Se connecter
Se connecter

ou
Créer un compte

ou
FR
EN

Le forum Basses n'est pas aussi vivant et animé qu'il le mérite !

  • 39 210 réponses
  • 385 participants
  • 2 181 015 vues
  • 317 followers
Sujet de la discussion Le forum Basses n'est pas aussi vivant et animé qu'il le mérite !
Bonjour.
J'ouvre ce post, ni pour dénoncer, ni pour gueuler !
Mais seulement pour constater que, concernant le forum touchant à la basse, ben y a pas foule pour discuter à ce sujet.
Ce n'est pas que je veuille à tout prix 50 réponses à la minute pour chaque sujet, mais j'aurais pensé que sur ce site si réputé sur le net, qu'il y aurait plus de monde sur les forums et particuliairement celui-ci.
En règle générale, les post sont fréquement lus mais on retrouve dans l'ensemble les mêmes posteurs infatiguables...
Même s'il y a dans l'année des moins où l'on peut s'attendre à peu de réponses du fait des vacances, ou autre événements, je me disais que comme la rentrée est bien arrivée, les posts et les réponses vont fuser à en saturer le serveur AF....
Et bien rien de tel aux sujets des basses ! :(
Evidement, je comprends fort bien que certains sujets n'attirent pas plus les lecteurs et déclenchent encore moins une réponse.
C'est peut-être le malaise de la cinquantaine... (de posts !) :)

Et vous, vous en pensez quoi :?:
Vous aimez les basses, fabriquez-les ! http://kamelchenaouy.forumactif.com/ et www.lutherie-amateur.com/
Afficher le sujet de la discussion
35926
Citation de damorg :
Y'a besoin de s'accorder pour jouer ça ?:facepalm::mrg:


Oui absolument, qu'on aime ou pas c'est de la vraie musique écrite.

Citation de rica2synthé :
Il y a des amateurs pour ce genre de : musique ou bruit ?


Musique ou bruit : vaste débat. Tout dépend comment on définit la musique. Pour certains tout son est musical. Dans ce cas précis je dirais musique sans hésiter pour les raisons évoquées plus haut en réponse à Damorg.
Pour ce qui pourrait ne pas être considéré comme de la musique (et je mets au conditionnel car pour les amateurs c'en est évidemment) il y a le bruisme. Là on a vraiment que des sons pour lesquels on ne distingue pas de hauteur ou de mélodies transposables sur une partition. Personnellement je ne suis pas fan (c'est bien plus abstrait que le moreau posté par Jensouniev, qui au passage ferait une bande son adaptée à certains films torturés) mais il y a un public pour ça, dans mon patelin on a un festival annuel bien nommé "Bruisme". Ça va de la musique dissonante comme ici au pur expérimental sonore avec toute sortes d'instruments improvisés comme tels ou même inventés.

Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?

[ Dernière édition du message le 05/05/2022 à 14:05:42 ]

35927
x
Hors sujet :
J'aimerais bien avoir un tel festival auprès de chez moi!

Citation de devilmanson25 :
Ça me fait penser aux inconnus avec l’art, deux coups de giclée de pinceau, quelques crottes de pigeon et je vend ça 15 000 Fr en prétextant que c’est de l’art :oops2:

Quand on regarde les partitions de cette musique, on voit tout de suite qu'on est très loin de ça. Il y a un très gros travail de la part du compositeur.

[ Dernière édition du message le 05/05/2022 à 14:53:11 ]

35928
C'est sur qu'apprendre le solfège à l'âge d'adulte...et même ado, c'est pas simple et j'y suis passé pour le saxo pdt 3 ans, mais les gamins qui l'apprennent presqu'en en même temps que la lecture, c'est bien + rapide, si bien sur ça les intéresse sinon avec tout ce que j'ai entendu, vos méthodes ne manquent pas....et c'est tant mieux il en faut pour tout le monde :clin:

[ Dernière édition du message le 05/05/2022 à 17:59:59 ]

35929
Citation :
C'est sur qu'apprendre le solfège à l'âge d'adulte...et même ado, c'est pas simple

Je ne suis pas forcément d'accord avec ça.
Mon parcours musical (et celui de pas mal de gens autour de moi) aurait tendance à indiquer l'exact opposé.

J'ai commencé la musique très jeune en total autodidacte sur un piano et une vieille guitare espagnole (qui n'étaient chez mes parents que pour la déco à la base), bien que j'ai été inscrit à un atelier musique dans mon école primaire (plus chiant tu meurs, on faisait que du solfège chanté en fait, on ne jouait de rien !) duquel je n'ai retenu que le nom des notes sur une portée. Et un peu plus tard avec une prof de piano qui était l'archétype même de la prof de musique old-school, pour qui la méthode académique est la seule qui vaille. J'ai pris ça pour une punition à l'époque, J'ai appris à jouer péniblement le 1er mouvement de la Lettre à Élise en presque 2 ans de cours (alors que j'ai appris ce morceau à ma fille en quelques heures et sans solfège !), mais surtout quel ennui, c'était long, mais loooong et inutile... Je sentais bien que pour en arriver là j'aurais mis largement moins de temps par moi-même, d'ailleurs quand on a attaqué le 2ème mouvement, je trichais copieusement parce que je l'avais appris par cœur en l'écoutant, elle l'a remarqué, elle m'a engueulé, j'ai dit à ma mère que je ne voulais plus qu'elle vienne ! Terminé les cours académiques en mode tortue.

Mon truc à moi c'était plutôt d'essayer de relever à l'oreille ce que j'entendais sur les disques. Et c'est là qu'un instrument comme le piano ou la guitare a un grand intérêt, car on a des repères visuels sur l'instrument [du coup c'est pas faisable sur les instruments à vent ça, les repères visuels sont beaucoup moins logiques que sur un piano ou une guitare], si bien que très vite on se met à comprendre la notion d'intervalle, et de là découlent les accords. Y'a quelque chose d'un jeu mathématique là dedans qui m'a plu immédiatement. Si on sait se chanter de mémoire une gamme majeure, on découvre rapidement un univers de possibilités. Même sans pouvoir mettre un nom sur tout ça, on se met à comprendre les bases de la théorie, alors on pousse plus loin sur les accords et les arpèges... Et naturellement, un besoin de connaissance théorique plus poussé se fait sentir. Alors on achète des bouquins, on prend quelques cours...

Pour moi partant de ce que j'avais découvert en jouant et comprenant par moi-même un tas de choses, le solfège n'a été qu'une formalité lorsque j'ai vraiment décidé de bosser cet aspect de la musique vers mes 28-30 ans (en partie parce que j'avais une sorte de complexe vis-à-vis de certains de mes pairs qui eux lisaient à vue, mais aussi juste pour voir si ça m'apporterait vraiment quelque chose en plus), ça m'a servi à effectivement déchiffrer plus rapidement que je ne le faisais jusque là, mais dire que ça m'a servi dans ma carrière de musicien serait hautement exagéré, d'une part parce que j'étais déjà musicien professionnel et que jusque là je m'étais très bien débrouillé sans la lecture à vue juste en déchiffrant, certes un peu laborieusement, mais grâce à une bonne oreille et une bonne mémoire, j'étais capable de relever à peu près tout ce qu'on me donnait à bosser, mais aussi de le retenir !

Car soyons clair sur un point, en tant que musicien professionnel, il n'y a pas qu'une seule méthode de travail. Parfois on est convoqué et on part d'une idée de l'artiste, tout se fait alors lors de sessions de travail (souvent des résidences) et chacun écrit ses parties au fur et à mesure, en mode groupe quoi. Parfois le projet est plus avancé et la façon de bosser est alors différente. Mais il n'est absolument jamais arrivé qu'on me file un troupeau de partoches et vas-y démerde-toi. La plupart du temps on nous donnait des démos à écouter (libre à toi d'en faire des relevés si tu veux vraiment des partitions), souvent des grilles d'accords qui allaient avec, mais très très très rarement des partoches. Pour une raison simple, on attendait justement que le musicien apporte sa valeur ajoutée en proposant sa dose d'interprétation au projet. Il est très rare dans les projets pour lesquels j'ai bossé (pop, rock, funk, rnb, whatever... ), qu'un compositeur vienne avec des parties écrites et imposées. En fait les seuls pour qui j'ai souvent vu des partoches, c'est les cuivres, car leurs arrangements sont souvent écrits...
J'ajouterais à ça que dans les "musiques actuelles", intervient la notion de production, les arrangements ne sont jamais figés dès le départ, ils évoluent avec le temps et selon les désidératas du producteur et/ou de l'arrangeur. C'est rare (mais je l'ai vu quand même) que ces derniers t'écrivent des partoches à la volée lors des sessions en studio, la communication est plutôt orale et les choses avancent souvent de manière empirique.

 

釘を駆動するための4つの文字列

 
35930
Citation :
Mon truc à moi c'était plutôt d'essayer de relever à l'oreille ce que j'entendais sur les disques. Et c'est là qu'un instrument comme le piano ou la guitare a un grand intérêt, car on a des repères visuels sur l'instrument [du coup c'est pas faisable sur les instruments à vent ça, les repères visuels sont beaucoup moins logiques que sur un piano ou une guitare], si bien que très vite on se met à comprendre la notion d'intervalle, et de là découlent les accords. Y'a quelque chose d'un jeu mathématique là dedans qui m'a plu immédiatement.


C'est exactement ce que j'ai fait. Même si j'ai eu des cours de musique/solfège au collège (des rudiments bien-sûr, les bases de la base :mrg:) je suis un autodidacte. La musique a découlé naturellement du fait que j'aimais en écouter et par la suite essayer de reproduire ce que j'aimais. Moi c'était mon père qui avait des guitares classiques et un orgue Hammond alors j'ai tout découvert par moi-même. Je peux "m'en sortir" avec une partition pour de la musique simple pop-rock (mieux si tablatures évidemment :mrg:) mais c'est laborieux. J'ai toujours joué à l'oreille et de mémoire, même en groupe. Et comme la fait remarquer xbassman_k les repères visuels ont toujours été un moteur : savoir où sont les notes et à combien de cases/touches se trouvent les autres pour une certaine harmonie.
Après vous parlez d'apprendre la musique : la pratique d'un instrument et la théorie musicale, de plus d'un point de vue professionnel. Pour moi la musique a toujours été un loisir, je n'ai jamais eu la prétention de faire carrière (en revanche j'ai pu avoir des prétentions artistiques que j'ai aujourd'hui abandonnées :mrg:).
En résumé mon approche à moi est très DIY, très (post) punk :bravo:

Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?

[ Dernière édition du message le 07/05/2022 à 16:38:35 ]

35931
On a pas tous le même parcours musical, et bien sur je ne détiens pas la vérité, seulement mes avis, et je l'ai tjours précisé.
Et puis ça n'a jamais été mon métier, dommage, je n'ai pas eu cette chance ! Sinon oui, cher xbassmann, ton parcours a du mérite, grâce aussi à ton oreille (absolue peut-être ?), et c'était pas du tout mon cas malheureusement. Chez moi personne jouait d'un instrument et quand ma tante m'a offert une guitare pour mon certificat d'étude, mon père s'est foutu de moi, et oui il a fallu que je me batte pour apprendre seul la guitare, puisque papa ne voulait pas en entendre parler (dur, très dur ma jeunesse !!). J'ai donc juré ensuite de faire connaitre la musique à mes enfants et j'y suis arrivé, avec du solfège, je sais, mais ils n'ont pas galéré comme moi quand je vivais dans ma cité de misérables dans ma modeste famille. j'en suis finalement resté fier et remercie du fond du coeur ma défunte tante. Eh oui nos histoires sont différentes.
35932
Bah pas tant que ça en fait...

Pour mon père il n'était absolument pas question que je devienne musicien (ma mère ne le formulait pas, mais n'en pensait pas moins), pour mes parents la musique n'était pas un métier, mais un loisir tout au plus, pour parler de la musique mon père disait "c'est des conneries tout ça"... Il voulait que je sois ingénieur comme lui... Well... Raté ! Mais j'ai mis un point d'honneur à prouver d'une part que c'était bien métier avec lequel on pouvait confortablement gagner sa vie, et d'autre part à tordre le cou à toutes les légendes urbaines qui circulent à propos de ce job, et dont les parents usent et abusent pour tenter de t'en éloigner.

Après, c'est vrai qu'il faut une certaine dose de pugnacité pour arriver à se faire un petit nom dans ce métier, mais je dirais que le maitre mot ici est le travail personnel plus que le talent, c'est ce qui fait la grosse différence. J'ai pu observer ça quand je suis rentré dans le monde pro en sortant de la "logique de groupe", où bien souvent les musiciens se laissent vivre même si le talent est là, ils se contentent de ce qu'ils ont. Avant que je ne devienne pro, j'ai côtoyé des dizaines de musiciens bien plus talentueux que moi, mais ils ne sont pas allés plus loin par manque de travail personnel...

Mais c'est aussi une question de chance et de rencontres au bon moment, je pense quand même avoir bénéficié d'un alignement des planètes très avantageux à un certain moment : à commencer par le fait que j'étais bassiste (y'en avait trop peu à l'époque), j'habitais Paris (inutile de dire pourquoi c'est important), j'étais connu pour avoir joué avec beaucoup de groupes dans des styles très différents donc par conséquent ouvert à beaucoup de styles différents, et ça rétrospectivement c'était très important, on pouvait aussi bien me demander du punk que de la salsa, je prenais parce que tout m'intéressait. D'ailleurs aujourd'hui j'essaye d'être très diplomate avec mes élèves (particulièrement ceux qui ne veulent entendre parler que de métal) pour leurs expliquer qu'il faut jouer absolument de tout, parce qu'au final ça fera une vraie différence.

 

釘を駆動するための4つの文字列

 
35933
Pour ma part, j'ai commencé à gagner ma vie avec la musique qu'à l'âge de trente cinq ans. A ce moment, mes parents n'avaient plus leur mot à dire! :mrg:
35934
J'aurai aimé, quand j'étais ado, cotoyer des guitaristes, mais parmi mes potes, tous de parents imigrés, aucun n'avaient les moyens de se payer une guitare et dès que j'ai eu la mienne à 15 ans, tous et toutes étaient autour de moi dans ma montée d'escalier et on chantait les tubes qui passaient à la radio (en 66): Dassin, Graeam...Alwight, H. Auffray que j'affectionne encore et vu en concert en 2016, un régal, et d'autres chant/guitariste qui on disparu. Puis + tard M. Leforestier et Duteil, ça c'était pour moi des bêtes de scène. J'ai oublié Brassens, mais son style me paraissait trop triste.
Actuellement, qui ne peut pas se payer une guitare, en travaillant ?? Ne développez pas ce sujet SVP, pas de politique.
Enfin cet art nous a conquis et c'est bien d'en parler avec humilité.
35935
En 66, j'étais trop petit. Je suis plutôt issu de la génération punk moi. Mine de rien cette mouvance a soufflé un vent nouveau sur la jeunesse de l'époque, tout devenait possible, suffisait de décréter qu'on était musicien, et on était musicien !

C'était très positif d'une certaine manière et totalement paradoxal vis-à-vis du credo punk qui disait "No Future". D'ailleurs, en France, ça a donné lieu a une explosion de groupes de rock, une sorte de désinhibition vis à vis de ce qu'on pensait jusque là pas à la portée du quidam, mais réservé aux stars, à ceux qui ont fait leurs preuves. Sans complexes, les gamins de l'époque ont envoyé valdinguer les valeurs en place.

Ça a correspondu aussi à l'arrivée massive d'instruments pas chers en provenance du Japon. S'offrir ou se faire offrir une guitare à son anniv devenait possible pour la plupart. Je n'ai pas eu l'impression que l'acquisition d'un instrument fût un frein pour qui que ce soit à cette époque. À ce propos, j'ai fait un petit sondage parmi les guitaristes et bassistes de ma génération afin de savoir d'où venait leur tout 1er instrument : à plus de 90% du Japon ! Pas étonnant que les vieilleries Japonaises soient autant prisées aujourd'hui !

 

釘を駆動するための4つの文字列

 
35936
Ouai en effet, dans les année 80 j'avais acheté une Fender Bullet (japonaise), et qui sonnait pas mal, même avec un vieil ampli d'occas.
35937
C'est vrai. Dans mes premiers groupes, on n'avait que des instruments japonais. Sauf le bassiste, qui venait il faut dire d'une famille très bourgeoise, et qui avait une Gibson et une superbe Guild. Quant à moi, je n'ai jamais eu de guitare qui ne soit pas japonaise!
35938
Ma première basse était une Hohner, achetée à un pote du lycée. J'ai dû attendre plus de 6 mois que mes parents m'offrent un ampli à noël (un Carlsbro).

Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?

35939
Et la mienne à 21 ans en 72, une PB US, 2000 Frs en 3 chèques (1/mois) avec un salaire de 1000 Frs/mois. Dur, dur. Le groupe a rompu en 75, donc revendue env. 1000 à 1500 frs, pour acheter un super appareil photo 24x36. Donc arrêté la basse, que j'ai repris 10 ans + tard et plus lachée. Mais j'ai tjours eu sous la main ma 1ére guitare accoustic pour chanter dans les fêtes familiales et... en vacance pour draguer sur les plages :mrg: à l'époque les guitaristes était très rares :clin:

[ Dernière édition du message le 09/05/2022 à 08:52:10 ]

35940
Dans ma génération (ado dans les 90's) des guitaristes il y en avait des pelles et c'est pas ça qui te rendais populaire. Et passé 40 ans les nanas de ma génération s'en foutent toujours autant lol.
D'un coté il y a moins de types qui se mettent à la guitare pour se la péter alors qu'ils n'ont aucun intérêt pour la musique ...
35941
Alors que dans ma campagne à la fin des années 70, le simple fait de se promener avec sous le bras une guitare électrique à 400 balles, faisait de toi un pôle d'attraction! Ça marchait aussi bien avec une basse. D'ailleurs dans mon groupe le bassiste fut le premierd'entre nous à s'acheter un instrument. Il est devenu instantanément une vedette dans son bled de 500 habitants!

[ Dernière édition du message le 09/05/2022 à 15:09:41 ]

35942
Ahaha ! Ouais... Je vois bien le tableau. Le gus qui essaye de pécho en chantant des trucs de Maxime Le Forestier sur une plage. Comme quoi les temps changent. À mon époque, faire un truc pareil était assez hors de question (quoique pas totalement si le mec décidait d'y glisser un titre des Ramones :mrg:), car considéré d'une ringardise absolue et un brin pathétique. (Aucun jugement de valeur de ma part, hein, juste une constatation)

 

釘を駆動するための4つの文字列

 
35943
Et ouais, 20 ans avant en 70), sur une plage avec une guitare, surtout en Espagne, c'était tjours la bonne ambiance. Mais rassure-toi, je n'ai jamais eu le physique d'un bourreau des coeurs, mais à 20 ans, pas d'hypocrisie, qui n'a pas essayé d'y jouer. Mais toujours avec simplicité et humilité, sans plus. En Corse, on allumait un feu de bois le soir sur la plage de Calvi, un bon pétard, et on s'endormait comme des bébés. Quelle époque formidable !! Pas de téléphone, ni de radio, seulement le bruit des vagues qui nous berçait, LA PAIX. Il arrivait le lendemain que les flics poussent ma Simca 1000 qui était garée sur le sable, et tous ça dans la bonne humeur et sans PV.
Aller, ne nous éloignons pas du sujet quand même cher Storky.

[ Dernière édition du message le 09/05/2022 à 15:15:02 ]

35944
..par contre, dans mon histoire, le fait que l'instrument soit électrique était déterminant pour vraiment se la péter..
35945
Ah oui je confirme. Le phénomène des groupies a toujours existé en revanche.

 

釘を駆動するための4つの文字列

 

[ Dernière édition du message le 09/05/2022 à 15:19:02 ]

35946
Ah mais c'est vous qui vous éloignez du sujet, moi je faisais juste une petite remarque comme ça ... :mrg:
La scène ça marche toujours, pas plus tard que la semaine dernière, je voyais les minettes autour d'un pote chanteur guitariste "petite gueule" (positivement hein) après son concert. Pour un bassiste nounours en fond scène comme moi, ça ne marche pas autant lol.
Les guitaristes de plage m'ont toujours gavés avec les accords magiques et la rythmique feu de camp, en fait c'est surtout des chanteurs, pas des guitaristes. Mais de ma génération c'était surtout des frimeurs qui me gavaient déjà sans guitare (moi, jaloux?)
Les zicos du lycée, c'était plus comme des geek qui sont dans leur trip.
35947
C'est toujours pareil, c'est une question de présence scénique. Un bassiste qui sait se montrer en scène n'attire pas moins les groupies qu'un guitariste.
35948
J'en ai connue une qui n'aimait QUE les bassistes (c'est véridique), justement pour le côté ténébreux et parce que le son de la basse "lui faisait des trucs dans le ventre" ! :mrg:
Faut de tout pour faire un monde...

 

釘を駆動するための4つの文字列

 
35949
Citation de sonicsnap :
C'est toujours pareil, c'est une question de présence scénique. Un bassiste qui sait se montrer en scène n'attire pas moins les groupies qu'un guitariste.


C'est ca, l'important c'est d'agiter les bras, de faire des mimiques genre tu surkiff les 3 notes que tu fais. En gros la guitare/bass/autres et toi ne font plus qu'un ... et la ca marche :bravo:

Un peu d'expression corporelle ca aide :bravo:
35950
Mr Funk > Pas forcément, un bassiste ténébreux peut très bien attirer la gent féminine (ex: Bill Wyman était un des Stones les plus recherchés par les groupies.)

[ Dernière édition du message le 09/05/2022 à 16:50:39 ]