Le pub du photographe

mais il a fallût jouer avec l’étroitesse du lieux

Chapolin > Il faudrait revoir un peu le cadrage, surtout si tu n'as pas recadré ensuite. Le bout de panneau en bas, le bout de cheminée en haut, soit tu les coupes allègrement, soit tu les gardes en entier, mais juste un petit bout qui manque, ça fait pas maîtrisé.

Citation :

mais il a fallût jouer avec l’étroitesse du lieux

fallu !

Cherchez pas à faire compliqué. De rien

OB, j'aime bien ta dernière photo, elle respire un certain côté paisible qui donne de l'espoir pour le futur du monde ...

Y’a trois jolis triangles sur ta tof chapolîn....

Je me demande si elle n’aurait pas plus d’impact en format paysage avec la perspective qui part vers l’obscurité.
Pour ça, yaurait peut-être fallu cadrer plus large pour ne pas couper la cruche du bas.

J’aime bien les couleurs et l’ambiance.

Nous nous déplaçons chacun dans une quasi sphère dont nous sommes, chacun, plus ou moins le centre...
En d'autres termes nous éprouvons notre monde visible dans un mode tridimensionnel.
Constation banale - mais dont nous oublions parfois de tirer les conséquences quand nous voulons produire des photographies, et encore plus souvent quand nous en regardons.
...
Les peintres savent bien depuis 130 ou 140 ans, au moins, qu'un tableau est un objet plat aux dimensions finies, et que l'expérience que l'on peut en faire ne peut être rien d'autre que celle d'un objet plat aux dimensions finies.
La photographie n'est pas la peinture, mais une photographie est elle aussi un "objet plat aux dimensions finies", irrémédiablement. Mais sa référence quasi systématique, et si intuitive, au monde "sphérique", et potentiellement infini, dans lequel nous nous déplaçons, cette référence quasi obligée fait que nous avons du mal à en 'faire le deuil' - quand sommes devant une photographie.

Franchement, si je ne partage pas tout des posts de Patrick, je ne vois pas ce qu'il y a à reprocher à son dernier.
Ce qu'il explique, c'est qu'en photo, on peut rarement s'empêcher de penser qu'il eut fallu ou qu'on eut pu cadrer autrement, qu'on n'échappe peu au hors cadre.
Je ne vois vraiment ni ce qu'il y a à reprocher à ça ni où est la condescendance dans ce post. La référence à la peinture ? La comparaison est ici parfaitement justifiée.
Si c'est l'étalage de connaissance(s), que dire de mes posts-fleuve ?

Mais quand les posts de quelqu'un ne nous intéressent pas ou nous gonflent, il suffit de les passer et basta.