de la folie productive de la fin des 90s/début 2000. Il est question d'éviter de se faire exploiter injustement pour pas un rond car quand on demande à un groupe de faire un concert, d'amener son propre public, parfois son propre matériel en lui interdisant de faire tourner le chapeau, lui imposant un tarif d'entrée et lui demandant d'assumer la location de la salle en cas de remplissage insuffisant, le tout pendant que la musique qu'il a enregistrée est diffusée gratuitement, c'est inacceptable. Je ne fais d'ailleurs pas la liste complète de tous les abus qui sont maintenant monnaie courante au niveau des concert. Les festivals ? C'est souvent pire si on commence à parler des frais de déplacement et de logement.
Ce qui est ironiquement très drôle, c'est qu'on te le vend en te disant que comme c'est une grande salle ou un grand festival, ça te fait de la pub. Ok mais si le CD c'est de la pub et les concerts sont aussi de la pub, à quel moment l'artiste gagne-t-il sa vie ? Encore une fois, voir l'exemple de l'article sur Pomplamoose pour voir que l'absence de revenus du live est une réalité de plus en plus vraie pour des groupes de toute taille, à moins de remplir le stade de france à la Johnny Halliday.
Bref, je n'ai pas la solution. Tout ce que je sais, c'est que ce n'est pas en se résignant et en diffusant un discours blasé que les choses bougeront dans le bon sens. Ce n'est pas comme si le public n'était pas en demande de bonne musique, auquel cas, effectivement, il n'y aurait pas matière à débattre.
Peace
Glob
L'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule....

#Houba

Si on ne peut vendre un album entier, comment se fait on connaitre en dehors des concerts, surtout quand on ne veut pas vous programmer?
Ex-producteur retraité de la musique en 2016

Anonyme



Anonyme

Après on peut se demander pourquoi la solution de faire payer chaque abonné internet un mini forfait sacem n'a jamais été sérieusement envisagée ???
Le problème serait ensuite que la répartition des droits d'auteur serait aussi merdique et arnaqueuse que la répartition actuelle, ceci dit d'un point de vue technologique il n'est pas impossible qu'on mette un place un traceur numérique selon les morceaux qui recense exactement les passages et tout.
[ Dernière édition du message le 28/12/2014 à 12:01:55 ]

the bubble

Je ne vais pas non plus me géner pour révéler le prix moyen de la construction d'un album et le temps consacré.........pour casser un peu le mythe du "c'est facile" et faire réfléchir les gens sur la facilité de payer peu. Ce n'est pas cela mon idée dont je parlais tout à l'heure. J'ai le même langue en temps qu'enseignant. Et je vous assure que ça marche, cette sincérité, tant en tant qu'artiste et qu'enseignant. contrairement aux idées reçues, les gens ont besoin de cette proximité car il sont lassés des grosse machine inhumaines.
cloudbreak: et le télé réalité, ça n'existera jamais disait on dans les années 70. Un metteur en scène avait fait un film autour de cela ("le prix du danger" ou un truc comme ça) les gens à l'époque disait que ça n'existerait jamais! quid des émissions actuelles? Rien n('est jamais impossible, nous nous fixons les limites nous même, soit pour nous rassurer, soit pour nous protéger.
[ Dernière édition du message le 28/12/2014 à 12:08:30 ]

Anonyme

Après on peut se demander pourquoi la solution de faire payer chaque abonné internet un mini forfait sacem n'a jamais été sérieusement envisagée ???
Le problème serait ensuite que la répartition des droits d'auteur serait aussi merdique et arnaqueuse que la répartition actuelle, ceci dit d'un point de vue technologique il n'est pas impossible qu'on mette un place un traceur numérique selon les morceaux qui recense exactement les passages et tout.
Ouais la licence globale, mais l'industrie n'en veut pas car ca reviendrait a dire qu'elle renonce a monetiser la copie.

globule_655

Ouais la licence globale, mais l'industrie n'en veut pas car ca reviendrait a dire qu'elle renonce a monetiser la copie.
Alors que la bonne conduite serait justement de se tourner vers un nouveau modèle de ce type de manière à pouvoir négocier le meilleurs agrément possible avant de subir quelque chose de défavorable plus tard. De la part des majors, le refus ne m'étonne pas et je ne m'en soucie que peu. De la part des sociétés d'auteur, par contre, je pense que c'est une erreur monumentale.
Les fournisseurs d'accès ont tout à fait la possibilité d'évaluer et quantifier les flux qui correspondent aux différents types de contenus.
Peace
Glob
L'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule....

Anonyme

Nan mais ce que veut l'industrie on s'en branle, à partir du moment où un état décide de faire ça il le fait épicétou.
Pour moi le seul et gros obstacle à ça est la répartition des droits, qui risquerait fort d'être identique au système actuel, et donc qui -en France- est basé sur une arnaque monumentale.

the bubble


the bubble

Les fournisseurs d'accès ont tout à fait la possibilité d'évaluer et quantifier les flux qui correspondent aux différents types de contenus.
bien sûr sinon ils ne pourraient pas réguler le piratage, c'est juste une question de volonté comme tout.

paradies

Ok mais si le CD c'est de la pub et les concerts sont aussi de la pub, à quel moment l'artiste gagne-t-il sa vie
Je quitte audiofanzine tant qu'ils pratiqueront l'écriture inclusive.
[ Dernière édition du message le 28/12/2014 à 12:21:29 ]

globule_655

Nan mais ce que veut l'industrie on s'en branle, à partir du moment où un état décide de faire ça il le fait épicétou.
C'est justement tout le problème, il n'y a pas de réelle volonté. Du coup, on demande aux leader de l'industrie (ceux qui contribuent le plus directement au PIB) ce qu'ils en pensent. Problème, leur intérêt n'est pas dans un système juste pour l'artiste.
A côté de ça, on nous sort du HADOPI histoire de dire "mais si on fait quelque chose".
Par contre quand il s'agit de surveiller le contribuable, là... : http://www.lepoint.fr/chroniqueurs-du-point/guerric-poncet/le-cadeau-de-noel-du-gouvernement-aux-internautes-la-surveillance-26-12-2014-1892495_506.php
Peace
Glob
L'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule....

Anonyme

Citation :Les fournisseurs d'accès ont tout à fait la possibilité d'évaluer et quantifier les flux qui correspondent aux différents types de contenus.
bien sûr sinon ils ne pourraient pas réguler le piratage, c'est juste une question de volonté comme tout.
C'est une question de moyen aussi. Logger de l'info c'est facile, l'analyser et la traiter ca coute beaucoup plus cher. Et au final dans le fond ce n'est pas aux FAIs de decider ce qui faisable ou non, pas plus qu'un operateur telephonique n'a le droit de te dire qui tu peux appeler.

Anonyme

Citation :
Par contre quand il s'agit de surveiller le contribuable, là... : http://www.lepoint.fr/chroniqueurs-du-point/guerric-poncet/le-cadeau-de-noel-du-gouvernement-aux-internautes-la-surveillance-26-12-2014-1892495_506.php
Heu honnêtement je vois aucun rapport avec le sujet du thread en fait, ni direct ni indirect.
Citation :
C'est justement tout le problème, il n'y a pas de réelle volonté
ha mais là on en revient ça ce que tu disais toi même sur le fait de baisser les bras.
En France (valable également dans l'ensemble des pays européens du nord/nord-ouest), le gouvernement c'est pas eux, mais nous.
On peut baisser les bras, chouiner parceque nos gouvernants font n'imp, ou alors leur foutre la pression, informer nos députés, bref faire du lobbying en somme.

#Houba

Si le public ne veut pas payer, soit, je n'ai rien contre et c'est la loi du marché mais ça ne doit pas être une excuse pour ce qui est purement du vol qualifié.
La dévaluation de la musique est loin de n'impacter que la musique enregistrée
Je ne fais d'ailleurs pas la liste complète de tous les abus qui sont maintenant monnaie courante au niveau des concert.
Ce n'est pas comme si le public n'était pas en demande de bonne musique, auquel cas, effectivement, il n'y aurait pas matière à débattre
Ex-producteur retraité de la musique en 2016

globule_655

Citation :
Par contre quand il s'agit de surveiller le contribuable, là... : http://www.lepoint.fr/chroniqueurs-du-point/guerric-poncet/le-cadeau-de-noel-du-gouvernement-aux-internautes-la-surveillance-26-12-2014-1892495_506.php
Heu honnêtement je vois aucun rapport avec le sujet du thread en fait, ni direct ni indirect.
c'était plus en réponse à un commentaire plus tôt sur la régulation d'internet et de la dévaluation de la propriété intellectuelle à celle de la vie privée au niveau des données numériques, il n'y a qu'un pas. Légère digression.
ha mais là on en revient ça ce que tu disais toi même sur le fait de baisser les bras.
En France (valable également dans l'ensemble des pays européens du nord/nord-ouest), le gouvernement c'est pas eux, mais nous.
On peut baisser les bras, chouiner parceque nos gouvernants font n'imp, ou alors leur foutre la pression, informer nos députés, bref faire du lobbying en somme.
Tout à fait et c'est bien pour ça que je suis contre tout discours de résignation.
Peace
Glob
L'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule....

Anonyme

Et si ceux qui se plaignent n'étaient pas essentiellement ceux qui n'y arrivent pas faute de bonne musique susceptible d'intéresser le public?
Tu vas te faire des amis toi...

Mais c'est un peu mon sentiment aussi. Tout le monde et sa grand-mere peut se faire son EP/LP a la maison et du coup s'imagine que ca lui donne le droit de vivre de son art. Sauf que ca n'a jamais marche comme ca. Sans entrer dans un debat sur la qualite, y a plein d'oeuvres qui visent un public tellement niche que c'est utopique de penser vivre la-dessus. Ou au contraire d'autres genres sont tellement satures que ca ne sert a rien de faire une enieme redite. Apres on va me dire "ouais mais mon trip c'est la polka atmospherique et vu le temps et la thune que j'ai investi, je merite d'etre paye". Bah non desole, moi j'aime me toucher dans des draps en soie, c'est parce que je vais acheter une camera HD et faire des videos de ca que je merite de gagner ma vie grace a la branlette...

the bubble

Et si ceux qui se plaignent n'étaient pas essentiellement ceux qui n'y arrivent pas faute de bonne musique susceptible d'intéresser le public? Le groupe du pote de mon beau-fils je ne les ai pas entendu se plaindre.
ça c'est ton constat. Et il n' y a en effet pas matière à se plaindre.
en même temps on peut savoir faire de la musique écoutable et ne pas savoir se vendre. Et puis, excuse moi, la "bonne" musique ça reste subjectif, évidemment en dehors des groupes qui resteront amateurs toute leur vie.
[ Dernière édition du message le 28/12/2014 à 13:01:24 ]

#Houba

en même temps on peut savoir faire de la musique écoutable et ne pas savoir se vendre.
Bien sûr. Il y a aussi des types qui tentent de faire représentant de commerce avec un excellent produit et n'arrivent pas à le vendre. Et ça n'étonne personne. Ça devrait être différent pour les artistes?
Ex-producteur retraité de la musique en 2016
[ Dernière édition du message le 28/12/2014 à 13:06:59 ]

the bubble

[ Dernière édition du message le 28/12/2014 à 13:10:59 ]

Anonyme

1) ca se paye
2) faut avoir un truc vendable

the bubble

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