Avis sur les compos Vos Compos Inclassable

Technique :

Bin c'est réussi tout simplement! la voix est mise en valeur, c'est le but et c'est atteint de belle manière. On sent bien qu'on est rompu à ce genre d'exercice.

Artistique :

Complètement déroutant, mais la voix quoi! extra! vraiment moi ça me porte. J'écoute même pas les textes dommage me direz vous et vous aurez raison, mais je me fais happer par la voix du Doctor.

Technique :

C'est techniquement bien fait, certains sons sont un poil agressif à mon goût mais ça passe crème pour le reste. Bien vu.

Artistique :

Ce n'est pas le genre de sonorités auxquelles je m'attendais en voyant la photo mais qu'importe pourquoi pas d'autant que c'est bien fait. On troque le moteur thermique pour un tapis volant, et alors? on se laisse bien glisser...

Technique :

Le son et le mixage me semblent corrects, la première partie du morceau par son thème répétitif imprime bien la notion de longueur et oblige l'auditeur à se placer dans ce contexte. Je trouve le final un peu fuyant, c'est un choix qui peut s'expliquer par la vue sans fin, et aussi par la courte durée du morceau.

Artistique :

L'originalité se situe dans la première partie (j'y reviens encore) il y a une vraie cohérence avec l'image. Cette musique parle comme une personne taciturne, sans immédiateté.
Dommage que cela se termine trop vite.

Technique :

À mon sens, la première minute (et donc le copier-coller de la fin) genre cliché western spaghetti du ne sert pas à grand-chose, voire dessert le morceau. Si peu intéressant que j’ai failli laisser tomber. En plus, avec des sons (volontairement ?) cheap qui ne donnent pas du tout l’image de ce qui va suivre. Ou alors dix secondes pour la blague, et encore, le morceau étant franchement premier degré.

Mais, à 0:55, waouh ! L’intro qui manquait, de belles guitares (jeu et son), la voix qui vous rentre dedans. La reverb sur la voix est magnifique, qui donne de l’espace sans sacrifier l’intelligibilité. Le son de basse, dense, ample, avec juste ce qu’il faut d’agressivité.

La reprise en guitare acoustique (2:13), avant de relancer la machine est très belle, les sons sont superbes.

Je ne suis pas convaincu par le synthé/séquenceur à 3:09 qui fait plus intrus qui tape l’incrust’ et fait tache qu’invité-surprise qui relance la soirée. Ou alors, avec un son plus caractéristique et en back.
D’autant que cette partie n’en a pas besoin pour tourner. Mais on aurait aimé voir monter la sauce, par exemple avec l’entrée successive de backing vocals bien réverbérés en réponse à la voix lead, de cordes et/ou cuivres pour faire monter la chantilly. Cette partie est faite pour être répétée, mais pas à plat.

La (vraie) fin à 4:12, façon « Rain » des Beatles, est super bien vue (et bien réalisée), finissant sur un espace indéfini. Le retour-gag de Sergio Leone (ou plutôt d’un Ennio Morricone Discount) gâche franchement le truc.

Malgré ces réserves, si on coupe les deux bouts de l’omelette (le début et la fin), on a une compo qui tient toute seule, vachement bien écrite et arrangée, avec une densité, une profondeur, du relief dans le développement, avec un mix irréprochable (et même franchement réussi). Mon niveau d’anglais ne me permet pas d’appréhender le texte, mais je fais confiance. En tout cas, il sonne, et c’est l’essentiel.

Une des meilleures compos inspirées que j’aie écoutées !

Artistique :

À mon sens, la première minute (et donc le copier-coller de la fin) genre cliché western spaghetti du ne sert pas à grand-chose, voire dessert le morceau. Si peu intéressant que j’ai failli laisser tomber. En plus, avec des sons (volontairement ?) cheap qui ne donnent pas du tout l’image de ce qui va suivre. Ou alors dix secondes pour la blague, et encore, le morceau étant franchement premier degré.

Mais, à 0:55, waouh ! L’intro qui manquait, de belles guitares (jeu et son), la voix qui vous rentre dedans. La reverb sur la voix est magnifique, qui donne de l’espace sans sacrifier l’intelligibilité. Le son de basse, dense, ample, avec juste ce qu’il faut d’agressivité.

La reprise en guitare acoustique (2:13), avant de relancer la machine est très belle, les sons sont superbes.

Je ne suis pas convaincu par le synthé/séquenceur à 3:09 qui fait plus intrus qui tape l’incrust’ et fait tache qu’invité-surprise qui relance la soirée. Ou alors, avec un son plus caractéristique et en back.
D’autant que cette partie n’en a pas besoin pour tourner. Mais on aurait aimé voir monter la sauce, par exemple avec l’entrée successive de backing vocals bien réverbérés en réponse à la voix lead, de cordes et/ou cuivres pour faire monter la chantilly. Cette partie est faite pour être répétée, mais pas à plat.

La (vraie) fin à 4:12, façon « Rain » des Beatles, est super bien vue (et bien réalisée), finissant sur un espace indéfini. Le retour-gag de Sergio Leone (ou plutôt d’un Ennio Morricone Discount) gâche franchement le truc.

Malgré ces réserves, si on coupe les deux bouts de l’omelette (le début et la fin), on a une compo qui tient toute seule, vachement bien écrite et arrangée, avec une densité, une profondeur, du relief dans le développement, avec un mix irréprochable (et même franchement réussi). Mon niveau d’anglais ne me permet pas d’appréhender le texte, mais je fais confiance. En tout cas, il sonne, et c’est l’essentiel.

Une des meilleures compos inspirées que j’aie écoutées !

Technique :

Dès le départ, super ambiance, on est pris. On est un peu surpris par le tournant techno, mais ça tourne bien. Ca monte, ça monte, on a hâte d'arriver au thème... qui ne viendra jamais... Du coup, malgré la transition du milieu (bien vue), ça finit par tourner en rond. L'ambiance est là, mais... dommage !

Artistique :

Dès le départ, super ambiance, on est pris. On est un peu surpris par le tournant techno, mais ça tourne bien. Ca monte, ça monte, on a hâte d'arriver au thème... qui ne viendra jamais... Du coup, malgré la transition du milieu (bien vue), ça finit par tourner en rond. L'ambiance est là, mais... dommage !

Technique :

Qu'est-ce que je me sens vieux, dépassé et conventionnel... J'en suis encore à me plier à ce vieilles règles surannées, genre respecter la mesure, jouer en rythme, coller au tempo. Manifestement, tout cela n'est que vielle lune !

Artistique :

Qu'est-ce que je me sens vieux, dépassé et conventionnel... J'en suis encore à me plier à ce vieilles règles surannées, genre respecter la mesure, jouer en rythme, coller au tempo. Manifestement, tout cela n'est que vielle lune !

Technique :

on ne s"arrete jamais vraiment sur le son de Kitusai.
Pourtant, il passe ici depuis les premieres saisons et peut etre meme bien avant...
Moi meme, si je l"ecoute systematiquement, jamais je ne m"arrete pour le commenter, me contentant d"apprecier comme si tout ca etait normal.
Normal, oui, il fait comme parti du decors, et encaisse sans jamais broncher ce qui n"est que pure injustice a son egard.
Et pourtant...
Encore une piece dont il semble avoir le secret, entre sutilite et discretion.
l"emotion se transmet toujours a fleur de peau sinon elle se destine a n"etre que pur ressenti...
Ouais, c"est profond, c"est tout simplement beau et sans doute son oeuvre se destine t"elle a se passer ainsi eternellement de mots.

Artistique :

on ne s"arrete jamais vraiment sur le son de Kitusai.
Pourtant, il passe ici depuis les premieres saisons et peut etre meme bien avant...
Moi meme, si je l"ecoute systematiquement, jamais je ne m"arrete pour le commenter, me contentant d"apprecier comme si tout ca etait normal.
Normal, oui, il fait comme parti du decors, et encaisse sans jamais broncher ce qui n"est que pure injustice a son egard.
Et pourtant...
Encore une piece dont il semble avoir le secret, entre sutilite et discretion.
l"emotion se transmet toujours a fleur de peau sinon elle se destine a n"etre que pur ressenti...
Ouais, c"est profond, c"est tout simplement beau et sans doute son oeuvre se destine t"elle a se passer ainsi eternellement de mots.

Technique :

Toi tu cherches a tourner autour d"une ligne imaginaire,
Ou plus exactement un point a l"horizon que tu ne souhaites pas atteindre trop vite, du moins pas tout de suite ou,... le plus tard possible
Bon, disons que tu as le temps...
alors le mieux c"est de choregraphier chacune de tes notes, chacun de tes gestes,
Chacun de tes pas...
Pour pas y arriver trop vite tout en restant dans le mouvement car tu es quelqu"un de ponctuel.
Tu seras a l"heure et t"as prevus de prendre ton temps
Non ?
Et techniquement, le piano et le piano en solo me parait particulierment bien adapte pour exprimer ce ressentiment.
Bien vu

Artistique :

Le turnaround,
oui, ca me fait ca moi aussi, quand je vois des bandes blanches, des carres de carrelages sur le sol, j"ai toujours cette envie irresistible de zigzager autour,
d"essayer de trouver une logique de forme, sans doute pour ralentir mon parcours,
ou de rythmer je ne sais quoi si ce n"est,... oui si ce n"est le temps bien sur...
Et oui, la seule facon plus ou moins maladroite, disons habile, de maitriser le temps quand on en possede un petit peu devant soi et qu"on sait qu"il ne nous regarde pas.
Superbe piece

Technique :

Avec Frédérique, c'est toujours hyper régulier en rythme autant qu'une horloge Suisse et il y a toujours un swing, un quelque chose qui m'attire comme un aimant avec une connotation des 70's, c'est ce que j'adore. Très belles sonorités ici en plus.

Artistique :

Au début j'ai cru entendre la basse de Billie Jean que j'adore. Là, le bpm va plus vite. Donc je suis emballé dès l'intro, ça c'est chouette. Et durant tout le morceau je swingue avec la musique, je tape du pied. J'adore, je suis Fan ! J'aime les effets trémolo, j'aime les jeux, j'aime le son, j'aime tout. Merci passé un très bon moment.

Technique :

Aucun souci de sonorités, c'est des choix drastiques qu'il faut faire et pour moi tout va bien. La composition est épurée mais très efficace.

Artistique :

Très original, qui attire le cerveau. On se demande ou on va, on regarde bien ou on met les pieds, quelques frissons au passage. Très bonne musique pour un film d'horreur, ou à suspens. Fallait le faire. On aime ou on n'aime pas, mais il se passe quelque chose.