réactions à la news Commentaires sur la news : The Velvet Sundown, AI AI AI
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Neo Alchemist
8790

Administrateur·trice du site
Membre depuis 4 ans
Sujet de la discussion Posté le 01/07/2025 à 17:05:00Commentaires sur la news : The Velvet Sundown, AI AI AI
C’est à la fois impressionnant et terrifiant de voir qu’un ordinateur seul peut générer des chiffres pareils. Et où va l'argent ?
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lioio
540

Posteur·euse AFfolé·e
Membre depuis 18 ans
81 Posté le 03/07/2025 à 09:15:33
Un Artiste, avec 1 piano désaccordé peut raconter plus de choses qu’une "symphonie" fabriquée par une AI 

2

pantoufles
260

Posteur·euse AFfamé·e
Membre depuis 6 mois
82 Posté le 03/07/2025 à 09:18:49
C'est vrai, je me souvient qu'a l’époque lointaine, les photocopieuses, que l'arrivée des vidéos allaient tuer les livres, en fait, il n'en à rien été. Les médias, dont c'est le job, la rumeur, ont la fâcheuse habitude d'amplifier les choses et de nous faire peur. L'IA est une chose qui justement, fait peur, et à mon très humble avis, c'est justifié. L'IA va rendre de grands services, dans l'industrie, la médecine, et on va alors produire (mot tabou qu'il ne faut pas trop employer) beaucoup de choses très vite, très bien, pas cher. Bon, il faudra bien trouver une solution pour les pertes d'emploi que tout ce fourbi va générer, certains vont taffer comme des fous, pressés comme des citrons, tandis que d'autres vont se retrouver sans aucun boulot, les anciens, les handicapés, les femmes, les malades, seront des feignasses toutes désignées (c'est deja un peu, même pas mal le cas en ce moment...). C'est une machine nommée IA, impersonnelle et sans aucune pitié qui va traiter tous nos dossiers de sécu, de banque, d’impôts, pas de cas particuliers, que des généralités, et si t'es pas content, ben tu t'adresse à...L'IA. Vision pour le moins excessivement sombre, j'en conviens. Pour la musique, pas besoin de s'emm... à trouver des accords, et tout ça pour composer des choses approximatives (la, je parles de moi...) l'IA va résoudre tous tes problèmes de pages blanches, de paroles, de solfege, et même d'image. Cerise sur le gâteau : tu pourra même dit que c'est toi qu'il l'a fait. Je vais soudain passer de 91 méchantes vues ridicules sur YT (bah je m'en fous, en fait...) à des milliers, elle est pas belle, la vie ?
3

Peaveycroquette
4776

Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 21 ans
83 Posté le 03/07/2025 à 09:50:25
Citation de JeffX :
en fait, comme pour beaucoup de choses, le problème ne vient pas de l'outil
Détrompe-toi, il est scientifiquement prouvé que l'écran en lui-même est déjà un problème pour les enfants ; il influe très négativement sur leurs capacités à apprendre et à développer l'empathie nécessaire à la vie au sein d'une société humaine. Je ne parle que de l'OBJET.
x
Hors sujet :Merci Red Led, d'avoir pris la peine et le temps de me répondre.
Les vidéos d'EGO sont géniales, je vous conseille très chaudement "Le jeu de la vie".
4

JeffX
5942

Je poste, donc je suis
Membre depuis 21 ans
84 Posté le 03/07/2025 à 10:13:57
Citation de Peaveycroquette :
Détrompe-toi, il est scientifiquement prouvé que l'écran en lui-même est déjà un problème pour les enfants ; il influe très négativement sur leurs capacités à apprendre et à développer l'empathie nécessaire à la vie au sein d'une société humaine. Je ne parle que de l'OBJET..
Ouai sauf que... QUI décide de se servir de l'objet ? (ou pas....ou encore d'en limiter son utilisation)
c'est bien l'humain

vous êtes libres de vos choix !
(tout comme personne ne m'oblige à avoir un smartphone ou à m'inscrire sur les réseaux sociaux)
si quelqu'un décide d'être esclave d'une machine quelle qu'elle soit
c'est son choix!
c'est valable pour tous (et, concernant les enfants, les adultes qui en sont responsables...)
1

Bvk3n3k0
664

Posteur·euse AFfolé·e
Membre depuis 23 ans
85 Posté le 03/07/2025 à 11:02:23
Citation de JeffX :
Ouai sauf que... QUI décide de se servir de l'objet ? (ou pas....ou encore d'en limiter son utilisation)
c'est bien l'humain
En théorie ouais, on est responsable de nos choix sauf que ça ne prend pas en compte l'aspect sociologique du monde dans lequel on vit.
Personnellement ça me fait chsuer de porter des fringues fabriquées par des salariés sous-payés et probablement mineurs ou même d'avoir un smartphone dont l'extraction des métaux rares qu'il contient entraine des massacres. Mais dans le monde dans lequel on vit, je peux difficilement me passer d'un téléphone ou me trimballer à poil donc le choix je ne l'ai pas le moins du monde...non aller vivre dans une caverne et me torcher avec des feuilles n'est pas une solution viable non plus.
La vraie question à se poser c'est donc qui engendre la création de produits dégueulasses et non pas qui les utilisent.
4

Anonyme

86 Posté le 03/07/2025 à 11:08:24
Grégoire qui se défausse de la connerie de publier cette news telle quelle en mode "non mais on passe juste l'info"... Non vous copiez/collez les éléments de langage fournis par l'équipe com' de l'opération. C'est précisément ce qui vous était reproché en début de thread.
Pour les arguments contre la prétendue "neutralité des IA" (et des techniques plus généralement). J'ai ce collègue qui a publié sur AOC un article qui répond à tout ça.
Concernant le smartphone "c'est vous qui choisissez". C'est un peu facile et injuste d'incriminer les gens comme ça. Le smartphone est devenu un monopole radical. Les gens n'y peuvent rien. Ils peuvent tout au plus limiter leur usage et freiner l'impact de cet objet dans leur vie. Ils peuvent faire des choix pour acheter des trucs moins pire que d'autres. Ils peuvent surtout éviter d'en changer non-stop et enrayer ainsi la machine productive. Mais dans bien des cas ils ne peuvent pas s'en passer sans que ça ait des conséquences significatives sur leur vie pro. Dans d'autres c'est le fait que les alternatives à ce qu'offre le smartphone sont en train d'être éliminées (ou l'ont été) par les pouvoirs publics (les plans de quartiers en sortie de métro par exemple).
Qu'il reste un libre arbitre, soit, mais qu'il ne soit pas méchamment contraint, non...
La moraline, plus je traîne ici, plus je pense que c'est pas le meilleur moyen d'interagir avec les gens ou même juste d'appliquer des jugements à leur encontre.
Pour le reste je suis plutôt dans le méga flou en vérité.
D'un côté je crois que JeffX a raison. Il y a une part importante du métier qui continuera à vouloir travailler avec des humains, parce que les rapports humains sont prépondérants dans la constitution même des projets (en spectacle vivant, en cinéma, j'en parle même pas pour le live musique). L'IA va effectivement surtout imposer d'être meilleurs pour s'en sortir (c'est-à-dire moins normatifs, de développer une vraie personnalité esthétique). L'écart entre l'inanité de l'automatisation et les bénéfices de la pratique va probablement remettre en avant ces derniers (et tant mieux, on va notamment peut-être arriver au bout de cette surpublication des prods de chacun et revenir à se contenter du plaisir de sa pratique).
On pourrait donc s'imaginer que progressivement, la comparaison entre les productions IA et les prod humaines au kilomètre finira par remettre en valeur les prods humaines qui présenteront une singularité significative.
Mais comme ça a été écrit aussi, on "consomme" ce qu'on nous donne. D'ailleurs déjà, on "consomme" de la musique justement, on l'écoute plus forcément pour elle-même. On en fout pour accompagner un moment de travail, pendant qu'on cuisine, dans le métro en lisant des articles ou son bouquin, etc.. Alors autant dire que cette manière d'aborder la musique fait que les boîtes qui possèdent les canaux de diffusion pourront largement orienté ce qui est écouté ne serait-ce que de par ce qu'elles mettent à disposition ou non.
Alors oui, comme disait JeffX je crois, il y aura peut-être un circuit alternatif, comme pour le bio dans l'alimentation. Un circuit fait de labels indé, de petits tourneur, etc.. (à mon avis pour le live, on ne supplantera pas de si tôt les vrais humains par des pseudo hologramme ou des lives dans le métavers.. ce genre d'expérience appelle assez peu à la reconduction si j'en crois les études qui commencent à sortir, c'est du one-shot, et t'entretiens pas un milieu pro avec un marché fait de tels one-shots, les pionniers vont se gaver tant qu'ils peuvent, les suiveurs vont s'écrouler et investir à perte).
Ok, mais en vrai le bio c'est problématique justement. C'est clairement un marqueur socio-économique. Déjà parce que le bio n'est pas proposé partout (et de même la diffusion des petits labels elle se fera là où on pense qu'il y a le plus de débouchés pour le faire vivre et ça ira en premier dans des zones où les populations sont économiquement assez aisées ou, a minima, avec un capital culturel entretenu de longue date). Ensuite parce que le bio, pour être économiquement tenable pour des petites bourses ça implique d'acheter des matières premières et donc d'avoir du temps libre pour cuisiner, ce qu'on a d'autant moins quand on est dans la mouise financièrement ou quand on a un job avec plein de contraintes de temps et de déplacement notamment.
Alors je sais pas jusqu'où le comparatif avec l'alimentation peut être pertinent, mais de prime abord je me dis que ça serait plutôt bien d'éviter d'arriver à un double circuit similaire pour les productions culturelles (si tant est que c'est pas déjà un peu le cas... en vrai).
Bref (je sais je suis pas bref
).
En vrai ce genre de sujet me semble vraiment bienvenu. Parce que l'IA débarque et peut avoir un impact très délétère... ou bien les gens peuvent s'informer et être informés. Concernant l'impact environnemental absolument désastreux. Concernant les limites de ces outils (il y a des vérités dans les projections mais il y a aussi, surtout, du phantasme, par exemple les "hallucinations" des systèmes génératifs ne sont pas des "défauts" qui sont destinés à être corrigés, ce sont des caractéristiques inhérentes à ces systèmes. On ne produira jamais de systèmes génératifs qui n'hallucinent pas).
Puis la société peut discuter (comme ici) et s'emparer du sujet, et prendre des décisions collectivement.
On n'est pas obligé de laisser les IA se développer dans le sens actuellement envisagé. On peut refuser d'utiliser certains outils pour l'instant déjà (pas besoin de faire des requêtes chatGPT non stop... d'ailleurs quand on mesure l'impact d'une recherche Google classique déjà, et qu'on multiplie par le nombre de requêtes qu'on fait, souvent à vide pour aller sur un site qu'on connaît en plus, bah on prend de nouvelles habitudes et on devient un peu plus sobre.
On peut faire pression ensemble pour légiférer et protéger certains droits (le Danemark récemment a légiféré pour protéger les corps de ses citoyen.ne.s, notamment pour avoir un outil légal contre les deepfake porno, mais ça pourra servir pour limiter plein d'autres usages de l'IA... tout du moins si c'est suffisamment sévère et suivi...). On peut faire pression pour que la commande publique et l'argent public finance ou non certaines recherches et certaines entreprises (pas Mistral par exemple... putain...) et quand on sait que même aux USA les grosses boîtes sont perfusées et dépendantes de l'argent public on se doute de l'impact que ça peut avoir dans des régimes moins libéraux du point de vue économique...
Pour les arguments contre la prétendue "neutralité des IA" (et des techniques plus généralement). J'ai ce collègue qui a publié sur AOC un article qui répond à tout ça.
Concernant le smartphone "c'est vous qui choisissez". C'est un peu facile et injuste d'incriminer les gens comme ça. Le smartphone est devenu un monopole radical. Les gens n'y peuvent rien. Ils peuvent tout au plus limiter leur usage et freiner l'impact de cet objet dans leur vie. Ils peuvent faire des choix pour acheter des trucs moins pire que d'autres. Ils peuvent surtout éviter d'en changer non-stop et enrayer ainsi la machine productive. Mais dans bien des cas ils ne peuvent pas s'en passer sans que ça ait des conséquences significatives sur leur vie pro. Dans d'autres c'est le fait que les alternatives à ce qu'offre le smartphone sont en train d'être éliminées (ou l'ont été) par les pouvoirs publics (les plans de quartiers en sortie de métro par exemple).
Qu'il reste un libre arbitre, soit, mais qu'il ne soit pas méchamment contraint, non...
La moraline, plus je traîne ici, plus je pense que c'est pas le meilleur moyen d'interagir avec les gens ou même juste d'appliquer des jugements à leur encontre.
Pour le reste je suis plutôt dans le méga flou en vérité.
D'un côté je crois que JeffX a raison. Il y a une part importante du métier qui continuera à vouloir travailler avec des humains, parce que les rapports humains sont prépondérants dans la constitution même des projets (en spectacle vivant, en cinéma, j'en parle même pas pour le live musique). L'IA va effectivement surtout imposer d'être meilleurs pour s'en sortir (c'est-à-dire moins normatifs, de développer une vraie personnalité esthétique). L'écart entre l'inanité de l'automatisation et les bénéfices de la pratique va probablement remettre en avant ces derniers (et tant mieux, on va notamment peut-être arriver au bout de cette surpublication des prods de chacun et revenir à se contenter du plaisir de sa pratique).
On pourrait donc s'imaginer que progressivement, la comparaison entre les productions IA et les prod humaines au kilomètre finira par remettre en valeur les prods humaines qui présenteront une singularité significative.
Mais comme ça a été écrit aussi, on "consomme" ce qu'on nous donne. D'ailleurs déjà, on "consomme" de la musique justement, on l'écoute plus forcément pour elle-même. On en fout pour accompagner un moment de travail, pendant qu'on cuisine, dans le métro en lisant des articles ou son bouquin, etc.. Alors autant dire que cette manière d'aborder la musique fait que les boîtes qui possèdent les canaux de diffusion pourront largement orienté ce qui est écouté ne serait-ce que de par ce qu'elles mettent à disposition ou non.
Alors oui, comme disait JeffX je crois, il y aura peut-être un circuit alternatif, comme pour le bio dans l'alimentation. Un circuit fait de labels indé, de petits tourneur, etc.. (à mon avis pour le live, on ne supplantera pas de si tôt les vrais humains par des pseudo hologramme ou des lives dans le métavers.. ce genre d'expérience appelle assez peu à la reconduction si j'en crois les études qui commencent à sortir, c'est du one-shot, et t'entretiens pas un milieu pro avec un marché fait de tels one-shots, les pionniers vont se gaver tant qu'ils peuvent, les suiveurs vont s'écrouler et investir à perte).
Ok, mais en vrai le bio c'est problématique justement. C'est clairement un marqueur socio-économique. Déjà parce que le bio n'est pas proposé partout (et de même la diffusion des petits labels elle se fera là où on pense qu'il y a le plus de débouchés pour le faire vivre et ça ira en premier dans des zones où les populations sont économiquement assez aisées ou, a minima, avec un capital culturel entretenu de longue date). Ensuite parce que le bio, pour être économiquement tenable pour des petites bourses ça implique d'acheter des matières premières et donc d'avoir du temps libre pour cuisiner, ce qu'on a d'autant moins quand on est dans la mouise financièrement ou quand on a un job avec plein de contraintes de temps et de déplacement notamment.
Alors je sais pas jusqu'où le comparatif avec l'alimentation peut être pertinent, mais de prime abord je me dis que ça serait plutôt bien d'éviter d'arriver à un double circuit similaire pour les productions culturelles (si tant est que c'est pas déjà un peu le cas... en vrai).
Bref (je sais je suis pas bref

En vrai ce genre de sujet me semble vraiment bienvenu. Parce que l'IA débarque et peut avoir un impact très délétère... ou bien les gens peuvent s'informer et être informés. Concernant l'impact environnemental absolument désastreux. Concernant les limites de ces outils (il y a des vérités dans les projections mais il y a aussi, surtout, du phantasme, par exemple les "hallucinations" des systèmes génératifs ne sont pas des "défauts" qui sont destinés à être corrigés, ce sont des caractéristiques inhérentes à ces systèmes. On ne produira jamais de systèmes génératifs qui n'hallucinent pas).
Puis la société peut discuter (comme ici) et s'emparer du sujet, et prendre des décisions collectivement.
On n'est pas obligé de laisser les IA se développer dans le sens actuellement envisagé. On peut refuser d'utiliser certains outils pour l'instant déjà (pas besoin de faire des requêtes chatGPT non stop... d'ailleurs quand on mesure l'impact d'une recherche Google classique déjà, et qu'on multiplie par le nombre de requêtes qu'on fait, souvent à vide pour aller sur un site qu'on connaît en plus, bah on prend de nouvelles habitudes et on devient un peu plus sobre.
On peut faire pression ensemble pour légiférer et protéger certains droits (le Danemark récemment a légiféré pour protéger les corps de ses citoyen.ne.s, notamment pour avoir un outil légal contre les deepfake porno, mais ça pourra servir pour limiter plein d'autres usages de l'IA... tout du moins si c'est suffisamment sévère et suivi...). On peut faire pression pour que la commande publique et l'argent public finance ou non certaines recherches et certaines entreprises (pas Mistral par exemple... putain...) et quand on sait que même aux USA les grosses boîtes sont perfusées et dépendantes de l'argent public on se doute de l'impact que ça peut avoir dans des régimes moins libéraux du point de vue économique...
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[ Dernière édition du message le 03/07/2025 à 11:20:01 ]

JeffX
5942

Je poste, donc je suis
Membre depuis 21 ans
87 Posté le 03/07/2025 à 11:58:02
Je précise que quand on parle de smartphone c'est bien entendu une utilisation "abusive" de ce dernier... encore une fois ce n'est pas l'objet en lui-même le problème (et que de toute façon ce n'est pas le propos de stigmatiser qui que ce soit, puisque précisément: chacun est libre de faire ce qu'il veut) c'est sûr que si vous ne vous en servez que pour téléphoner, pour le boulot etc. ce n'est pas le sujet, et ça ne change pas beaucoup de ce qu'on connaissait déjà avec le tel normal d'ailleurs (le boss qui appelle à 22h pour parler du dossier en cours ça date pas du smartphone)
mais je ne peux recevoir l'argument du "on est obligés", "c'est la société qui veut ça"... Non!
Il y a d'ailleurs un peu le même argument pour les RS : "on est obligés d'y être maintenant" (toujours non!)
D'ailleurs, la preuve, on est déjà quelques-uns ici à prouver le contraire visiblement.
Si votre entourage pro ou amical vous "impose" ça, il est peut-être temps d'en changer, non?
Il ne s'agit pas de retourner vivre dans une caverne (d'ailleurs en disant ça, cela sous-entend que tout ça serait une "progression", et que donc enlever ça de nos vies serait un vrai retour en arrière, vers "un inconfort"
au niveau culturel et sociétal on constate plutôt une dégringolade...)
on peut se dire aussi que ce qui est proposé est ce qui va se vendre le plus largement, et donc à partir du moment où ça ne se vend plus cela n'existe plus.
Bref, tout ça pour dire qu'on peut tirer la chaîne des 2 côtés...
mais je ne peux recevoir l'argument du "on est obligés", "c'est la société qui veut ça"... Non!
Il y a d'ailleurs un peu le même argument pour les RS : "on est obligés d'y être maintenant" (toujours non!)
D'ailleurs, la preuve, on est déjà quelques-uns ici à prouver le contraire visiblement.
Si votre entourage pro ou amical vous "impose" ça, il est peut-être temps d'en changer, non?
Il ne s'agit pas de retourner vivre dans une caverne (d'ailleurs en disant ça, cela sous-entend que tout ça serait une "progression", et que donc enlever ça de nos vies serait un vrai retour en arrière, vers "un inconfort"
au niveau culturel et sociétal on constate plutôt une dégringolade...)
on peut se dire aussi que ce qui est proposé est ce qui va se vendre le plus largement, et donc à partir du moment où ça ne se vend plus cela n'existe plus.
Bref, tout ça pour dire qu'on peut tirer la chaîne des 2 côtés...
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updownleftright
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AFicionado·a
Membre depuis 10 ans
88 Posté le 03/07/2025 à 12:23:30
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Hors sujet :Citation de JeffX :mais je ne peux recevoir l'argument du "on est obligés", "c'est la société qui veut ça"... Non!
J'ai commencé la lecture d'Eloge du bug: être libre à l'époque du numérique de Marcello Vitali-Rosati, un professeur à l'Université de Montréal en littérature et culture numérique... qui n'a pas de smartphone. Je vous en ferai un compte-rendu à l'occasion une fois fini
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Bvk3n3k0
664

Posteur·euse AFfolé·e
Membre depuis 23 ans
89 Posté le 03/07/2025 à 12:40:52
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Hors sujet :Citation de JeffX :
mais je ne peux recevoir l'argument du "on est obligés", "c'est la société qui veut ça"... Non!
Tu ne vois pas l'aspect sociétal de la façon dont on consomme alors qu'on est à peu près tous conscient qu'on vit dans une société de consommation?
T'as retenu l'exemple du smartphone mais pas celle des fringues. Je vais en prendre un autre alors, la bouffe. Consommer éthique pour ne serait-ce que se nourrir, ça demande un surcout énorme que de moins en moins de personnes peuvent se permettre. Pourtant si toute l'agriculture respectait un minimum cette éthique, le problème serait vite réglé non? Le consommateur fait malheureusement le plus souvent ce qu'il peut et pas forcément ce qu'il veut dans nos sociétés.
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[ Dernière édition du message le 03/07/2025 à 13:11:51 ]

Point-virgule
7954

Je poste, donc je suis
Membre depuis 20 ans
90 Posté le 03/07/2025 à 12:48:16
L'utilisation de l'IA rend con, d'après de premières études : L’utilisation de ChatGPT aurait des conséquences sur le fonctionnement cérébral, selon une étude du MIT
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« La vie sans musique est tout simplement une erreur, une fatigue, un exil. », Friedrich Nietzsche. ♫
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